Quand on dansait sur les toits

Ce livre est un véritable coup de coeur pour moi, et certainement l'un des meilleurs livres que j'ai lu cette année. Je ne vois que des points positifs pour parler de ce roman : les personnages tellement attachants, cette fin incroyable et pleine d'espoir, la manière dont les chapitres alternent entre Mayssane et Pablo, et tellement d'autres points...
J'ai vraiment hâte de faire découvrir ce titre aux jeunes lecteur.rice.s de ma médiathèque (et aussi de l'acheter en format physique pour ma bibliothèque perso) !

Une histoire et une écriture d'une finesse incroyable !

Je me suis laissée porter par les émotions ressentis par les personnages, j'en ai eu très souvent les larmes aux yeux. De voir leurs réactions évoluées en fonction de leur âge, en tout cas du côté de Mayssane, et de voir l'obstination des aidants dans la maladie, comme pour Pablo, on ne peut que constater que l'auteur a su trouver un équilibre entre la poésie de son récit et une certaine réalité liée à la maladie.

Si j'ai su deviner la fin quelques chapitres plus tôt, cela n'a rien enlevé à la puissance émotionnelle de ce livre !

Un coup de coeur ici !!!
J'ai tout aimé du début à la fin : les personnages principaux comme secondaires, la plume de l'auteur bourrée de poésie. Qu'est-ce-que j'ai pleuré !!! Prévoyez les mouchoirs, ce récit prend aux tripes, on n'en ressort avec la joie d'être en vie et de profiter au max de chaque instant !!!!
Je recommande chaudement !

Je n'ai pas vu les pages passer. L'écriture est poétique, ce qui peut déstabiliser au premier abord car les narrateurs n'ont que 16 ans, mais ils nous entraînent dans leur histoire émouvante, qui fait passer de la tendresse aux larmes en quelques mots.

Une jolie romance tout en douceur qui traite de la maladie, de l'acceptation de soi et des changements physiques. Les personnages sont attachants, entre amitié et amour, larmes et fous rires. J'ai autant pleurer et rire avec eux et les suivre dans leurs folles aventures.
La fin m'a retournée, je ne m'y attendais absolument pas.
Je le conseillerais volontiers !

J’ai toujours adoré les précédents livres de Tristan Koëgel. Il a toujours su avoir cette plume à la fois douce et directe pour parler de sujets pas toujours faciles. Il a une délicatesse d’écriture qui me touche à chaque fois. Et bien sûr la magie a encore eu lieu avec ce titre.

Ce texte est sans aucun doute moins « engagé » que les précédents mais toujours aussi fort. Cette fois il nous offre une magnifique histoire d’amour sur fond de maladie. Dès les premières lignes j’ai su que ça allait être un coup de cœur car l’auteur a utilisé mon point faible en romance, quand l’histoire d’amour est juste évidente, simple et naturelle. Bien sûr elle connaît des rebondissements et est parfois mise à rude épreuve mais on le sait au fond qu’ils se retrouveront toujours d’une manière ou d’une autre.

C’est donc une magnifique histoire d’amour qui renouvelle le genre. Pour résumer, je pense que Nos étoiles contraires à trouvé de la concurrence!

Pablo et Mayssane, voisins et amis, sont inséparables depuis leur plus tendre enfance. Lorsqu’ à l'âge de 11 ans, Mayssane tombe malade, Pablo devient son plus fidèle soutien, capable de déplacer les montagnes, utilisant toute son énergie pour lui redonner le sourire.

Ce roman est une ode à la vie et vous emporte émotionnellement.
L’auteur aborde avec sensibilité et poésie la lutte contre la maladie, insufflant l’idée que la joie, l'insouciance et l'évasion sont nécessaires pour faire face à la souffrance et à la mort.

Le lecteur est en totale empathie avec les personnages et on s'immerge complètement dans cette histoire à deux voix. On est au cœur des sentiments et des réflexions des deux héros, on se prend à espérer d’une rémission définitive pour la jeune fille. Pas de pathos ni de leçon de vie, l'histoire est profonde et poignante sans jamais sombrer dans la mièvrerie. L'auteur laisse toute la place à l'authenticité des émotions.
Laissez-vous tenter par ce livre qui, certes, rappelle des titres comme "Nos étoiles contraires" ou "Love Story" : amour, amitié, maladie et résilience. Vous ne le regretterez pas.
A noter la très belle couverture.

Que d’émotions ressenties lors de la lecture de ce roman!
De la tristesse, de la joie, de la colère mais toujours cette note d’espoir qui résonne tout au long du livre.
Pablo et Maessane m’ont beaucoup touchée mais aussi Max, Inès et leur professeur de français.
Et en tant que maman, j’ai compati à la douleur des parents de la jeune fille.. La laisser voir ses ami.es ou la mettre sous une bulle pour la protéger..? Quel dilemne..
Alors oui, il est question de maladie mais la volonté de vivre est tellement forte, la volonté de combattre ensemble est tellement puissante que l’histoire est loin de sombrer dans le pathos.

Ce roman est doux, tendre, parfois drôle, touchant, poétique..
C’est une ode à l’amour, à l’amitié, à l’espoir !

Court roman intense qui nous présente l'histoire de Pablo et Mayssane, deux voisins devenus inséparables, qui vont être confrontés à la fragilité de la vie. Les deux enfants grandissent ensemble, mais quand ils ont une dizaine d'années, Mayssane apprend qu'elle est malade : des « bestioles » s'en prennent à elle.
Pablo n'est pas décidé à les laisser gagner, et il redouble d'inventivité pour changer les idées de son amie pendant toute la durée du traitement, aidé par une bande de pirates attachants. Et Mayssane guérit. Les sentiments évoluent, l'amitié se transforme peu à peu en amour. Mais un jour, Mayssane découvre que les bestioles sont de retour…

***

Deux enfants atypiques, soudés, qui croquent la vie à pleines dents, qui deviennent adolescents. Une relation exclusive, la maladie les soudant encore plus.
Deux voix qui alternent, tantôt Pablo, tantôt Mayssane, entre passé et présent. La narration n'est pas chronologique, ce qui peut dérouter, mais na pas été mon cas. Leur entourage, très présent, les parents, les amis, même la professeure de français, Mme Amari, et ses réflexions philosophiques.

Un texte qui sublime le bonheur fragile, la joie de vivre, en peu de mots et en peu de pages.
On pense à nos étoiles contraires, et à tous ces titres qui parlent de maladie et d'amour, mais Quand on dansait sur les toits frappe par sa poésie, sa philosophie. Un zeste de folie, beaucoup d'amour, c'est ce que partagent Pablo et Mayssane. On ressent leurs émotions, exacerbées : la peur de la mort, l'espoir, mais aussi la colère, l'impuissance. Tous ces thèmes sont évoqués avec sensibilité et délicatesse.

Une ode à la vie, un texte qui invite à regarder le ciel, et les étoiles, à croquer la vie à pleines dents, à danser sur les toits peut-être, à garder une âme d'enfant, capable de rire de tout.

Une très belle lecture !

Tellement juste...
Les personnages sont extrêmement bien travaillés. C'est fort. Tellement fort que j'ai dû parfois stopper ma lecture.
Merci pour cette lecture

Attention ce roman de 220 pages est une petite claque et un mélange de sentiments exacerbés.
on suit la vie de Pablo et Mayssane depuis leur plus tendre enfance jusqu’à leur adolescence.
ils vivent pleinement, entièrement chaque instant. Ils se sont trouvés dés leur naissance et cela semble une évidence. L'un sans l'autre n'est pas possible ils sont leurs forces.
Mais la maladie les rattrape, les bouscule mais leur cohésion, leur fusion est plus forte. Cela fonctionne la première fois, mais les histoires d'enfants sont-elles les mêmes quand on est ado.
Un roman extrêmement littéraire, comme chaque écrit de Tristan Koëgel. Cet un livre que l'on savoure par les mots, les tournures et les non-dits qui abordent un sujet poignant.
Vivre aussi intensément que ces 2 ados donne une véritable force pour soulever des montagnes, comme un conte philosophique.