Dernier coup de fourchette

Vraie fiction et faux polar, ce récit narre les péripéties vécues par un capitaine de police, mobilisé par la recherche de la vérité et, accessoirement, du bonheur. Les relations entre les divers personnages, à Grenoble ou en villégiature dans le Golfe de Gênes, leur permettent de se révéler, jusqu'à un coup de fourchette fatidique. Ses lourdes conséquences entraînent le policier en Bavière, puis à une confrontation fructueuse avec sa mère. Saura-t-il, enfin, la vérité sur son père ?

Note de l'auteur : "Ce n'est pas parce que le héros est un policier que le roman est un polar ! Volontairement, j'ai voulu jouer sur l'ambigüité pour que l'intrigue ne soit pas accessible facilement. Mais ce policier mène des enquêtes et même la dernière, la plus révélatrice.
Les lecteurs potentiels doivent être attirés par cet aspect non figé, non catalogué d'un livre qui ne veut pas se mettre dans une boite pré-étiquetée. Cet aspect se retrouve dans la forme avec des styles narratifs variés : registre soutenu, langage familier, dialogues nombreux présentés sous différentes formes, intégrées ou non à la narration. Le narrateur extérieur laisse place, à la fin, au "je" du héros, quand l'histoire entre dans la découverte de son intimité. D'autre part, les questions morales ou religieuses, sont abordées naturellement dans des situations souvent décalées, pour le plaisir de la surprise.
Les personnages féminins qui participent à l’histoire avec le héros masculin (capitaine de police) sont des femmes puissantes. Elles ne sont pas seulement trois, mais quatre héroïnes. Leurs personnalités sont plus complexes qu’on pourrait le supposer au premier abord. Elles sauront aller au bout et de leurs convictions et même de leurs inclinations."