NOIR

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Date de parution 1 avr. 2021 | Archivage 29 juin 2021

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Résumé

Au moment où les dix-huit transformateurs alimentant Paris et sa banlieue en électricité explosent simultanément, le noir tombe sur la capitale et ses environs. La nuit est totale, le danger inédit. En quelques heures à peine, les rues sombrent dans le chaos. Les scènes de pillages et de violence se multiplient. La tension monte.

Immédiatement, Hugo Kezer, chef de groupe à la brigade criminelle, prend le commandement de la cellule de crise mise en place pour répondre à l’urgence de la situation. Il doit avant tout comprendre qui se cache derrière cet acte criminel, cette organisation aussi élaborée. Et les raisons pour lesquelles ce black-out a été si minutieusement orchestré.

Une course contre la montre s’engage alors pour Kezer, d’autant plus éprouvante que les menaces sont nombreuses et pourraient bien mettre en danger celles et ceux qu’il aime…

Au moment où les dix-huit transformateurs alimentant Paris et sa banlieue en électricité explosent simultanément, le noir tombe sur la capitale et ses environs. La nuit est totale, le danger inédit...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782265154841
PRIX 15,90 € (EUR)

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Chroniques partagées sur la page du titre

Nous sommes peu de choses.La fée électricité a pris les commandes de nos vies et le chaos s'installe lorsque qu'elle disparait: émeutes,pillages,cambriolages et même la survie hospitalière n'est plus possible.Les instincts primaires et sauvages prennent le dessus et la violence s'installe avec son cortège de blessés,de morts et d'inhumanité.
Bon policier , un peu conventionnel au début du livre mais les personnages sont attachants .Le récit prend du coffre lorsque les personnages se complexifient,heureusement.Néanmoins la fin me parait un peu "bâclée" car certains éléments sont invraisemblables .Dommage car belle écriture et le milieu du livre nous tient en haleine. L'idée est intéressante en soi.

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Merci aux éditions Fleuve noir pour ce partenariat.
J’aime commencer, parfois, par des versions courtes : j’ai aimé lire ce livre, j’ai apprécié le temps de lecture passé en sa compagnie, et je n’ai pas compté combien de temps j’avais mis à le lire, ce qui est important à remarquer. J’ai eu la chance d’enchainer avec le second tome, Rouge, dont je vous parlerai prochainement.
Noir, c’est d’abord l’histoire d’un black-out, d’une nuit où rien, absolument rien ne se passe comme prévu, où rien de ce qui se passe n’était prévisible. Puis, en écrivant ceci, je me dis que je fais fausse route, et qu’au contraire, ce qui nous est raconté est prévisible, pour ne pas dire quasiment possible.
Quand l’histoire a-t-elle commencé ? Pas ce soir-là, non, elle a commencé bien plus tôt, elle a commencé cinq ans plus tôt pour Hugo Kezer, chef de groupe à la brigade criminelle. Elle a commencé aussi bien plus tôt pour ceux qui ont crée ce chaos qui mettront à mal … Non, pas l’économie française, même si c’est elle que les politiciens veulent à tout prix préserver. Elle met à mal la société français, parce qu’il est des personnes qui ne mesurent pas la portée de leurs actes, parce qu’ils en est d’autres qui les mesurent très bien, et parce qu’il en est d’autres qui se moquent éperdument des conséquences de ce qu’ils auront provoqué.
Hugo et ses hommes vont donc tenter de résoudre ce chaos – et quand on sait à quel point l’on peut être habitué à tout résoudre grâce à tous les appareils électriques qui sont à notre disposition, on se dit que, isolé, chacun de leur côté, réussir à communiquer pleinement entre eux sera déjà compliqué. Oui, l’on ne pense pas à prévoir des « solutions de secours » – parce que l’on croit que tout ira toujours très bien.
Certaines scènes sont particulièrement émouvantes, à la limite presque du pathos. Il suffirait de presque rien pour que la frontière soit franchie. Pas de point de vue omniscient dans ce récit, mais une juxtaposition de point de vue interne, qui nous font connaitre le ressenti de certains d’entre eux, qui me font dire aussi que certains feraient mieux de se taire plutôt que de porter des jugements hâtifs.
Tout est bien qui finit bien ? Non, pas vraiment. Ce roman nous rappelle à quel point tout est loin d’être parfait, d’être aussi parfait que certains le pensent dans notre belle société civilisée.

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Imaginez qu'autour de votre berceau d'humain civilisé se soient penchées les fées Gaz, Mazout/essence et Electricité. Surgit Carabosse mécontente de ne pas avoir été invitée à la fête et bien décidée à se venger.
Clic, Black-Out, Nuit noire
Que faites-vous ?

Et bien, vous voilà dans un chaos monstre car sans électricité dans ce monde hyper branché, tout ou presque tient à une prise que l'on branche ou débranche: les feux de circulation, les respirateurs dans les salles d'op, les systèmes d'alarme des banques, la recharge de votre smartphone, votre PC, tout est out et vous aussi.

Un climat propice aux plus beaux coups dans la carrière de certains malfrats. Du moins, c'est ce qu'ils pensent lorsqu'ils sont engagés par la tête pensante de ce chaos organisé.
Et si finalement, tout cela n'était qu'une histoire de vengeance d'un individu dévoré par la haine.

Dans ce policier assez conventionnel par sa construction, les seconds rôles ont la part belle et surtout les pères et leurs enfants.
Flic ou voyou, c'est pour eux que les plus courageux se battent et pas seulement pour sauver le monde,
enfin peut-être.

1er volet d'une série inaugurant la création d'une brigade 'Nouvelles Menaces.
Il faut vivre avec son temps. Gendarmes et voleurs, c'est un peu dépassé en ce 21e siècle.
Rouge en est le second, du moins si l'électricité est réparée d'ici-là; Suspens

Noir comme Rouge sortent chez Fleuve éditions
le 1er avril 2021 dans la collection Fleuve Noir.

Noir Pères Impairs et ---- à vous de découvrir si ce Noir est gagnant

et à tenter Rouge sur le tour suivant, couleur de feu

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Un thriller alletant et qui a su me tenir en place tout le long de l'histoire
On veut constamment savoir la suite et si l'histoire finira heureuse ou non
J'ai beaucoup aimé le fait de mettre en place l'histoire a travers le point de vue de plusieurs personnes impacté et comment cela peut changer leur vie
Je recommande cette lecture avec joie et sans craintes

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Chronique d’un black-out annoncé…

Premier livre de cette nouvelle série, publiée aux éditions Fleuve, « apocalypse » est avant tout un excellent polar avec une enquête d’un nouveau genre, puisque point d’apocalypse au bout, mais bien les possibilités auxquelles on pourrait faire face, dans les mois, les années à venir avec une montée en puissance des menaces et une radicalisation des idées et de la violence que cela peut engendrer.

Quoi que l’on puisse penser de ce livre, il met le doigt sur la fragilité et l’exposition au terrorisme à l’anarchie, mais n’utilisons pas de raccourcis trop vite, il ne s’agit pas de terrorisme, à proprement parler, c’est beaucoup plus tordue et aussi beaucoup plus simple que cela.

Ici, c’est la région parisienne qui est la cible d’une attaque organisée avec l’explosion simultanée des dix-huit transformateurs qui l’alimente en électricité. Imaginez un peu ce que cela pourrait être, sans lumière, sans électricité… La nuit tombe sur la capitale et ses environs, le chaos devient rapidement incontrôlable avec les pillages et la violence à chaque coin de rue… Ça fait rêver ? Pas vraiment… En général ces thématiques fleurissent dans le genre fantastique, pourtant ici c’est notre quotidien qui est pris en otage avec toutes les conséquences, les causes et les solutions qui sont mises en place pour remettre éviter le chaos total.

Ce qui est flippant avec « noir », c’est la manière avec laquelle il met en exergue la vulnérabilité de notre société. Seules quelques infrastructures échappent au chaos : commissariats, hôpitaux… Mais pour un temps seulement, puisque les groupes électrogènes ne permettent de tenir que 48 heures…

L’intrigue se concentre sur l’enquête en elle-même, puisque seulement quelques paragraphes par-ci par-là, évoquent les solutions de réparation de ces transformateurs. Réparations longues, plusieurs semaines… Alors, on cherche, on contourne pour éviter que le chaos s’installe durablement. En quelques heures, c’est déjà l’enfer, alors si cela devait durer…

La trame de l’intrigue, assez classique, emprunte au polar toutes les ficelles que l’auteur utilise à bon escient, mais peut se targuer d’un nouveau concept avec ce black-out parisien qui sert de fil conducteur. Un début sur les chapeaux de roues, très visuel, assez immersif, pour peu que l’on habite à Paris, et c’est ce que j’ai particulièrement apprécié. Le tout avec des personnages bien brossés avec leurs failles, leurs complexités, devenant tour à tour antipathiques ou attachants.

Même si j’ai été surprise, car je pensais plonger dans une intrigue apocalyptique, je me suis vite laissée embarquée par cette enquête dont les tenants et aboutissants, dévoilent toute la complexité de l’affaire.

Sous couvert d’une bonne intrigue, dans laquelle l’auteur sait ménager le suspense, il nous entraîne dans les problématiques de notre société, en esquissant une réflexion sur les dangers auxquels nous devons faire face, dévoilant les éléments au fil de la lecture forçant le lecteur à aller jusqu’au bout, pour connaître le fin mot de l’histoire…

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Une série de romans noirs qui met au centre les nouveaux périls qui menacent les fondements de notre société ? Koz toujours, tu m’intéresses (vraiment) !

Un mystérieux auteur qui se cache derrière un pseudonyme non moins obscur. Un éditeur, Fleuve Éditions, qui prend le risque de publier en même temps deux romans (Noir et Rouge), un titre « chapeau » anxiogène pour la série (Apocalypse). De quoi réellement titiller la curiosité du lecteur que je suis.

Plantons le décor, les bases, les racines. Du mal, du contexte, du genre.

La petite apocalypse de Noir est concentrée dans le temps. Ce n’est en rien la fin du monde. Mais une menace qui tend à lui mettre un genou à terre.

Cette fiction n’est pas à classer dans le genre des romans apocalyptiques, c’est bel et bien un polar (flics / enquête), à la fois classique et singulier, totalement dans l’air du temps.

Imaginez Paris et sa banlieue totalement plongés dans la pénombre, coupure générale d’électricité. Imaginez que les dégâts sont tels qu’il n’est pas possible de les réparer avant plusieurs semaines. Acte terroriste ? C’est bien plus complexe que ça.

Les ténèbres amènent le chaos. Le chaos appelle toujours plus de chaos. Le contexte est donc particulièrement destructeur. Ce n’est cependant pas ce qui est au centre de cette intrigue, où l’enquête et ceux qui gravitent autour sont bien le cœur palpitant de l’histoire.

Qui, pourquoi, comment ? L’idée n’est pas de nous raconter comment sera réglé le problème, mais bien d’en trouver les responsables et les raisons de cette anarchie déclenchée.

Vous vous souvenez de la série TV 24 heures chrono ? On pourrait dire qu’on est ici dans un équivalent littéraire à la française. Rythme, action, personnages suivis au plus près, douleurs, émotions fortes.

Koz sait développer une intrigue policière. Il sait aussi construire des personnages ambivalents, qui en deviennent aussi attachants qu’irritants. Hugo Kezer en premier, chef de groupe à la brigade criminelle, qui devient la pièce centrale de l’investigation, alors que tous autour de lui pensent qu’il n’a ni l’étoffe ni les nerfs pour s’en sortir.

Je dois dire que j’ai été étonné de constater que le livre restait dans un format de polar classique, malgré les ingrédients originaux qui rendent l’enquête explosive. Je m’attendais à lire un livre davantage axé sur le côté apocalyptique de la situation. Petite période de flottement durant ma lecture, vite oubliée derrière cette intrigue bien menée.

Oui, l’énigmatique auteur sait y faire, sait mener son affaire avec une réelle efficacité et emporter le lecteur dans la pénombre avec lui (et ses protagonistes). Le tout en 300 pages cadencées au rythme du palpitant qui s’affole.

Rouge, l’autre épisode de la série, devrait enfoncer le clou, au fer rouge. Autre couleur, autre menace. Mais lisez bien Noir en premier !

Rien n’arrive jamais sans cause, de Koz à effet, le mystérieux écrivain déboule à 300 à l’heure dans le Noir. Avec un polar ancré dans notre temps, au plus près de nos peurs et de nos interrogations. Toujours ludique aussi. A suivre !

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Une nouveauté chez Fleuve Noir, une nouvelle collection si j’ai bien compris. Il s’agit de la collection « Apocalypse ». Nous voici donc avec le tout premier titre de cette collection qui ne pouvait que m’attirer par son résumé qui promet un moment bien noir, mais aussi par le nom de son auteur qui est très mystérieux. Est-ce un auteur que nous connaissons qui écrit sous pseudo ? Est-ce un juste un auteur qui en est à son premier roman et qui a décidé de garder une part de mystère ? Telle est la question ! Toujours est il qu’il a réussi à me faire passer un bon moment dans le noir.

Une maison d’édition, deux romans, un Rouge (dont je vous mettrai le lien, une fois publié), un Noir et un auteur anonyme. Ça ne peut que titiller le lecteur. Mais que faire ? Lire Rouge ou Noir pour commencer ? J’avais commencé par Rouge et raté, c’est Noir qui commence la série. Rassurez-vous, si vous choisissez de commencer par Rouge, vous ne serez pas du tout déroutés, car ils peuvent se lire totalement indépendamment l’un de l’autre.

Bon, je suis censée vous parler de Noir et, voilà que je m’étale déjà sur Rouge, ça commence bien ! Noir, c’est donc un énorme black-out qui va nous entrainer dans l’action et qu’on ne voudra plus lâcher tant on est pris par l’histoire. Noir, c’est un roman qui nous fait réfléchir. Et si un tel black-out arrivait, dans quel état serions-nous ? Comment réagirions-nous ? Noir, c’est noir, nous resterait-il un espoir ?

Partons en région parisienne où tout se passe. Paris est plongé dans le noir, dans le chaos, car il est la cible d’une attaque organisée. Dix-huit transformateurs ont explosé, c’est énorme et combien de temps faudra-t-il pour remettre tout ça en place ? C’est une bonne question ! Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’auteur nous plonge dans un roman totalement oppressant comme je les aime. J’ai été complètement immergée dans l’histoire et, je me suis sentie dans le noir, comme tous les parisiens qui l’ont vécu. Lisez ce roman dans le noir et vous verrez, c’est l’effet anxiogène assuré. Bah quoi, ce serait dommage de le lire en pleine journée ! 😀

En plus du côté oppressant, l’auteur nous fait ressentir de l’inquiétude et de la tristesse pour un petit garçon à l’hôpital. Nous cherchons à faire le parallèle entre les deux histoires, mais c’est bien compliqué. Vraiment, nous ne voyons aucun rapprochement.

Nous nous retrouvons finalement à coller aux basques d’Hugo Kezer qui est chef de groupe à la brigade criminelle. Au fil des pages, nous le découvrons et nous comprenons que rien n’est facile pour lui entre une vie familiale et une vie professionnelle assez tourmentées. Nous le suivons, car oui, nous sommes toujours dans une ambiance apocalyptique, mais surtout dans une enquête. Tellement de choses se passent suite à cette panne d’électricité, mais autant vous laisser les découvrir par vous-même…

Finalement, nous voulons tellement tout savoir, que l’enquête finit par prendre le pas sur le côté apocalyptique, mais ça ne nous empêche pas de rester immergés. On suit les pistes avec notre chef de groupe, on fait des découvertes, on avance de rebondissements en rebondissements et, à aucun moment, on ne s’ennuie. L’intrigue est vraiment très originale et très bien ficelée. En cette période de crise sanitaire, l’auteur arrive vraiment à jouer avec nos sentiments à travers ce roman.

Au fur et à mesure, nous rencontrons certains protagonistes qui nous font comprendre le dénouement de l’histoire et j’avoue que là, c’est du grand art, car je n’avais rien vu venir quant au pourquoi du comment. On termine ce roman en se disant que, en ce moment, notre société tourne vraiment à la catastrophe, même si, quelque part, on s’en rend de plus en plus compte .

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Black-out complet à Paris, tous les transformateurs sont tombés en rade en même temps. Incroyable coïncidence ou braquage machiavélique, c'est la question à laquelle doit répondre Hugo Kezer, flic recalé qui tente de reprendre du galon. L'enquête est rondement menée, les ramifications compréhensibles et l'écriture très intéressante.
Je me réjouis d'enchaîner avec "Rouge", sorti simultanément!

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Fleuve Éditions a eu la gentillesse de m'envoyer, via net galley, le thriller : Noir de Koz. Publié le 1er avril, c'est le premier tome de la série Apocalypse composée de Noir et de Rouge (publié le même jour).
Au moment où les dix-huit transformateurs alimentant Paris et sa banlieue en électricité explosent simultanément, le noir tombe sur la capitale et ses environs.
La nuit est totale, le danger inédit. En quelques heures à peine, les rues sombrent dans le chaos. Les scènes de pillages et de violence se multiplient. La tension monte.
Immédiatement, Hugo Kezer, chef de groupe à la brigade criminelle, prend le commandement de la cellule de crise mise en place pour répondre à l'urgence de la situation.
Il doit avant tout comprendre qui se cache derrière cet acte criminel, cette organisation aussi élaborée. Et les raisons pour lesquelles ce black-out a été si minutieusement orchestré.
Une course contre la montre s'engage alors pour Kezer, d'autant plus éprouvante que les menaces sont nombreuses et pourraient bien mettre en danger celles et ceux qu'il aime…
Noir est un thriller époustouflant, un vrai turn-over difficile à lâcher une fois commencé.
L'histoire est simple : Paris se retrouve dans le noir total suite à des explosions en chaîne qui ont endommagées non pas un mais... 18 transformateurs ! Des attentats très bien organisés qui vont donner lieu à des scènes d'apocalypses, des casses, des pillages.. Il est évident que seuls des professionnels peuvent réaliser une telle prouesse... Mais dans quel but ??
C'est très crédible, surtout la violence engendrée par ce black-out. Et franchement, cela fait froid dans le dos. J'espère que jamais la réalité ne rattrapera la fiction comme cela est malheureusement parfois le cas.
Hugo Kezer est un homme qui a un sacré caractère mais aussi un passé assez lourd avec de sacrées fêlures. Parfois, passé et présent se mélangent dans sa tête. C'est un personnage complexe donc, mais aussi très intéressant. Impossible de s'ennuyer à ses cotés car il nous embarque avec lui dans une course poursuite captivante. J'ai aussi apprécié d'autres personnes qui gravitent autour de lui, notamment Anne, autre personnage complexe et intriguant.
Je n'ai pas envie d'en dire plus, mais vraiment j'ai adoré ma lecture. Avec parfois un petit malaise car j'espère vraiment, vraiment, que ça restera un roman. Si un tel black-out arrivait cela serait une catastrophe.
Ce roman est digne d'un film catastrophe à gros budget, ça pète de partout, il y a beaucoup d'actions ; j'ai adoré.
Noir est un très bon thriller, et je suis ravie d'avoir Rouge dans ma tablette pour pouvoir découvrir les prochaines aventures d'Hugo.
Ma note : un très gros cinq étoiles.

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Noir est un polar qui porte bien son nom. Après un sabotage de grand ampleur, Paris et sa région son plongé dans le noir et le chaos. Dans ce contexte apocalyptique, une cellule de crise est mise en place pour enquête sur cette affaire.
Le roman n'est pas exempt de certains clichés : le héros est un flic divorcé, hanté par un drame personnel, pas vraiment en odeur de sainteté avec sa hiérarchie, un des malfrats est impliqué malgré lui et cherche la rédemption,... Pourtant, grâce à un postulat de départ original et à une intrigue maitrisée de bout en bout, cette histoire est un vrai plaisir à lire. Dans que l'auteur fait la part belle à tous ses personnages, chacun nanti d'un passif assez fourni. Porté par un rythme haletant, ce suspense nous tient en haleine jusqu'à la fin.
Il ne mettre reste plus qu'à me plonger dans Rouge.

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