Le Volume du temps, tome 1

Lu par Grétel Delattre
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Date de parution 6 mars 2024 | Archivage 21 avr. 2024
Audiolib | Imaginaire

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Résumé

Pour Tara Selter, le temps s’est arrêté un 18 novembre.

Premier épisode de cette saga, elle se réveille à Paris. Tara sort de sa chambre d’hôtel et découvre qu’autour d’elle tout se déroule comme la veille : les mêmes personnes se ruent vers la salle du petit déjeuner, la date du journal est identique. Et cela recommence le jour suivant, et le jour d’après. Lorsqu’elle quitte la capitale pour retourner chez elle, Tara comprend que son mari n’a pas conscience de cette journée sans fin. Alors, lassée de lui expliquer chaque matin sa situation, elle s’installe dans la chambre d’amis. Lui la croit encore à Paris, elle jouit d’une extraordinaire liberté. Mais à l’aube d’une 366e journée, le véritable 18 novembre de l’année suivante, tout pourrait-il enfin rentrer dans l’ordre ?

Pour Tara Selter, le temps s’est arrêté un 18 novembre.

Premier épisode de cette saga, elle se réveille à Paris. Tara sort de sa chambre d’hôtel et découvre qu’autour d’elle tout se déroule comme la...


Formats disponibles

FORMAT Livre audio, Intégral
ISBN 9791035416355
PRIX 21,95 € (EUR)
DURÉE 5 Heures, 25 Minutes

Disponible sur NetGalley

Application NetGalley Bibliothèque (AUDIO)

Chroniques partagées sur la page du titre

Attirée par un pitch intriguant, le temps qui bégaye, je me suis lancée dans l'écoute de ce petit audio. Je dis petit car il ne fait que 5h 30. Habituellement, je n'aime pas les courts récits, les nouvelles, qui me laissent toujours un goût de trop peu, ou se finit en queue de poisson.

Lorsque nous faisons la connaissance de Tara Selter, elle nous décrit son 121ème 18 novembre... Elle est chez elle, à Clairon-sous-bois, et elle observe son mari Thomas effectuer pour la 121ème fois la même routine. Nous avons alors la description complète de cette journée, son réveil, ses déplacements, ses actions, tout cela par les bruits qu'il fait car Tara se terre dans la chambre d'ami où il ne mettra jamais les pieds, en tout cas, tant qu'on est le 18 novembre.

Comment et quand s'est-elle rendue compte de ce bug dans le temps ? Dès son second 18 novembre. Elle était à Paris en déplacement professionnel, à l'hôtel pour deux nuits. Au second petit-déjeuner, le journal présenté est le même que la veille. Mais surtout, la maladresse d'un autre pensionnaire de l'hôtel qui laisse échapper sa tartine qui fait un vol plané et tombe au sol se répète à l'identique. N'ayant plus rien à faire, ses actions du 18 effectuées et ne pouvant atteindre celles du 19, elle rentre chez elle.

Expliquer toute la situation à Thomas n'est pas aisé, mais il finit par la croire, elle a des arguments, des indices. Seulement, le lendemain au réveil, c'est la même mine surprise, la même réflexion, et Tara doit tout reprendre à zéro. Mais lorsqu'on vous décrit une succession d'une dizaine de jours à l'identique... cela devient lassant.

Ensuite, ensemble, ils vont essayer de déterminer le moment du passage à reculons du temps, afin de voir s'ils peuvent bloquer le processus. Après de multiples essais pour se transformer en oiseaux de nuit, mais avec toujours les mêmes explications sur sa présence alors qu'elle devrait être à Paris... rien n'y fait. Même sans s'endormir, Thomas a à un moment donné le regard vague quelques millisecondes et "Tara ? Qu'est-ce-que tu fais là ? Tu devrais être à Paris !"

Finalement Tara migre dans la chambre d'ami, et sans bruit, elle n'interfère plus dans les 18 novembre de son mari. On a alors toutes les descriptions de chaque averse, chaque chant d'oiseau, chaque voiture passante, du voisin qui rentre chez lui un peu avant Thomas... jour après jour, cela n'en finit pas. Ce n'est pas drôle pour Tara, ça l'est encore moins pour l'audiolecteur. Je me suis profondément ennuyée je vous avoue. C'est long, lent et il ne se passe strictement rien.

En bonds de quelques successions de jours tous les "mois", enfin tous les 30 ou 60 jours, nous suivons Tara qui observe, philosophe, tente parfois une action et se rapproche du 365ème 18 novembre. Un espoir ? Une solution ?

Non, je ne vais pas vous le dire...

Ce roman est le premier tome alors qu'il y en a sept ! 😳 C'est une série qui a eu un succès phénoménal au Danemark. Je ne dois pas avoir le moindre gène danois. Autre chose, ce roman est classé dans l'imaginaire. Effectivement, la donne l'est, mais le traitement et ce que l'on parcourt dans ces lignes reste de la littérature blanche, classique... et vraiment pas ma came. Le choix de la narratrice, Grétel Delattre, est parfait. Calme, posée, pas un mot plus haut que l'autre, en parfaite harmonie avec la plume de Solvej Balle.

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J'aime ce style de roman dans le genre du film un jour sans fin. Quand les protagonistes revivent perpétuellement une journée.

Dans ce récit, Tara vit en boucle sa journée du 18 novembre. Elle essaie jour après jour de modifier une habitude, une interaction humaine, bref de se libérer de cette journée.

J'ai aimé suivre Tara, découvrir comment elle allait se dépêtrer dans cette histoire.
J'ai écouté en audio, la version est très agréable et la narratrice rend hommage au texte. Comme l'histoire est à la première personne du singulier, l'immersion dans la vie de l'héroïne est d'autant plus facile.

Cette saga SF est en 7 volumes. Je suis curieuse de connaître qu'elles seront les prochaines aventures de Tara.

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C'était ma toute première lecture audio et certainement pas la dernière. J'ai écouté ce titre dans ma voiture et j'ai beaucoup apprécié le ton de la narratrice, qui résonne d'ailleurs encore dans ma tête.
En revanche, j'ai été déçue par l'histoire. Car, soyons honnête, il ne se passe quasiment rien ! Tara se trouve bloquée dans une boucle temporelle, contrainte de revivre inlassablement la même journée de novembre, encore et encore. On attend des bribes d'explication, on attend que Tara tente des choses, mais non... elle se contente d'observer le temps qui passe, et cela m'a lassée.
Je sais pour autant que ce titre a connu un bel engouement au Danemark et je suis curieuse de savoir pourquoi. Peut-être se passe-t-il enfin quelque chose dans le tome 2 ? Si l'autrice cherche à nous montrer la monotonie de la vie, c'est en ce sens particulièrement réussi. Je reste donc sur ma faim...

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Voici une histoire bien intrigante… Mais que se passe-t-il pour Tara Selter.

Pour elle, le temps s’est arrêté un 18 novembre.

Elle revient d’un voyage à Bordeaux où elle a déniché des livres anciens pour des clients. Elle se réveille dans sa chambre d’hôtel à Paris. Elle va pour prendre son petit déjeuner et là… l’impression d’assister au même spectacle que la veille. Un homme fait tomber sa tartine. La ramasse discrètement. Puis prend un croissant.

Une sensation étrange…

Elle va acheter le journal et on lui vend, pense-t-elle, celui de la veille. Celui du 18 novembre. mais tous les quotidiens sont datés du même jour.

Comprenant que quelque chose d’étrange est en train d’arriver, elle file chez elle rejoindre son mari, Tomas. Il est surpris de la voir puisqu’il ne l’attendait que le lendemain… le 19 novembre.

Alors elle lui explique ses découvertes. Il la croit. Le soir, elle se couche. Angoissée.

Et le matin, c’est de nouveau le 18 novembre…

Il va falloir réexpliquer à son mari.

Jour après jour, elle se réveille le 18 novembre.

Elle explique à son mari.

Elle finit par connaître par cœur les sons, les odeurs, les bruits de la maison, l’heure de l’averse à venir, les allers et venues des voisins.

Un jour sans fin.

Lasse, elle finit par se mettre en retrait. Elle vieillit. Pour elle, pour son corps, le temps passe même si elle reste bloquée sur une seule journée. Comme un bug informatique. Le temps est bloquée. Pas sa physiologie.

Lasse, elle en marre de raconter à son mari. Il la croit toujours. Ne la pense jamais folle. Il essaie de l’aider… mais elle se lasse de ne plus faire partie de sa vie qui elle continue au-delà du 18 novembre.

Avec ou sans son mari, elle essaie de comprendre. Analyse. Note des indices. Tente des expériences.

Le temps passe. On s’approche du 366ème 18 novembre. Un an… va-t-elle enfin sortir de cette journée sans fin ?

Il aura fallu une vingtaine d’année à Solvej Balle pour peaufiner son œuvre (Le Volume du temps comprend 7 tomes). Un phénomène littéraire au Danemark, et traduit dans plus de vingt pays déjà. Un phénomène qui perturbe. Et les avis sont souvent tranchés : soit on entre dans le roman, soit on s’ennuie. C’est l’impression que j’ai des quelques retours que j’ai vu depuis sa sortie française.

Pour ma part, l’écriture de Solvej Balle m’a totalement cueillie. Je suis rentrée dans son univers répétitif et énigmatique. Je me suis retrouvée bloquée ce 18 novembre en compagnie de Tara. essayant de comprendre à mon tour. Me demandant ce que je ferai dans une telle situation. Resterai-je bloquée chez moi, à vivre en recluse et en cachette ou en profiterai-je pour voyager, pour expérimenter ?

Lire ce roman est une expérience littéraire. On est ici dans un rythme lent, répétitif. Comme si Tara perdait pied dans cette journée cyclique. Comme si elle avait un besoin maladif de se rassurer sur ce qu’elle vit. Non elle n’est pas folle. Ce qu’elle vit est malheureusement bien réelle. Elle comble un vide. L’autrice en usant de cette narration itérative nous donne cette impression d’être nous aussi bloquée dans un cercle sans fin.
Alors se pose nécessairement la question de comment s’en sortir? Comment se libérer ? Quand est-ce que nous allons connaître enfin un 19 novembre ?

Ce premier roman est court (250 pages soit 5 h 30 d’écoute) et je n’ai pas vu le temps passer (sans mauvais jeu de mot). J’avais envie d’avancer, de savoir… je suis juste frustrée de la fin… car je n’ai pas encore la suite à ma disposition (il sort le 5 avril en audio) !

J’ai découvert ce roman par le biais de la lecture audio faite par Grétel Delattre qui a fait ici un travail incroyable pour s’accorder à la monotonie volontaire du texte ainsi qu’à sa part énigmatique. On sent la détresse du personnage, sa lassitude, son espoir pour un lendemain… normal !

Un roman à la fois angoissant, énigmatique et hypnotique… Etes-vous prêt à vivre un 18 novembre… sans fin ?

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J'ai adoré. Du début à la fin j'ai été complètement embarquée par cette histoire. J'ai vécu chaque journée aux côtés de Tara, à essayer de trouver des solutions, à essayer de comprendre.
L' histoire est connue, vue, et lu plein de fois (le personnage qui revit toujours le même jours... Rien de nouveau sous le soleil !), et pourtant je l'ai trouvée très originale. Parce qu'outre ce jour qui recommence, c'est vraiment sur Tara qu'on se concentre, et sur sa façon d'aborder la chose.
Passé le moment de stupéfaction, elle active une sorte de mode survit. Elle se protège, de son mari à qui elle ne cesse de répéter ce qu'il se passe, jusqu'au jour où elle n' en peux plus et décide de s'exiler.
Elle doit continuer de se nourrir mais les vivres qu'elle utilise ne réapparaissent pas le lendemain.
Elle passe par plein de phases. La peur, la colère, la sideration... Un peu comme un deuil de son ancienne vie, mais sans jamais perdre espoir.
J'ai vraiment hâte de découvrir le second tome de cette histoire. Encore merci @netgalleyfrance pour cette découverte.

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Pour Tara Selter le temps s'est arrêté un 18 novembre. Pas la vie. Elle a continué à vivre, bloquée dans cet espace temps, condamnée à revivre la même journée sans cesse. Au départ, elle explique à son mari, ensemble ils cherchent une solution, chaque jour elle recommence. Lassée de cette situation, elle s'installe dans la chambre d'amis qu'ils n'utilisent jamais, il ne la cherche pas car elle est censée être en voyage d'affaires. Elle disparaît hors du temps. Un an s'écoule et la voilà à l'aube du 366ème jour, tout pourrait-il rentrer dans l'ordre à ce moment-là ?

J'aime beaucoup le côté un peu contemplatif de l'histoire et toutes les phases par lesquelles Tara passe. Le roman est très lent, je vois beaucoup d'avis négatifs de gens qui je pense en attendaient autre chose. On est presque dans du nature-writting, elle regarde le temps qui s'écoule mais que pour elle. Personnellement j'ai été bercée par la plume de l'autrice que j'ai trouvée très belle et par la voix de Gretel Delattre parfaite pour Tara et cette journée qui n'en finit pas. J'avoue que je préférais rester bloqué dans une belle journée de printemps ou d'automne plutôt qu'en novembre.

Tara est un personnage pragmatique quoiqu'un peu fantasque dans lequel je me suis un peu reconnue. Le roman s'arrête à l'aube d'un nouveau jour mais est-ce le 18 ou le 19 novembre ? Il faudra lire la suite pour le savoir (heureusement elle sort bientôt). C'était très frustrant d'arriver là et de ne pas savoir mais j'aurais dû m'en douter sachant qu'il y a sept tomes !

Ce roman me fait beaucoup penser à "Replay" de Ken Grimwood si vous l'avez lu.

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Lecture qui m'a happé très vite, malgré une voix de la narratrice un peu trop monotone à mon goût.
L'héroine, Tara, revit sans cesse la même journée du 18 novembre, jour après jour, sans explication.
Elle est la seule à s'en rendre compte, son conjoint, Thomas, et tout son entourage revit aussi la même journée mais sans en avoir conscience,
Elle tente de trouver un échappatoire, elle raconte chaque jour cette réalité à son compagnon qui la croit, essaie de l'aider mais chaque matin, se réveille et a tout oublié.
Au fil des jours, on suit les interrogations et le désespoir de Tara. Elle s'isole, se cache dans sa propre maison. Devient une étrangère chez elle.
Je me suis demandée si c'était du fantastique ou si elle était folle, et que tout cela n'était que dans sa tête.
Il s'agit du tome 1, et je suppose que les réponses arriveront dans le tome 2 et/ou les suivants , ...je l'espère ^^

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Le pitch de Le volume du temps fait forcément écho au célèbre Jour sans fin. Dans ce premier volume écrit par Solvej Balle, nous suivons Tara qui revit inlassablement le jour du 18 novembre et elle semble être la seule à s’en apercevoir. A chaque renouvellement de la journée, la jeune femme modifie une interaction humaine ou matérielle et observe si sa journée commence à l’identique ou non. Parfois des choses disparaissent, parfois elles restent. Tara tente d’expliquer la situation à son compagnon, qui, s’il n’est pas fermé à l’idée d’un souci temporel, oublie dès le prochain jour.

Solvej Balle a écrit son roman à la première personne du singulier, ce qui nous permet d’entrer dans la tête de tara, d’avoir accès à ses pensées, ses réflexions. D’autant plus que le roman est écrit sous forme du journal de bord de la jeune femme qui note scrupuleusement ses observations, les modifications par rapport aux précédents 18 novembre.

Au fil des chapitres nous suivons l’évolution de Tara sur une année. Une année à revivre le même jour et pourtant la protagoniste prend de plus en plus d’initiatives pour vivre chaque jour comme un jour différent alors qu’il est supposé être le même.

J’ai trouvé ce premier tome intéressant et j’ai beaucoup aimé le personnage de Tara. Néanmoins, le rythme est lent, parfois je me demande comment l’autrice danoise peut tenir l’intérêt de son lecteur sur sept tomes. S’agissant du premier tome, peut-être que les suivants contiennent un peu plus d’actions, de rebondissements ?

En revanche, j’ai beaucoup apprécié la voix de Grétel Delattre. Dès les premières minutes, la voix de la comédienne m’a emmené aux côtés de Tara dans son étrange aventure.

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