La belle-mère

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Date de parution 20 août 2020 | Archivage 21 août 2020

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Résumé

Avocate appréciée pour son dévouement, Diana se bat pour améliorer le sort des réfugiés, mais elle se montre froide et distante, sinon blessante, envers les siens. Ce dont souffre Lucy, sa belle-fille, qui rêvait de trouver en elle une mère de substitution.

Dix années ont passé, et Diana vient de mourir. Elle se serait suicidée. Mais, à l’autopsie, nulle trace d’un cancer… Qu’est-il donc arrivé à Diana, dont le testament a été modifié peu de temps avant sa mort ?

Avec ce suspense psychologique, dans la lignée des succès de Liane Moriarty, Phoebe Morgan ou B.A. Paris, Sally Hepworth livre le portrait glaçant d’une famille en apparence harmonieuse. En apparence seulement…

Avocate appréciée pour son dévouement, Diana se bat pour améliorer le sort des réfugiés, mais elle se montre froide et distante, sinon blessante, envers les siens. Ce dont souffre Lucy, sa...


Note de l'éditeur

Après avoir vécu au Canada, au Royaume-Uni et à Singapour, Sally Hepworth s’est installée avec son mari et leurs trois enfants à Melbourne, en Australie, pour se consacrer à l’écriture. Elle est l’auteure de trois suspenses psychologiques traduits dans huit pays, dont Mères et filles (Belfond, 2015).

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FORMAT Grand Format
ISBN 9782809828863
PRIX 21,00 € (EUR)

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Chroniques partagées sur la page du titre

Lucy et Ollie (Oliver) sont mariés depuis une dizaine d'année. Il sont des enfants. Un matin, la police débarque chez eux pour leur annoncer le décès de la mère d'Ollie, la belle-mère de Lucy, Diana.
Toute sa famille pensait qu'elle avait un cancer... or ce n'est pas le cas. Quelle est la cause de la mort? Suicide? Homicide?
Diana était une personne avec un vécu particulier et des attitudes parfois rigides avec les siens.
Lucy, qui pensait trouver en elle un substitut maternant, semble s'être laissée berner d'illusions, les relations sont distantes.
La mort de Diana va faire ressurgir les drames familiaux et les pires secrets enfouis...

Ce roman est un thriller psychologique qui porte une angoisse crescendo.
L'auteur nous propose un récit sur deux temporalités : aujourd'hui, suite à l'annonce de la mort de Diana et il y a 10 ans.
Lorsque l'on pousse les portes d'une maison, que l'on découvre les vies familiales, on est parfois surpris des histoires, des vécus, des drames qui président à la conclusion d'une vie.
Peut-on se douter de ce qui se trame derrière les rideaux des familles bien sous tous rapports? La réalité peut être parfois plus glaçante que ce que l'on aurait imaginé.
J'ai bien aimé ce roman avec un fort suspens psychologique.
Merci aux #editionslarchipel et à #netgalleyfrance pour cette découverte en avant-première!

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Pour commencer, je remercie Netgalley et Mylène des Editions de l'Archipel pour l’envoi de cet Ebook 
Je ne vais pas vous mentir le titre à fait tout le JOB me concernant !! Il n’en fallait pas plus ou titiller ma curiosité, car ces 3 mots sont résonnants et parlent à beaucoup d’entre nous.
L’Histoire est simple, Diana est la Belle-mère de Lucy mariée à Ollie et parents de 4 enfants. Diana est à la tête d’une association qui vient en aide aux réfugiés en les aidant à trouver du travail, elle y consacre beaucoup de temps au détriment de sa propre famille et se retrouve à la tête d’un beau patrimoine financier.

Diana parait comme un Roc, le pilier de la famille face à son mari Tom. Un soir, 2 policiers sonnent chez Ollie son ainé et il apprend que sa mère vient de se suicider. La douche froide pour son fils qui n’y croit pas une seconde. Ollie, sa sœur Netti et leurs conjoints respectifs sont suspectés, car chacun des personnages avait des rancœurs envers Diana … Mais qui dit la vérité ? Qui ment ? Et surtout pour quelles raisons ?
J’avoue que la dualité Belle -mère/belle-fille donne un rythme à l’histoire et on se rend compte que parfois les apparences sont trompeuses, les quiproquos peuvent entraîner des désillusions et des non-dits. Ce que j’aime dans ce genre de livre c’est que ces personnages sont réalistes, ils peuvent être "NOUS", "NOS VOISINS" … On s’identifie, on s’attache et on évolue avec eux.
Forcément, pour les adeptes de Thriller, ce livre restera un peu « light » ! D’ailleurs, il serait temps de catégoriser ce genre de livre en Drame familial plutôt ;) Et il touchera davantage de public, je pense.
Bref je recommande ce livre pour les adeptes de roman domestique ... Encore un livre à apprécier sur votre transat cet été
#Labellemère #NetGalleyFrance

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Lucy et sa belle mère Diana n'entretiennent pas une relation idéale. Jusqu'ici, rien d'original, c'est souvent le cas, non ?
Lorsque la police annonce la mort de Diana, des secrets et mensonges sont dévoilés, des questions apparaissent, dont la principale, meurtre ou suicide ? Pourquoi ?
On découvre l'histoire de cette famille du point de vue de Lucy et de celui de Diana, en alternant passé et présent. J'aime beaucoup cette construction non linéaire. 
Sur le papier, on a une famille parfaite, Diana et son mari sont aisés financièrement, ils ont réussi leurs carrières et ont deux enfants, chacun heureux en mariage. La réalité est tout autre. Il y a peu d'action, tout est centré sur les révélations, distillées au fur et à mesure, sans qu'on devine où nous emmène l'auteure. Plusieurs pistes, plusieurs mobiles. La psychologie des personnages est très fine. Plusieurs thématiques sont abordées, la morale de l'histoire étant que l'argent ne fait pas le bonheur. Ici, pas de héros ni de personnages hors du commun, c'est criant de vérité et ça fait froid dans le dos. On s'attache aux personnages car on les comprend, on compatit, mais peut-on pardonner ?
J'ai beaucoup apprécié cette lecture.

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J'ai adoré ce livre !!! Ne vous fiez pas à la quatrième de couverture, il est bien plus qu'un livre à suspens !!!Sally Hepworth, nous offre une magnifique histoire sur les liens familiaux, la filiation, le rôle de mère et de belle mère...son analyse est très fine, très pertinente.

Et même si l'aspect psychologique des personnages est omniprésent, elle n'en oublie pas l'aspect suspens autour de la mort de Diana avec des aller / retour passé présent parfaitement maitrisé .

A tout ça vous pouvez ajouter quelques sujets de sociétés d'actualité qui font de cette histoire un livre très complet.

Il se lit très vite, les chapitres s'enchainent à la perfection.

BREF...UNE TRÈS BONNE LECTURE, CERTES UN LIVRE À SUSPENS MAIS PAS QUE !

MERCI AUX ÉDITIONS L'ARCHIPEL,MYLÈNE ET NETGALLEY POUR CETTE BELLE DÉCOUVERTE

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je remercie Netgalley pour cet envoi en service presse et à la maison d'édition archipel.

L'histoire de Diana, belle mère de Lucy se bat pour améliorer le sort des réfugiés en délaissant un peu les siens.
Lucy a perdu sa mère très jeune et espère que sa belle-mère sera lui apporte ce qu'elle n'a pas eu , mais Diana est une femme froide qui ne sait pas donner son amour.

C'est une femme forte et qui ne se laisse pas impressionnée, tout le contraire de son mari Tom.

Diana a une fortune gagné de sa sueur et veut que ces enfants apprennent à se débrouiller par eux même, sans compter sur la fortune des parents.

le suicide de Diana, la mère d’Ollie lui est informé par deux policiers un vendredi soir.
Une enquête va être menée afin de découvrir s' il s'agit vraiment d'un suicide, malgré le poison retrouvé à coté du corps et cette fameuse lettre.

Ollie et sa sœur Nettie ainsi que leur conjoint vont être suspectés chacun leur tour afin de pouvoir élucider ce suicide qui reste mystérieux aux policiers.

J'ai adoré ce roman, je l'ai lu en 2 jours tellement il est prenant et captivant.
nous découvrons le récit écrit d'une façon ou l'on passe du présent au passé régulièrement sans que cela perturbe la lecture.

Un suspense garantie jusqu'au dernier moment, tout est amené de façon réfléchie, ce récit nous garde en haleine jusqu'à la fin. Un scénario qui ne vous laisse aucun répit.

La plume de l’auteure est très agréable et fluide et on est vite pris dans ce thriller.

Je recommande fortement ce thrilleur.

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Tout d’abord un grand merci à Mylène de L’Archipel pour ce nouveau cadeau, je suis gâtée et je l’apprécie beaucoup.

Ce nouveau thriller que j’ai eu la chance de lire en avant-première est très original et pourra toucher un large public, pas seulement les amateurs de mauvais genres. L’auteure est australienne, et il n’est pas si fréquent de pouvoir lire de la littérature océanienne sous nos cieux, raison de plus pour profiter de cette découverte.

Un vendredi soir, Lucy et Ollie apprennent le suicide de Diana, la mère d’Ollie par deux policiers venus les informer. Ils ont trois petits enfants, Lucy est mère au foyer et son mari travaille dans le recrutement. Il semble que Diana s’est suicidée avec du poison, mais on ordonne une autopsie, car certains aspects semblent bizarres. L’enquête dure quelques jours, mais ce n’est pas le centre de ce roman choral qui donne la parole alternativement à Lucy et à Diana, soit dans le présent soit dans le passé. Les deux femmes déroulent leur relation conflictuelle au fil des années. Il y aura bien une surprise dans l’enquête, mais c’est finalement assez secondaire.

Ce thriller n’est pas très classique, l’enquête et son résultat ne sont pas très importants, même si on assiste à quelques interrogatoires des protagonistes. Ce livre est plutôt un roman d’ambiance assez sombre et flirte allégrement avec la littérature blanche. La plume de l’auteure est très agréable et on est vite pris dans ses filets. Elle explore surtout la famille dysfonctionnelle de Diana à travers le regard croisé des deux femmes. leurs attentes sont complètement différentes et elles seront en conflit larvé durant des années, jusqu’à finir par se comprendre et s’apprécier à la fin. Les deux personnages principaux évoluent de manière très intéressante au cours du livre. Lucy a perdu sa mère très jeune et espère que sa belle-mère sera un substitut maternel, rôle que refuse absolument Diana, femme aussi froide que riche. Au début, on voit Diana avec les yeux de Lucy jeune mariée puis jeune mère et Diana semble être une vraie sorcière. Mais au fil des pages, on découvre une femme engagée très activement dans l’aide aux réfugiées, qui n’a pas toujours été riche, dont la vie a été difficile auparavant et surtout qui tient à transmettre les vraies valeurs à ses enfants. Elle estime qu’ils ont eu toutes les opportunités dans leur jeunesse et qu’ils doivent en faire quelque chose, elle désapprouve leurs choix et leur goût de la facilité. Diana n’a aucun sens de la diplomatie et n’hésite pas à parler rudement à ses enfants, mais c’est une mère attentive qui se cache sous son masque de glace. A la longue, Diana et Lucy finiront par se rencontrer et s’estimer, même si un moment la jeune femme pense être tombée dans un piège diabolique. La soeur d’Ollie est stérile et totalement obsédée par ce problème, essayant toutes les thérapies possibles, jusqu’à perdre le sens de la réalité tandis que son mari la trompe en attendant l’héritage. Le rapport à l’agent est aussi un autre thème du roman, si Lucy comprend et approuve la démarche de Diana, vu qu’elle n’est pas intéressée, les autres jeunes ont bien de la peine à se débrouiller seuls et cela envenime les rapports avec leur mère, tandis que le père était bien plus coulant. Diana et Lucy sont deux femmes très amoureuses de leur mari et des mères très engagées, ce dont Diana finira par se rendre compte.

Ce livre est magnifique et nous offre deux superbes portraits de femme, différentes mais qui finiront par se comprendre. L’aspect thriller est secondaire, d’ailleurs on s’y arrête peu. Un beau roman à ne pas manquer.
#Labellemère #NetGalleyFrance

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Je souhaite remercier#NetGalleyFrance et les Éditions de l’Archipel pour m’avoir confié le service presse de #Labellemère
J’y ai trouvé beaucoup de raisons de me séduire : un suspense qui nous tient jusqu’à la fin, une étude sociologique des milieux aisés australiens, et quelques leçons de vie qui sont toujours bonne à prendre.
Nous évoluons au milieu d’une famille dont la mère, Diana, avocate ayant mis sa vie au service des plus malheureux est la belle-mère de Lucy, femme au foyer et amoureuse lucide mais déterminée d’Ollie. Autour d’elles, évoluent Tom, le mari de Diana et Nettie, la sœur d’Ollie et la fille de Diana. C’est un quasi huis-clos de quelques années qui nous est proposé, à vivre avec une famille bien sous tous rapports… au moins vu de l’extérieur.
L’auteur nous fait danser à sa guise, entre présent et passé, coups de cœur et coups tordus, amours dévouées et désir d’enfant, volonté féroce et envie de se laisser aller. Suicide ou pas ? Diana a-t-elle choisi sa mort ou a-t-elle été tuée ?
J’ai vraiment apprécié le regard porté sur les relations familiales, la richesse des émotions affleurant lors des rencontres et évoluant entre les non-dits et les explosions de colère.
L’écriture est lisse, le rythme est soutenu ; la lecture est facile.
Belle-mère froide, belle-fille rebelle, ce roman est écrit pour vous ; il peut offrir un nouvel angle de vue si vous connaissez quelques difficultés dans votre propre famille. Plus sympa et moins cher qu’une séance chez le psy. Quant à ceux qui aiment le suspense, foncez aussi…

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Un vrai page turner que ce roman que j'ai dévoré d'une traite ou presque... Le roman s'ouvre avec l'annonce du décès de Diana, la belle-mère de Lucy et nous permet, grâce aux souvenirs de la belle-fille, de découvrir leur relation, faite de beaucoup d'incompréhension au final, mais également l'histoire de Diana et les raisons qui motivent ses choix de vie mais aussi ses réactions. Les personnages sont remarquablement bien écrits, nuancés et les relations entre eux sont bien développées par l'auteure. La vérité sur la mort de Diana s'avère glaçante et j'ai vraiment apprécié découvrir cette auteure qui frappe un grand coup avec ce roman à l'écriture ciselée.

Ce que j'aime : les personnages, la plume de l'auteure, le scénario bien construit, les relations entre les protagonistes

Ce que j'aime moins : j'aurais aimé que le roman soit plus long, juste pour prolonger le plaisir

Pour résumer

Une excellent thriller familial qui dissèque parfaitement les relations entre les différents personnages

Ma note

8,5/10

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Une belle-mère, sacré sujet de discussion, adorée ou détestée, parfois moquée, … En tout cas elle est rarement absente des pensées d’un couple.
Sally Hepworth, auteure australienne en a fait le thème principal pour ce roman à suspense. En effet Diana (la belle-mère) et Lucy (La belle-fille) sont les personnages centraux de ce récit, ou plutôt la relation qui les lie en est le principal moteur. Et cette relation évoluera au cours de leur vie.
Ce roman va en remontant le temps. On y apprend le décès de Diana, un suicide apparent mais qui sera traité par les inspecteurs en charge de l’histoire comme un homicide. Nous serons donc transportés à travers le temps du passé de Diana à la rencontre avec Lucy, nous verrons les conséquences de ce décès pour les enfants et leur avenir.
Chaque chapitre est écrit à la première personne et ce mode de narration nous rapproche beaucoup des personnages. Pour chacun d’entre eux, nous n’arrivons pas vraiment à les aimer ou les détester totalement à l’image de Diana donc belle-mère parfois exécrable mais merveilleuse grand-mère et une femme qui donne de son temps pour les réfugiés. En fait, ces personnages sont à l’image de beaucoup d’entre nous multi-faces.
J’ai vraiment bien aimé cette lecture même si on peut relever quelques longueurs surtout pour cette galerie de personnages. L’intrigue quant à elle, s’il paraît simple au départ, se complexifie et son dénouement vous surprendra.

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C’est un peu par hasard que j’ai croisé le chemin de ce bouquin, c’est d’abord la couv’ qui a attiré mon regard et éveillé ma curiosité, un rapide coup d’œil au pitch a fait le reste.

J’avoue humblement que je ne connaissais pas du tout Sally Hepworth qui signe là son cinquième roman, et le second disponible en français. La Belle-Mère est le second thriller de l’auteure, pour l’anecdote le précédent et son prochain roman sont aussi placés sous le signe du thriller se déroulant dans un cadre familial.

Embarquement immédiat pour l’Australie, et plus précisément pour Melbourne et sa banlieue afin de suivre une intrigue portée par deux voix féminines. Les chapitres alterneront en effet entre les points de vue de Lucy (la belle-fille) et de Diana (la belle-mère) ; une alternance qui permet de mieux apprécier les personnalités de chacune des narratrices, mais aussi de relativiser certains avis (si Diana n’est pas forcément une pro de la diplomatie, elle n’est pas non plus une marâtre acariâtre).

Une intrigue qui se joue aussi sur deux axes temporels intitulés sobrement passé (depuis la rencontre entre Lucy et Diana et autres épisodes ayant tissé leurs relations compliquées ou simplement d’événements marquant de leurs vies) et présent (avec les questionnements et l’enquête autour de la mort de Diana).

À travers le récit des deux femmes on découvre aussi le reste de la famille. À commencer par Ollie, le mari de Lucy et fils aîné de Diana, et les trois enfants du couple (Archie, Harriet et Edie). Sans oublier la sœur d’Ollie, Nettie et son mari Patrick. Et Tom, le mari de Diana.

Si l’auteure donne essentiellement la parole à Lucy et Diana, il n’en reste pas moins que les autres personnages sont traités avec beaucoup de soins, chacun développant une personnalité qui lui est propre et parfois des problématiques individuelles.

Au-delà du strict cadre familial d’autres personnages vont s’inviter dans le déroulé de l’intrigue, notamment un duo de policiers qui se pose de nombreuses questions sur les circonstances de la mort de Diana.

Finalement ce bouquin fut un agréable thriller psychologique et familial, j’ai pris beaucoup de plaisir à le dévorer et à me poser bien des questions sur les motivations des uns et des autres.

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Luc et Ollie apprennent le suicide de la mère d'Olive. Une enquête est tout de même menée. Elle va permettre de dévoiler les rapports des uns et des autres dans la famille Goodwin. Les rapports belle fille belle-mère semblent de prime abord compliqués.
Le récit alterne passé et présent pour Lucy et Diana, sa belle-mère. Ces moments sont évoqués à la première personne et nous apprennent l'histoire de chacune, la complexité et surtout leur vécu parfois compliqué. Leur histoire personnelle va les forger et guider leurs choix et façon de vivre. Au départ, leurs rapports sont compliqués mais au fil du temps, elles vont se découvrir. En parallèle gravitent autour d'elles les autres membres de la famille avec leurs envies, leurs obsessions, leurs caractères...
Ce roman est prenant, au fil de la lecture, les personnes se dévoilent et leurs choix qui paraissent incompréhensibles de prime abord, s'expliquent par leur vécu.
Une superbe découverte.

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Un excellent thriller psychologique aux personnages complexes et bien travaillés, l'auteur réussi à nous les faire aimer autant qu'à les détester tant ils sont réalistes par leurs défauts et leurs secrets.
Le scénario nous offre un suspense durable et chaque retournement de situation nous fait douter. La multinarration ajoute de la profondeur et de la force à l'intrigue et à la psychologie des personnages.
On se plait à plonger au coeur de cette famille dysfonctionnelle et de ses secrets.
Amateur de thriller domestique, ce livre est fait pour vous.

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Ce thriller psychologique est avant tout l’histoire d’une famille moderne malmenée par les aléas de la vie.
Nous sommes en Australie, dans la banlieue de Melbourne où vit la famille Goodwin: Lucy, Oliver et leurs trois jeunes enfants Archie, Harriet et Edie.
Une famille en apparence tout ce qu’il y a de plus normale puisque aimante équilibrée et très à l’aise financièrement .
Un équilibre assez fragile néanmoins car il repose comme nous allons l’apprendre sur des bases qui ne sont pas toujours très saines.
Et l’événement qui viendra l’ébranler sérieusement sera le décès de la belle-mère de Lucy, la mère d’Oliver, Diana Goodwin.
Sur le fond d’une enquête policière autour de la mort suspecte de le belle-mère ce roman est une minutieuse analyse des relations familiales pas toujours simples, qu’il s’agisse des relations entre parents et enfants, être frères et sœurs ou entre beaux-parents et beaux-enfants.
Le livre est basé sur les points de vue de Lucy et Diana qui alternent dans de courts chapitres ( ce qui rend la lecture fluide et facile à suivre) qui à leur tour alternent passé et présent.
Le rythme alerte est également soutenu par des phrases courtes qui tiennent le lecteur en haleine.
En conclusion, une histoire bien ficelée doublée d’une écriture simple et efficace qui réserve une fin pour le moins inattendue.
Je remercie les éditions de l’Archipel et Netgalley France pour cette lecture.

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Le belle-mère fait partie de la vague de thriller domestique que l'on peut trouver en ce moment. Ici, on a le haut du panier.
L'autrice nous offre une galerie de personnages très intéressants, chacun ayant un intérêt voir mourir la belle-mère. Chacun cherche à défendre ses propres intérêts et va dévoiler au fur et à mesure ses motivations profondes, pour le meilleure et pour le pire.
L'intrigue alterne les chapitres dans le présent, après la mort de la belle-mère, et ceux qui se passent dans le passé. L'histoire déroule les indices les uns après les autres, nous entraînant sur quelques fausses pistes. Jusqu'au dénouement, assez surprenant. J'avoue ne pas m’être attendu à cette fin, même si les derniers chapitres rendent ce dénouement inéluctable.
Au final, ce roman est un véritable page turner, difficile à lâcher, qui nous offre une histoire fascinante implanté dans un environnement familier.
Un grand merci à Mylène des éditions de l’archipel et à Netgalley pour cette lecture pleine de suspense.

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La belle-mère est un thriller domestique dont la construction tient le lecteur en haleine. Les personnages sont bien campés, leur psychologie fouillée et l’histoire donne à réfléchir! J’ai beaucoup apprécié!

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Avant tout, merci à NetGalley et à Mylène des éditions de l'Archipel pour m'avoir fait découvrir ce roman, que j'ai lu en une seule journée tant j'ai accroché dès le début à l'histoire.
Il me semble que c'est la première fois que je lis une auteure australienne. L'histoire se déroule dans la banlieue de Melbourne. La plume est addictive ; j'ai tout simplement adoré cette ambiance familiale plutôt intimiste.
L'auteure évoque le point de vue de Diana, la belle-mère, et de Lucy, sa belle-fille, et alterne le passé et le présent pour mieux comprendre la relation entre ces deux femmes. Lucy ayant perdu sa mère assez jeune, elle attend finalement beaucoup de sa belle-mère et va de déception en déception. Au fur et à mesure, ces deux femmes vont finir par se comprendre et voir qu'elles ne sont pas si différentes que cela l'une de l'autre.
Le rapport à l'argent est omniprésent dans ce livre. Il montre une analyse intéressante des relations familiales. Outre le rapport à l'argent, l'autre thème qui ressort de ce roman est la relation parent/enfant, ou grands-parents/petits-enfants, et l'importance de la maternité, évoquée notamment à travers les problèmes de stérilité que rencontre Nettie, la belle-sœur de Lucy.
La fin est surprenante et assez inattendue. Bref, j'ai passé un excellent moment de lecture, et je ne suis pas loin de dire que c'est un coup de cœur pour ma part.

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J’ai eu un véritable coup de ❤️ pour ce véritable suspens psychologique que j’ai dévoré !
L’autrice nous dresse le portait d’une famille qui semble harmonieuse, équilibrée et heureuse mais comme souvent les apparences sont trompeuses.
Complètement addictif on s’identifie facilement aux personnages. On partage petit à petit des bouts de chemin de leur vie et on se demande ce qu’il a bien pu se passer pour mener à l’implosion de cette famille.
Un roman domestique sur les liens familiaux, sur l’Amour, sur la maternité.
Dans toute famille il y a des attentes que l’on peut avoir et d’autres qui sont quelques peu inavouables, mais ou sont les limites ?
Un roman étonnamment bien ficelé que je recommande évidemment !

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Avant tout, merci à Netgalley et aux éditions de l'Archipel pour la découverte de cette auteure et de ce roman en particulier.
Lucy et Ollie sont mariés depuis 10 ans et ont 3 beaux-enfants. Comme toute personne mariée, il y a...hé oui, la belle-mère, avec laquelle les relations ne sont pas toujours au beau fixe. C'est le cas pour Lucy, et la mère d'Ollie, Diana. Lorsque la police vient les prévenir du décès de Diana, les souvenirs de Lucy resurgissent, l'histoire s'accélérant avec l'avancée de l'enquête (suicide? ou meurtre???).
L'histoire alterne les points de vue : celui de Lucy, qui n'aime pas trop sa belle-mère, celui de Diana, qui semble être une femme froide et indifférente. J'ai adoré ce livre : au-delà du simple thriller, c'est une histoire de femmes, rivales par nécessité, et dont les relations évoluent lentement. Certains sujets abordés sont d'actualité et questionnent notre condition d'humain, d'autres ont eu une résonance particulière pour moi. L'écriture est délicate, la lecture fluide. Probablement un de mes coups de coeur de l'été!!!

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un thriller domestique passionnant à paraître le 20 Août✨✨✨
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Je remercie @netgalleyfrance et Mylène des @editions_archipel pour cette lecture que j'ai adorée 😍
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J'ai vraiment trouvé ce thriller psychologique/domestique original, bien que le sujet ne le soit pas. On est immergé dans cette famille aux côtés de Lucy et son mari Ollie et leurs enfants, Diana et Tom les parents ou beaux-parents, Nettie soeur d'Ollie, passionnée par son travail mais qui désire avoir un enfant et on s'attache à eux, même à cette fameuse belle-mère aux idées très arrêtées. L'histoire est racontée à la première personne, alternativement entre passé et présent par Diana et Lucy. Le suspens monte cresendo et cet original portrait de femmes nous embarque complètement. J'ai beaucoup aimé la façon dont est traitée cette relation belle-mère/belle-fille. Mais le sujet de ce roman ne s'arrête pas là, d'autres sujets sociétaux y sont aussi traités. La lecture est facile mais le rythme est soutenu. On ne s'ennuie pas une minute ! Une très bonne lecture que je vous recommande !
#NetGalleyFrance #Labellemere

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#Labellemère #NetGalleyFrance #rentreelitteraire2020

📌 Je mets un point d'honneur à lire les romans auxquels j'ai accès en avant-première avant leur sortie. Ce qui me semble la moindre des choses pour profiter de lecture gratuite et les Editions l'Archipel ne sont pas avares ! C'est toujours un petit “risque”, certains livres n'ayant aucune critique mais pour celui-ci les critiques enflammées n'ont pas menti !

📌 Un thriller étonnant sur le fond : la famille et plus particulièrement les relations belle-mère et bru ! Étonnant aussi dans sa forme : chaque chapitre donne la parole à l'une ou l'autre qui s'exprime à la première personne, alternant passé et présent !

📌 Les personnages sont très justement décrits par rapport à leur caractère, leur comportement et leur place dans la famille. L'histoire et sa "structure” m'ont obligé (oui oui) à ne pas poser le livre avant la dernière page !

📌 Rien de sanguinolent, pas de violence gratuite et démesurée ! Ce qui sous la plume d'un autre auteur aurait pu être un simple drame familial est ici une histoire qui tient en haleine jusqu'au bout !

📌 Contrairement à la plupart des lectrices et lecteurs, je ne cherche absolument pas à deviner qui et pourquoi, sous peine de me gâcher le plaisir ou la déconvenue du dénouement ! Une lecture que je recommande et 5★ parce que je ne trouve rien à lui reprocher !

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Merci à Netgalley et aux éditions L'archipel pour cette lecture. La belle-mère se pose certainement comme un des thrillers de cette rentrée littéraire 2020, et voilà pourquoi . 

On découvre donc Diana , femme dévouée aux plus démunis d'une part, mais étrangement froide envers ces proches, que ce soit son fils et sa fille, ou son beau-fils et sa belle-fille , notamment Lucy , qui se fait narratrice en partie de cette histoire. A travers le portrait de chacun d'entre eux, on découvre l'envers d'une famille en apparence parfaite. Jusqu'au jour où Diana meurt apparemment d'un suicide, la machine est lancée et les secrets vont devoir sortir, mais à quel prix.... 

"La belle-mère" se présente comme un thriller psychologique de haut-vol. L'auteur prend un malin plaisir à nous mener en bateau , glissant subtilement de légers indices tout au long de son récit. De retournements de situations, et découvertes dérangeantes, elle vous fait changer d'avis sur chaque personnage sans arrêt. Elle nous balade avec efficacité d'un faux-semblant à l'autre, le tout dérrière les murs clos d'une famille bourgeoise en apparence parfaite. 

Alors certes, l'idée générale du thriller domestique a déjà été utilisé et certains auteurs en sont même des spécialistes, mais ce roman possède suffisamment de finesse dans l'analyse psychologique et dans la conduite de l'intrigue pour nous tenir en haleine de la première à la dernière page. Cela passe par des personnages crédibles, qui nous rappellent quelqu'un, à une écriture franche et fluide. 

En bref j'ai passé un excellent moment et je vous conseille de découvrir ce thriller dès le 20 août en librairie. 

Ma note: 19/20

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Lucy est en couple avec Ollie depuis quelques temps, lorsque vient le temps pour elle de rencontrer la famille d’Ollie. On rencontre Diana et Tom, ses parents, mais aussi sa sœur Nettie, et Patrick, le compagnon de sa sœur. Ayant perdue sa mère très jeune, Lucy espérait retrouver en Diana une seconde mère. Mais Diana est une femme froide et distante, même avec sa famille. C’est une excellente avocate, qui se bat notamment pour le sort des réfugiés, mais qui n’a pas la même vision de la famille que Lucy.
Au cours des années qui suivent, Lucy et Ollie ont trois enfants (Archie, Harriet et Edie), tandis que Nettie et Patrick n'arrivent à avoir d'enfant. Les relations entre Lucy et Diana sont distantes. Et une dizaine d’années après cette première rencontre avec la famille d’Ollie, on leur annonce que Diana vient de mourir…
Et cette mort soulève énormément d’interrogations. Pourquoi a-t-elle modifié son testament ? Pourquoi ne retrouve-t-on nulle trace de cancer alors que Diana avait annoncée être malade ?
Avec La belle-mère, Sally Hepworth va nous promener entre le passé et le présent, entre le point de vue de Lucy et celui de Diana, une alternance de temporalité et de perspective qui nous permettent d’en savoir plus sur ces deux femmes, comment elles ont évoluées, se sont construites et d’avoir surtout accès à leurs pensées. Outre le point de vue de Lucy et Diana, nous pouvons aussi nous plonger ponctuellement dans la psyché des personnages secondaires, ce qui permet de les développer de manière très intéressante.
La belle-mère est un thriller psychologique et familial, ce qui est très intéressant. Nous avons une mort suspecte, un dos d’inspecteurs que nous allons voir régulièrement, mais le point fort du récit est vraiment la description de cette famille, les tensions et les non-dits, mais aussi les liens d’amour qui les unissent tous – malgré tout. Lucy est un personnage touchant, de même que Tom, mais j’ai trouvé Ollie et ses enfants un peu moins intéressants et présents, même si ils sont nécessaires et apportent beaucoup de choses à l’intrigue. Nettie a un rôle différent, et sa lutte pour avoir un enfant la fait énormément souffrir. Mais le personnage que j’ai le plus apprécié est Diana : ce n’est pas une personne facile à côtoyer, mais elle est très intéressante, elle évolue, on peut pénétrer dans sa carapace… Vraiment le personnage le plus réussi !
Je dirais donc que La belle-mère est une bonne lecture, il n’y a pas cent rebondissements par chapitres ou une action effrénée, mais c’est efficace et bien construit, je me suis laissée agréablement emportée ! C’est un roman que je conseille si vous cherchez une histoire se déroulant dans un cadre intimiste, et où la psychologie des personnages est plus mis en avant que l’action.

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Les belles-mères… vaste sujet… non mais plus sérieusement c’est un lien familial propice aux intrigues, et ça, l’autrice l’a très bien compris. Les diverses tensions qui peuvent naître, se développer, se nourrir entre une belle-mère et sa belle-fille sont disséquées sous les yeux du lecteur. J’ai adoré pouvoir avoir les points de vue des deux personnages. On se surprend à se prendre d’affection pour les deux, tandis leurs regards respectifs nous montrent l’autre d’un façon moins glorieuse pourtant. Ce roman est la parfaite illustration de l’incompréhension et surtout des mauvaises interprétations que l’on peut faire des paroles et actes des autres, de la manière dont cela influe sur nos relations et sur nos vies…. L’histoire de cette famille et surtout leurs secrets se profilent, se dévoilent petit à petit, en passant par diverses époques. Procédé classique mais ô combien efficace une fois encore. Le doute perdure jusqu’à la toute fin. Si le pitch de départ est franchement classique, j’ai adoré ce roman qui a été un coup de cœur !

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La belle-mèreSally Hepworth éditions L'Archipel.
Une pépite du genre .
Melbourne, une famille aisée, je dirais même riche. Diana a créé une association d'aide aux réfugiés et s'y consacre sans compter. Femme d'action et de caractère elle se montre froide, distante et le plus souvent caustique vis à vis des siens , celle qui en souffre le plus est Lucy, sa belle-fille, orpheline de mère depuis l'enfance en manque d'une mère de substitution. Ses deux enfants Ollie, l'époux de Lucy, et Nettie sa fille semblent en prendre leur partie.
Quand Diana est retrouvée morte chez elle, la police pense à un suicide mais est-ce le cas? Pourquoi, comment ? Qui était Diana? L'enquête commence et les masques tombent petit à petit...
Les personnages sont très bien cernés, les failles des uns les aspirations obsessionnelles des autres révélées progressivement, le contexte socio économique australien est bien tangible. L'écriture de Sally Hepworth est rapide, claire et alerte, à noter la qualité de la traduction de Maryline Beury.
Un roman psychologique construit de main de maitre qui tient en haleine le lecteur. Un roman que j'ai dévoré en quelques heures. Je remercie Mylène des éditions de l'Archipel pour ce partage.
#Labellemère #NetGalleyFrance

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Mon avis
Ce service de presse proposé par le site Netgalley et les éditions l’Archipel que je remercie m’ont fait découvrir une auteure australienne qui signe son troisième roman.

Qualifier le roman de thriller familial est inapproprié, car il n’y a pas de suspens à proprement dit mais surtout beaucoup de questions en suspens à résoudre. Suicide ou pas ? En tout cas, mort suspecte… La dureté de cette femme a-t-elle susciter des envies de crimes ? Comment justifiait-elle sa dureté envers ses propres enfants ? Était-elle aussi froide et inflexible que ce qu’elle voulait montrer ? Qui aurait-elle provoqué pour organiser un crime sur sa personne ?

LA VRAIE BELLE-MÈRE
Le thème récurrent et universel de la relation belle-mère et bru galvaudée est ici traité sous couvert d’une intrigue policière. L’amour de ces deux femmes (mère et épouse) en convergeant vers le même homme, fourmille de prétextes à embrouilles, non-dits, frustrations, invectives et parfois de tendres complicités. La trame psychologique entre Diana et Lucie est bien illustrée. L’introspection respective de l’une et l’autre permet d’extraire les attentes originelles de ce lien par alliance, les maladresses formulées, et l’évolution des sentiments éprouvés.

J’ai apprécié la juste analyse de la situation avec la passivité de la part de la gent masculine de la famille : Ollie, (Oliver) le mari de Lucy et le fils de Diana, et celle de Tom le mari de Diana. Indifférents aux questionnements des femmes en présence, ils semblent même ignorer ces « prises de tête ».

UNE RELATION COMPLEXE
Le personnage Diana, a monopolisé mon attention. Au début, si méprisable qu’elle mérite presque sa mort, puis à la fin on comprend mieux. Sa narration sur son passé laisse transparaître une personnalité forte, aguerrie aux adversités de la vie, mais au tempérament complexe. On comprend qu’elle s’est forgé une carapace manifeste pour ses proches mais qui cache une générosité sincère pour d’autres causes. Mais là où la logique de l’auteur m’échappe, c’est son désemparement quand survient le décès de son mari, pourtant prévisible. Ça ne colle pas avec le personnage.

Lucie, dans son genre est également attachante parce qu’elle espérait beaucoup de cette relation avec sa belle-mère, celle qui aurait pu lui procurer une attention maternelle qui lui a manquée avec le décès de sa propre mère. Un peu fade par rapport à Diana, son caractère tranche avec celui de sa belle-mère. J’ai adhéré à son approche avec cette femme ostensiblement distante, voire antipathique avec elle, ainsi que cette tergiversation de sentiments de vouloir la « frapper » et celle où elle persévère dans les efforts pour lui être agréable. Cette ambiguïté assez humaine est finalement assez cohérente.

Un autre thème familial comme la « relation fille mère » également traité explique bien le manque de confiance en soi de Nettie. La distance établie par Diana avec sa fille est si frappante de réalisme que Nettie est assez touchante dans sa quête d’affection vis-à-vis de sa mère. Ainsi son obsession de maternité afin de combler un vide affectif est assez pitoyable, limite énervant mais qui finalement nous attendrit.

DESCENDANTS DÉSHÉRITÉS
Le mobile d’un héritage convoité complique l’intrigue car l’existence d’un testament change la donne. Cette disposition testamentaire en modifiant les héritiers ajoute de la matière à l’énigme : qui la connaissait ? Pourquoi a-t-elle été décidée ? Est-ce que le passé de Diana justifie sa volonté d’écarter ses enfants d’une fortune « facile » ?

Le thème l’éducation avec le rapport à l’argent avec les enfants, abordé de manière continue dans le récit trouve ici une illustration un peu alambiquée. Le passé de Diana paraît acceptable comme justification mais c’est là ma réticence : je ne suis pas convaincue de la cohérence de point de vue.

Le passé de Diana, l’organisation familiale et professionnelle de Lucie et son mari, la désespérante infertilité de Nettie place au second plan l’enquête pour une mort déguisée en suicide. Et si finalement les conclusions de l’enquête découlent naturellement au fur et à mesure, le scénario de la mort surprend quand même le lecteur.

C’est un excellent roman domestique avec une pointe de suspens,

#Labellemère #NetGalleyFrance

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Un roman qui tient en haleine, plus que l'histoire policière, c'est la relation entre Lucy et Diana qui m'a plu et intéressé. La construction du roman entre les différentes voux et les aller retour présent passé rythment agréablement le roman. J'ai passé un bon moment même si j'ai trouvé assez vite la "meurtrière". Le personnage de Diana est riche et élaboré, ce qui donne de la consistance au roman.

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En se mariant avec Ollie Goodwin, Lucy est devenue mère au foyer de 3 jeunes enfants. Son mari Ollie a pris des risques en s’associant avec l’exubérant Eamon, le parfait commercial chargé de gérer les finances et les relations extérieures. Quand la police arrive chez eux, le couple comprend vite qu’une très mauvaise nouvelle va leur être annoncée ; la sœur d’Ollie, Nettie et son mari Patrick sont convoqués. Effectivement, la riche veuve, Diana, mère d’Ollie et Nettie, a été retrouvée morte dans sa magnifique demeure. Aucune trace d’effraction, rien n’a disparu, tout porte à croire qu’elle s’est suicidée mais quelques indices montrent des traces de lutte… Et c’est justement aujourd’hui qu’Ollie est rentré tôt du travail. Quelle peut bien être l’explication de ce décès soudain ? Comment Diana en est-elle arrivée là ? Est-ce l’œuvre de l’un des membres de sa famille ? L’enquête doit le montrer et toute la famille est convoquée tour à tour… car Diana n’était pas toujours appréciée de ses proches.
Très distante, peu prolixe et intransigeante à l’égard de ses enfants, Diana s’est toujours montrée volontaire dans les épreuves, elle n’est pas la belle-mère complice dont Lucy avait rêvé pour compenser le manque de sa défunte mère … Même Ollie et Nettie lui préféraient son mari Tom pour sa jovialité, son optimisme et l’aide financière qu’il était souvent prêt à leur apporter contre l’avis de Diana ! Cette dernière a parfois éveillé en eux des colères sourdes voire des idées de vengeance pour avoir refusé des sommes qui de toute façon ne lui auraient pas fait défaut…
Grâce à l’alternance des points de vue et au mélange passé-présent, j’ai été rapidement intriguée par la froideur de Diana et le peu de marques d’affection à l’égard de sa famille. Passé la première moitié moyennement convaincante, je n’ai plus lâché l’intrigue avant de connaitre le fin mot de l’histoire et la vraie personnalité de Diana.
Merci à NetGalley et aux Editions l’Archipel pour ce roman dont la fin m’a beaucoup plu ! Une enquête qui mêle intrigue et psychologie en nous montrant à quel point dans une famille, les apparences sont parfois trompeuses…

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Je remercie chaleureusement Mylène des éditions L'Archipel pour l'envoi, via net galley et en avant-première, du thriller : La belle-mère de Sally Hepworth.
Avocate appréciée pour son dévouement, Diana se bat pour améliorer le sort des réfugiés, mais elle se montre froide et distante, sinon blessante, envers les siens. Notamment envers Lucy, sa belle-fille, qui rêvait de trouver en elle une mère de substitution.
Dix années ont passé, et Diana vient de mourir. Elle se serait suicidée.
Mais....
Qu’est-il donc réellement arrivé à Diana, dont le testament a été modifié peu de temps avant sa mort ?
Suicide, vraiment … Ou meurtre.... De nombreuses questions se posent, aussi bien sur les motifs que les éventuels coupables....
Sally Hepworth livre le portrait glaçant d’une famille en apparence harmonieuse. En apparence seulement… car il est rare que l'harmonie règle réellement dans une famille. Savons nous réellement ce qui se déroule quelque part une fois que les portes sont fermées ??
Avec La belle-mère ; nous découvrons l'histoire au fur et à mesure. Elle se déroule tel le fil d'une pelote de laine, peu à peu.
Nous suivons Lucy, Diana. De nos jours, mais aussi leur passé. C'est un peu lent et pourtant c'est captivant. Je ne voyais pas où l'autrice allait m'emmener. Il y a des surprises tout du long.
En général j'apprécie quand ça bouge un peu plus toutefois cela ne m'a pas réellement dérangé étant donné que c'est un thriller psychologique. Il est important que tout se mette en place si on ne veut pas se perdre ; tout doit rester cohérent. Et ici c'est le cas puisque tout se tient de la première à la dernière page.
La psychologie des personnages est important et ici elle est bien développée. Il y a beaucoup de non-dits et de faux semblants. Ni Diana, Lucy ou leurs proches ne sont lisses. Diana est une femme complexe, elle est froide avec ses proches mais en creusant dans son passé, on comprend pourquoi elle est ainsi.
Quel dommage que Diana et Lucy n'arrivent pas à se dire les choses, mais il n'est pas toujours évident d'avoir une belle-mère.
Il est difficile de savoir où ils vont nous emmener les uns et les autres. Et comment pouvoir imaginer que l'un d'eux puisse avoir commis un meurtre.. Si cela se trouve... c'est le reflet de notre imagination...Elle est morte comment en fait Diana ??? Beaucoup de questions se posent et j'ai trouvé ça vraiment fascinant.
L'histoire est bien ficelée, les personnages sont bien construits et j'ai pris plaisir à lire ce roman quasiment d'une traite en rentrant du travail.
Je n'avais pas prévu de lire ce roman de suite, mais je n'ai pas résisté et j'en suis ravie :)
Je suis ravie de l'avoir lu en avant-première et je ne peux que vous inviter à le découvrir à votre tour.
Ma note : un très joli cinq étoiles.

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Mon résumé : 

Cela ne m'arrive pas souvent mais pour ce roman je ne remercie pas 2 personnes mais 3. Tout d'abord NetGalley et les éditions l'archipel comme j'ai l'habitude de le faire et grâce à qui j'ai eu la possibilité de découvrir l'auteure Sally Hepworth. Mais je dois aussi remercier Anais du blog anaisseriallectrice.com qui a fait une chronique sur les polars de la rentrée littéraire 2020 et sans qui je n'aurais jamais pensé a sélectionner ce roman.

Il est vrai que cette lecture n'est pas transcendante mais vaux tout de même le détour. Une fois qu'on rentre dans l'histoire on ne décroche pas. Comme je l'ai déjà évoqué à plusieurs reprises dans des chroniques passées les plongeons entre présent et passé, ou bien lorsque les chapitres sont dédiés à un personnage, je m'y perds un peu et ça à tendance à me rebuter et me fait perdre le fil de l'histoire. Au contraire ici ça se déroule tout seule et on a plaisir a tourner les pages.

Est-il utile de préciser autour de quoi va tourner l'histoire ? On devine tout de suite par le titre qu'on va suivre les péripéties et les difficultés qui découlent entre une belle-mère et la bru. On va rencontrer prétextes à embrouilles, non-dits, frustrations, invectives et parfois complicités. Autant de choses qui vont faire que les personnages de Diane et Lucie vont être facile à cerner et dans lesquelles on peut facilement se positionner.

Passé la moitié du roman, on comprend qu'il va être question de mort, mort bien sure de la belle-mère mais bon en disant ça je ne vous divulgue rien attention. Mais quand bien même celle-ci meurt, on a beaucoup de mal a comprendre de quoi. Suicide ? meurtre ?

Qui dit mort de la belle-mère, dit héritage, oui, du moins c'est ce que croit les supposés héritiers.....


Mon avis : 
Je ne vous cache pas que pendant une bonne petite partie du roman, je me suis demandé sur quoi j’étais tombé et heureusement finalement la situation s'est débloquée. Pour moi c’était une première avec cette auteure et je ne regrette pas. Très bon roman que nous avons la.

A recommander.

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En avant première, grâce à Netgalley et aux éditions de l’Archipel, j’ai lu la Belle mère, un thriller d’un nouveau genre et que j’ai beaucoup aimé.

Lucy, en épousant Ollie, a pris dans sa vie ses beaux parents, Tom et Diana. Si Tom est un beau père adorable, Diana est une belle mère froide, distante à l’inverse de ce que Lucy, qui, jeune, a perdu sa mère, espérait trouver au sein de sa belle famille. Mais lorsque la police vient annoncer la mort suspecte de Diana, le fil de leur histoire, assez compliquée, se reconstruit sous nos yeux.

Sally Hepworth, par son roman polyphonique où Diana et Lucy alternent leur point de vue et leur récit dans le passé ou le présent pour Lucy, propose un thriller psychologique d’un nouveau genre. Elle nous plonge dans les relations complexes d’une famille, nous faisant découvrir des pans de l’histoire de Diana – expliquant ainsi son attitude avec ses enfants et sa belle fille.

Contrairement à Lucy, j’ai une adorable belle mère, je ne me reconnais en rien des ces relations belle fille et belle mère mais j’ai adoré ce récit mêlant tensions et famille car après tout la famille parfaite n’existe pas ! Chacun a ses secrets et lorsque l’argent s’en mêle comme pour la famille de Diana, les relations sont souvent faussées.

Je ne peux pas trop en dire au risque de trop en dévoiler mais sachez qu’en lisant La Belle-mère, vous découvrirez un thriller actuel qui renouvelle les codes du genre.

En résumé : une belle rentrée littéraire pour les éditions l’Archipel

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Lucy est mariée à Oliver, Ollie. Ensemble, ils ont trois enfants.
Un jour, la police sonne à la porte de leur domicile: Diana, sa belle-mère, a été retrouvée à son domicile... morte.
Au début, tout laisse penser à un suicide mais rapidement, la thèse du meurtre est privilégiée.
Mais qui a tué Diana?
Cette dernière était très impliquée dans une association humanitaire, délaissant sa propre famille pour se consacrer entièrement aux plus démunis. Récemment, elle leur avait dit avoir un cancer, ce qui se révèle être un mensonge...
Qui était réellement Diana?

Je me suis régalée avec ce thriller qui oscille entre récit au présent et au passé.
Tantôt nous sommes dans la tête de Lucy et à travers ses yeux nous comprenons la relation complexe qu'elle entretient avec une Diana très particulière. Tantôt dans la tête de Diana ce qui nous permet de comprendre l'ambivalence de ses sentiments et pourquoi elle agit de telle ou telle manière, pourquoi sa famille lui en veut, pourquoi elle n'était pas appréciée ou encore pourquoi elle semble si froide et distante.
Lucy a perdu sa mère assez jeune et espère trouver en sa belle-mère une relation complice mais c'est tout l'inverse qui se produit. Diana est distante et ne semble pas particulièrement l'apprécier, de plus, elle ne respecte pas l'éducation que donne sa bru à ses enfants, préférant ne faire confiance qu'à elle-même.
Lucy et Diana sont deux personnages très intéressants et leur "relation" m'a beaucoup plu.
C'est une lecture "page turner", c'est plein de petites anecdotes qui nous aident à cerner les différents protagonistes à nous attacher aux uns, à en détester d'autres. C'est très bien mené, très prenant et on a envie de comprendre ce qui s'est passé, qui a commis l'irréparable et pourquoi.
C'était franchement une très bonne lecture, je vous la recommande!

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Je me suis régalée avec La belle-mère, le second roman de Sally Hepworth.

Le roman débute à la mort (plutôt suspecte) de Diana, la belle-mère de Lucy. On y découvre ensuite cette femme atypique, de prime abord froide et toujours mesurée, ainsi que les relations qu’elle entretenait avec les membres de sa famille.
Avec son caractère franc et psycho-rigide, il lui est parfois arrivé de blesser ses proches. Mais suffisamment pour que l’un d’eux mette fin à ses jours ?

Les chapitres sont bien dosés et s’alternent principalement entre le passé tel que l’a vécu chacune des deux femmes et le présent que seule Lucy peut explorer. Le fait que l’auteure reste vague lorsqu’elle nous fait part des éléments antérieurs sans en préciser la date, mais juste en mentionnant que cela se déroulait dans le passé, m’a permis d’apprécier pleinement cette lecture, sans avoir besoin d’essayer de me resituer à chaque début de chapitre.

J’ai adoré cette lecture au cours de laquelle mes soupçons ont pesé tout le monde et me suis tout de même fait surprendre par le dénouement.
Les caractères forts de Lucy et sa belle-mère, ainsi que leur incompréhension mutuelle sont largement explorés et font de ce roman un véritable page-turner. Un énorme coup de coeur pour moi !

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Je remercie le site Netgalley ainsi que les éditions de l'Archipel pour m'avoir donné l’occasion de lire ce roman et de découvrir une nouvelle auteure. Je sais d'ores et déjà que je vais m'intéresser à ces romans précédents.
L'auteure nous offre ici un suspens avec pour thème le lien et la relation entre une belle-mère et sa belle -fille avec une narration à plusieurs voix avec des allers retours passé présent.
On découvre la relation que Diana a vis a vis de sa belle-fille mais aussi avec ses propres enfants et petits enfants. Aux premiers abords on découvre une femme assez froide. Personnellement je l'ai plus trouvée maladroite à certains passages que blessantes. C'est le genre de femme qui en impose, très classe et se dévoue à son association au détriment de sa famille.

En alternant les chapitres donnant voix tour à tour à Diana et Lucy sa belle fille, on nous dépeint au fur et à mesure le portrait de chaque membre de cette famille.
Le ton est donné dès l'annonce de la mort de Diana, un suicide qui sonne faux et des secrets qui se révèlent tout au long du roman.
L'auteure maintient le suspens en semant tout le long de notre lecture de petites graines qui nous font douter de tous les personnages. Ces petites graines vont germer et finir par révéler le vrai visage de tous les personnages.
Sally HEPWORTH nous balade du début à la fin en semant le doute dans notre esprit, en lâchant de petits indices qui vous font croire que vous vous rapprochez de la vérité, mais hop un nouveau rebondissement vous détourne du chemin que vous pensiez bien tracé.

J'ai littéralement adoré cette lecture, un vrai suspens, un thriller psychologique domestique comme on les aime, les personnages sont crédibles, on s'attache à eux et sincèrement je me suis vraiment attachée à la Belle-Mère on finit par la voir vraiment autrement et comprendre ses choix.
L'écriture est fluide, c'est un vrai page turner .

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Un récit haletant, diablement bien ficelé et qui saura vous tenir en haleine jusqu'aux dernières pages !
Alertant entre les points de vue de la Lucy la belle-fille et Diana la belle-mère pendant presque tout le bouquin, nous sautons du passé au présent sans se mêler les pinceaux ! J'ai beaucoup aimé ce côté là et je trouve que ces flashbacks servent à mettre en lumière des événements importants, mais également à montrer qu'une même situation peut avoir deux interprétations, alors gare aux apparences !

Suite à la mort suspecte de Diana, la belle-mère en apparence exécrable que personne ne souhaiterait avoir, nous découvrons au fur et à mesure de la lecture des indices parsemés ici et là, faisant monter la tension crescendo. Les zones d'ombres grandissent de plus en plus afin de finir par soupçonner chaque membre de la famille sur la mort mystérieuse de Diana.

On se rend compte qu'au final, tout le monde cache de petits secrets, et de fil en aiguille, tout le monde semble avoir une raison d'en vouloir à Diana, tandis que le récit ressere peu à peu l'étau autour de Lucy, vous l'aurez compris. Que ce soit pour des raisons financières, d'affinités ou encore une querelle, la mort de Diana semble définitivement ne pas être un suicide et semble plus complexe que prévu.

Un thriller psychologique et domestique très réussi alors qu'on aborde un thème qui est vu et revu, il aurait été facile de tomber dans les clichés, mais je dois avouer que nous en sommes loin ici, et je suis conquise par ce roman !

Connaissez-vous ce nouveau thriller ? Qu'en avez-vous pensé ?


Voici une citation qui a mon sens, résume parfaitement l'intrigue et nous aide à y voir clair...
"J'ai travaillé dur pour tout ce qui comptait à mes yeux et rien de ce qui comptait à mes yeux n'a coûté le moindre centime"

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l'histoire est racontée à la fois par Diana qui est la belle-mère et Lucy la belle-fille. Diana décède.
La force du livre réside dans l'alternance des personnages principaux qui s'expriment. Dans ce livre se sera Diane et Lucy. On bascule du présent au passé et on découvre les personnages sous deux angles.

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avez la réponse à cette question, ma Pile à Lire serait ravie que je l’étudie, parce que moi, je n’y arrive pas.
Lucy est chez elle avec son mari et ses enfants quand la police se présente à la porte. Sa belle-mère Diana a été retrouvée dans vie dans sa grande maison. Pour l’instant, impossible de savoir s’il s’agit d’un suicide ou d’un meurtre, l’enquête le dira. En tout cas, lorsque Diana a annoncé à tout le monde qu’elle avait un cancer, elle mentait.
Diana semblait être une femme froide, plus intéressée par son association que par ses enfants. Lucy rêvait de trouver en Diana une maman, elle n’a pu que se résigner : cela n’allait jamais arriver. Mais finalement Diana est un personnage bien plus complexe que je l’avais imaginé au départ et j’ai eu vraiment plaisir à la découvrir. Et Lucy aussi.
Ce roman est vraiment super intéressant, bien qu’assez loin du thriller malaisant. Il est basé sur les secrets et les malentendus. Et j’ai eu plaisir à détricoter l’intrigue pour deviner ce qui a ait bien pu arriver à Diana. Tout en regrettant qu’elle ait disparu sans avoir pu dire tout ce qu’elle avait sur le cœur. C’est une belle surprise qui m’a presque fait frôler la panne de lecture… En effet, c’est difficile de lire un autre roman quand le précédent nous a autant enthousiasmé.

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Décidément jamais déçue par les choix de Net galley ! Etiqueté policier, ce n'est pas son intérêt premier, selon moi. Alors oui, il y a une victime dès le début, et on aimerait savoir ce qui s'est passé. Mais l'intérêt réside dans l'étude des personnages, la relation entre eux. Les principales sont entre Lucy et Diana, belle-fille et belle-mère, l'une avide de se faire apprécier, l'autre froide et distante. L'une mère poule, l'autre prête à jeter ses petits à l'eau pour les obliger à apprendre à nager. Au fil du livre, nous passons du récit de Lucy à celui de Diana, du passé qui déroule ses fils, au présent de l'enquête. Une construction originale et vraiment, une étude des personnages et des retournements inattendus.
Un livre que j'offrirai volontiers, que mes ami·es aient des belle-mères ou pas !

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Melbourne - Un soir, la police frappe à la porte de chez Lucy et Ollie et leur apprend le suicide de Diana, mère d'Ollie.
Comment une telle femme au caractère bien trempé a-t-elle pu commettre ce geste?

Ne vous attendez pas à un suspens hallucinant et pourtant ce récit nous tient en haleine.
Le point d'orgue de ce roman est la relation belle-mère/bru.
Me tromperais-je en affirmant que certain(e)s connaissent des accointances compliquées avec la mère de leur conjoint?
La parole est donnée alternativement à Lucy et Diana qui nous révèlent leur point de vue.
Il faut bien avouer que la pauvre belle-fille n'est pas "tombée' sur la belle-doche idéale.
Diana est hautaine, glaciale, antipathique et j'en passe. Pourtant, quand elle raconte sa jeunesse, on en viendrait presque à comprendre ce qui a fait d'elle cette femme acariâtre.
L'auteur analyse très justement les personnages et souligne la passivité de la gente masculine se trouvant entre deux feux. (N'est-ce pas messieurs?).
Je ne sais pas si on peut classer ce livre dans les thrillers psychologiques, ce qui est sans importance vu sa qualité.

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L'intrigue débute avec l'annonce de la mort de Diana, la belle-mère de Lucy.
L'histoire est racontée alternativement par Lucy et Diana, sur une période de 10 ans jusqu'à la mort de Diana.
Diana, au premier abord, n'est pas un personnage sympathique, elle parait froide et distante. surtout avec Lucy. Cependant, à la lecture des chapitres dont elle est la narratrice, on découvre un personnage intéressant et les raisons qui expliquent sa froideur apparente. Lucie, qui a perdu sa mère lorsqu'elle était enfant, a tout fait pour se faire accepter par sa belle-mère, jusqu'à un incident entre les deux personnages.
Mon avis est mitigé : j'ai apprécié l'histoire, les personnages, la structure narrative. Je voulais découvrir ce qui est arrivé à Diana, j'ai tout à tour suspecté les principaux personnages. Mais il manque quelque chose, on reste à la surface de l'intrigue. J'aurai voulu plus, des personnages auraient mérité d'être développés. Le suspense reste entier jusqu'à la fin, mais il m'a manqué quelques ingrédients pour dire qu'il s'agit d'un bon "thriller domestique".
Merci NetGalley pour cette lecture.

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Un thriller psychologique familial, une intrigue bien menée, des mobiles, des suspects, des surprises...
Mais aussi la vie familiale avec une mère-un fils, une épouse-un mari, une belle-mère et une belle-fille...
Un roman à deux voix entre passé et présent, quand le passé explique le présent...
La psychologie des personnages est traitée très finement et j'ai aimé adorer ou détester les protagonistes et aussi changer d'avis au cours des chapitres sans se fier aux apparences.
Un excellent page Turner que je recommanderai vivement...

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Une histoire qui vous happe dès les premières pages. Que de suspens pour découvrir le mystère autour de la mort de Diana.....et le sujet des relations belle mère, belle fille....très intéressant.
Un chouette livre, j'ai adoré. Très bien écrit.
On a des a priori sur cette belle mère au début du livre mais au fur et à mesure que l'on découvre son histoire, on comprends mieux sa personnalité.
Un très chouette thriller psychologique pour cette rentrée.

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Ce livre est tout simplement captivant. Nous découvrons que la belle-mère de Lucy, Diana, est retrouvée morte à son domicile. Tout donne l’impression que cette dernière s’est suicidée et pourtant, avec son côté froid, cela semble plus complexe que cela. Que s’est-il passé ce jour-là ?
J’ai complètement adhéré à ce thriller qui m’a tenu en haleine dès les premières pages. On ne peut pas être plus dans le bain qu’avec ce livre : des points de vue qui s’alternent entre Diana et Lucy mais également un subtil mélange entre le passé et le présent qui nous plonge au cœur de cette famille qui est tout … sauf harmonieuse. Chacun est décrit minutieusement que ce soit les enfants, les beaux-enfants ou encore le mari de Diana. On a l’impression d’avoir toutes les cartes en main et pourtant … Il est bien difficile de suivre une piste qui se révèle souvent une impasse. Le récit est riche en rebondissements et il y a beaucoup de relief dans ce livre.
Les sujets de discorde ne manquent pas et mettent un réel coup de fouet à ce livre. Il est difficile de cerner Diana tout au long du roman mais le fait qu’on ait son point de vue sur le passé est un réel plus à l’histoire. J’ai refermé le livre en ayant l’impression que l’auteure avait répondu à toutes les questions en suspens et c’est très agréable.
Je n’ai pas envie de vous en dévoiler davantage par peur de vous donner une information compromettante mais c’est une très belle découverte que je recommande. Un thriller psychologique familial comme je les aime.

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Un grand merci à NetGalley et aux éditions Archipel pour m’avoir permis de me plonger dans cette lecture.

Les relations belle-mère / belle-fille ne sont jamais faciles, surtout lorsque l’on a une belle-mère aussi chaleureuse qu’un iceberg. Lucy est bien loin de la relation idyllique qu’elle s’était imaginée vivre avec sa belle-mère. Alors lorsque cette dernière meurt de façon mystérieuse, c’est assez naturellement que les policiers soupçonnent la belle-fille.

Cependant, lorsque le mobile de l’argent apparait, la liste des suspects s’étoffe très rapidement. Finalement, bien plus que l’argent, le fond du problème décrit dans ce thriller est l’incompréhension entre des enfants qui doivent faire face à leurs problèmes et cette mère distante et intransigeante qui ne semble aucunement décidée à les aider.

J’ai du mal à comprendre la froideur de cette femme envers ses propres enfants. J’ai cependant adoré ce livre que j’ai dévoré !

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Lucy a toujours rêvé d’avoir sa famille à elle : un mari, des enfants mais aussi une belle-mère. Une nouvelle mère avec laquelle elle serait fusionnelle, complice. Malheureusement, elle va aller de déception en déception en compagnie de la mère d’Ollie, Diana Goodwin. Difficile de faire plus différentes que les deux femmes. L’une est décalée par son look singulier et en demande constante d’affection, l’autre est guindée, sobre malgré ses richesses matérielles et loin d’être très affectueuse.

Avec les années, Lucy s’est faite à l’idée qu’elle ne se rapprocherait jamais de sa belle-mère même si l’espoir a toujours été présent au plus profond d’elle-même. Mais à l’arrivée de deux policiers au pas de sa porte, Lucy comprend immédiatement qu’il est arrivé quelque chose à Diana. Celle-ci est morte dans sa demeure. Et si cela ressemble à un suicide malgré quelques détails troublants, la police va tout de même interroger toute la famille : Lucy, son mari Ollie, Netty, la soeur d’Ollie et Patrick son mari, etc… Pourquoi Diana se serait-elle suicidée ? Dès le début de l’enquête, d’autres questions se font jour. Pourquoi Diana aurait-elle menti sur son cancer ? Pourquoi avoir laissé sa lettre d’adieu dans le tiroir de son bureau ?

Lucy s’interroge alors que la vie continue son cours entre les funérailles, le rendez-vous avec le notaire – Diana laissant derrière un héritage colossal – et l’enquête policière. Que cache cette mort ? Pour le découvrir, Sally Hepworth nous propose une double narration avec le point de vue de Lucy et de Diana, entre passé et présent. Cette alternance chronologique va nous permettre de découvrir la rencontre entre la belle-mère et la belle-fille, l’évolution de leur relation assez tumultueuse faite d’amertume et d’incompréhension pour l’une comme pour l’autre jusqu’à la mort de Diana. Mais, si Lucy n’aurait pas été aussi demandeuse en affection et Diane si indifférente à l’idée d’avoir une nouvelle amie, les choses auraient pu être totalement différente.

Loin d’être un thriller effréné, La Belle-mère ressemble davantage à un drame social dans lequel une famille pourrait bien se déchirer à coups de non-dits, de folie et de haine. Diana est issue d’une famille aisée et a réussi par elle-même à atteindre un statut social encore plus favorisé. Pour elle, l’égalité des chances devrait prévaloir sur tout et elle fait en sorte à son niveau de suivre cette philosophie de vie par le biais de son association pour les personnes défavorisés, issues majoritairement de l’immigration.

Par son passé difficile malgré le faste de sa vie et le fait qu’elle ne veut jamais parler d’elle-même et de ses réussites, Diana refuse de mener la vie facile à ses enfants. Donnant alors plus de chance à des étrangers qu’à sa propre famille, elle n’est pas toujours la préférée des Goodwin. Mais est-ce que l’argent pourrait être le seul motif de sa mort ? L’avidité, le seul mobile ? Laissant peu de place au suspense, Sally Hepworth s’intéresse davantage à la psychologie de ses personnages, particulièrement à celle de ses deux protagonistes féminins forts, sensibles à leur manière, avec leurs qualités et leurs défauts. Malgré leurs différences, ces deux femmes pourraient tout de même réussir à se voir et à se comprendre enfin.

Les autres personnages sont plus en retrait, ce qui pourrait être dommage pour un thriller classique misant sa qualité sur son enquête et ses retournements de situation. La Belle-mère n’est pas de ceux-là, lui préférera nous étonner par la force cachée de Lucy, le passé douloureux de Diana et finalement le lien qui se crée entre les deux de manière étonnante. Merci à NetGalley et aux éditions de l’Archipel pour cette lecture.

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Une famille et plusieurs points de vue entre passé et présent pour nous parler de Diana, qui vient d’être retrouvée morte chez elle, de son défunt mari Tom, de son fils Ollie, de Lucy sa belle fille, ou encore de Nettie sa fille et Patrick son époux. Une famille comme tant d’autres, entre moments de bonheur, réunions familiales, tensions, secrets et colères. Et si la mort de Diana n’était pas un suicide comme le laisse supposer la police? Que cachent les membres de cette famille et qui auraient pu en vouloir à Diana pour la tuer ? Lucy n’a jamais porté sa belle-mère dans son cœur et elle semble bien troublée par les événements.

Ici on a entre les mains un pur thriller psychologique comme je les aime. Pas d’enquête minutieuse, pas d’équipe de flics, pas de meurtres qui s’enchaînent. On entre au cœur d’une famille, dans l’intimité de chaque personnage, au plus près de leurs doutes, de leurs pensées et témoins, de leurs erreurs et agissements. J’ai aimé l’alternance de voix et de temps, qui nous font avancer minutieusement dans l’histoire. Grace aux retours dans le passé, on apprend à mieux cerner nos personnages. Comment et pourquoi Diana est devenue cette femme si droite et rigide, qui semble peu prompte à aider ses enfants ?Pourquoi Nettie est si fragile ? Que cachent vraiment les activités professionnelles d’Ollie ?

Le duo bru et belle-mère colle à l’image que l’on s’en fait bien souvent. Une jeune femme jamais assez parfaite pour la mère de son époux, une belle-mère qui sans l’exprimer véritablement émet jugements ou commentaires et qui se mêle de l’éducation que l’on donne aux enfants. Une continuelle rivalité entre deux femmes que tout oppose et qui place pour le lecteur Lucy en suspect numéro 1, mais ce serait trop simple. Et si l’auteure nous trompait dès les début, c’est ce qu’on se dit dès les premiers chapitres.

J’ai dévoré ce roman, trouvant facilement ma place au sein de cette famille. Même si le final n’est pas si surprenant que cela, la façon dont l’auteure nous y amène fait oublier cette petite faiblesse. Un roman très réussi sur la maternité, sur la famille, sur la valeur des choses et la construction personnelle.

Ma notation :

Un thriller à suspens au sein d’une cellule familiale, convaincant et brillant.

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Sally Hepworth propose un thriller domestique qui vous entraine dans les méandres d'une famille complexe. Le rythme est allègre et la plume agréable. Les points de vue et les époques alternent de façon aléatoire ce qui donne beaucoup de punch au roman.
Un bon moment de lecture

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Très bon thriller domestique !!!
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Peut-on s’entendre avec sa belle-mère ?
C est en tous les cas ce qu’espérait Lucy, qui a perdu sa mère jeune, quand elle a rencontré son mari... Mais Diana est une femme froide et distante ; leur relation est même éprouvante pour la jeune femme.
Un soir, la police sonne à la porte : Diana a été retrouvée morte... Si la piste du suicide est évoquée car Diana disait souffrir d'un cancer... Rapidement des éléments troublants remettent en question cette théorie.
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Construit sur une alternance de chapitre à la 1ère personne entre ces 2 femmes, on plonge dans l'intrigue... on s'interroge. La lecture est plutôt addictive, on redoute le dénouement final.... ça monte, on espère une fin explosive et pas un flop... cela monte en intensité... et : quelle fin réussie !!!
Très bon moment de lecture !

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En ce moment j’enchaîne les période de "panne de lecture" alors je cherche de plus en plus à sortir de ma zone de confort, à découvrir d'autres styles de lectures. Les thriller ne sont pas mon genre de prédilection en temps normal. Mais quand j'ai lu le résumé, il m'a vraiment donné envie de découvrir l'histoire ! J'ai voulu écouter mon envie et je me suis lancée dans la lecture...

Lucy n'a jamais vraiment été proche de sa belle-mère, Diana, même si elle l'aurait voulu. Au fils des années cette belle-mère qu'elle rêvait d'avoir a enchaîné les maladresses, se mettant petit à petit à dos sa belle-fille mais aussi tous les membres de sa familles...
Et pourtant ce que l'on ne se doute pas c'est qu'il y a des explications derrière les faux-pas de Diana.
Un jour Lucy apprend que l'on a retrouvé le corps de cette dernière dans sa propriété. Un suicide apparemment... Mais est-ce vraiment un suicide ?

On commence l'histoire au moment présent, c'est-à-dire au moment de l'annonce du décès de la belle-mère. A ce moment on voit bien les liens entre les membres de la famille sont tendus, notamment entre le frère et la sœur !
Puis on enchaîne les flashbacks à partir de la rencontre de sa belle-mère pour Lucy... mais aussi plus loin s'agissant de la belle-mère !
Petit à petit on se rapproche du présent et on ne sait plus quoi penser ! On doute ! On se dit que le suicide est peut-être la théorie la plus probable, puis on se dit que cela n'est pas possible mais on ne sait absolument pas qui aurait pu commettre un meurtre...
Bref ! Sally Hepworth nous fait tourner en bourrique et j'ai adoré ça.

J'ai accroché dès les premières pages même si j'ai été assez déroutée par un détail : on a droit au point de vue de la belle-mère ! Grâce à cela elle ne nous apparaît pas tout de suite comme quelqu'un d’acariâtre... Mais j'ai adoré ce détail inattendu, cela apporte énormément à l'histoire !
C'est un Thriller psychologique qui tient en haleine alors même qu'il ne s'agit que d'histoires de famille. On fait face à des disputes, des non-dits et des secrets que l'on peut retrouver dans toutes les familles... Et pourtant on n'a qu'une envie : tourner la page pour en découvrir toujours plus.
Le style de l'auteure n'y est pas pour rien certainement ! Je n'ai pas vu arriver la fin ! Une fin bien surprenante d'ailleurs...

Cette découverte du style Thriller m'a énormément plu et je pense, à nouveau, me laisser tenter à l'avenir.

Cet été j'ai donc lu 3 livres des Editions de l'Archipel et aucun ne m'a déçu. Encore une fois je pense me l'acheter en papier parce que j'ai A-DO-RÉ, cette histoire a même été un coup de cœur !
Si d'autres Thriller de Sally Hepworth sortent en français, c'est sûr que je voudrais les lire !

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Lucy a perdu sa mère quand elle était adolescente. Quand les choses deviennent sérieuses avec Oliver, elle se réjouit de trouver une mère de substitution avec sa belle-mère Diana. Mais les choses ne se déroulent pas réellement comme prévue, et très vite la relation entre les deux femmes devient assez froide. Puis un jour, la police frappe à la porte....Diana est morte. Qu'à donc Lucy à cacher ?
Ce thriller est efficace, on ne peut découvrir que tardivement la clé de l'intrigue. Le roman alterne passé et présent, et s'appuie à la fois sur les voix de Lucy et Diana. Une même situation pouvant être décryptée par les deux protagonistes, on comprend d'où viennent les incompréhensions et les tensions...
Vraiment j'ai beaucoup apprécié cette lecture.

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Un roman qui n'est pas un coup de coeur mais que j'ai beaucoup apprécié. Un livre intéressant, alternant les points de vue de Diana, la belle-mère, qui est une femme froide, pas très aimable ou aimante, qui est riche mais de distribue pas son argent à ses enfants pour leur apprendre que tout ne tombe pas tout cuit, mais qui s’occupe du sort des réfugiés avec qui elle est très généreuse, et Lucy, la belle-fille, qui subit cette belle-mère.


Il y a beaucoup de suspense, on tourne les pages les unes après les autres, happé par cette histoire très accéssible qui, de loin, n'a pas l'air de casser trois pattes à un canard, et pourtant, on est irrésistiblement attiré par ce livre dont on veut absolument connaitre la chute. Une très chouette lecture de vacances. Merci à #NetgalleyFrance et aux #editionsdelarchipel de m'avoir permis de découvrir ce livre.

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Quand Ollie présente Lucy à ses parents, elle souhaite de toutes ses forces s'intégrer à sa nouvelle famille, ayant perdu sa propre mère fort jeune. Mais elle se heurte au comportement glacial de Diana, sa future belle-mère, avocate œuvrant pour le droit des réfugiés. Si elle met du cœur à défendre ses clients, on ne peut en dire de même dans son attitude envers sa belle-fille.

10 ans plus tard, Ollie et Lucy, lors d'une soirée paisible avec leurs enfants, reçoivent la visite de la police qui leur annonce le suicide présumé de Diana ...à moins que quelqu'un n'ait eu des griefs contre elle...

A partir de là, on remonte le temps, depuis la rencontre entre les deux femmes, et toutes les situations inconfortables qui ont émaillé leurs relations. Ce qui est intéressant, c'est qu'on revit certaines scènes selon les deux points de vue, et j'ai plusieurs fois été attristée par les malentendus entre elles. On découvre également le passé de cette belle-mère, qui nous éclaire sur son comportement.

Comme souvent dans un thriller psychologique, celui-ci dispose de plusieurs ingrédients pour nous appâter : faux-semblants, manipulations de tous poils, apparences trompeuses, débats intérieurs...

Un roman prenant sur le moment, même si le peu de personnages ne laisse pas vraiment planer le doute sur son issue, mais sa construction en fait une lecture rythmée et addictive. Parfait pour se détendre et s'évader.

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C'est après avoir découvert le résumé de ce livre que j'ai eu très envie de plonger mon nez dedans. Je n'en avais pas entendu parler mais il avait l'air tellement tentant ! Alors je me suis laissée tenter et j'ai eu la chance de me voir mon souhait être exaucé par les Editions L'Archipel que je remercie et auprès desquelles je tiens à m'excuser pour le retard à rendre ce billet.

Avocate appréciée pour son dévouement, Diana se bat pour améliorer le sort des réfugiés, mais elle se montre froide et distante, sinon blessante, envers les siens. Ce dont souffre Lucy, sa belle-fille, qui rêvait de trouver en elle une mère de substitution.
Dix années ont passé, et Diana vient de mourir. Elle se serait suicidée. Mais, à l’autopsie, nulle trace d’un cancer … Qu’est-il donc arrivé à Diana, dont le testament a été modifié peu de temps avant sa mort ?

Mais quelle histoire que celle-ci ! Pfiout, j'ai littéralement adoré ma lecture ! Nous allons découvrir une famille australienne assez banale, si ce n'est que Diana et Tom sont à la tête d'une immense fortune. C'est une famille classique, deux enfants adultes et mariés, des petits enfants, des activités bénévoles et des amis ... J'ai bien aimé me glisser dans le quotidien de cette famille et me rendre compte petit à petit que le bonheur et la bonne entente affichée sont bien loin de la réalité.

Sally Hepworth a su me tenir en haleine grâce à son récit rythmé. Le lecteur va osciller entre le passé et le présent. On va aussi pouvoir découvrir le point de vue de plusieurs personnages. Je dois dire que dans les premiers chapitres, j'avais pris Diana en grippe car elle se conduit vraiment comme une garce vis-à-vis de Lucy sa belle-fille mais aussi de ses propres enfants. Et puis au fil des chapitres on apprend à la connaitre, on découvre des pans de sa vie et j'ai fini par beaucoup l'apprécier et même à la trouver touchante. J'en ai été la première étonnée et j'ai adoré ça !

Le dénouement de cette histoire m'a totalement surprise, le récit finit par prendre un tournant auquel je ne m'attendais absolument pas. J'ai d'ailleurs trouvé bien vu de soulever ce problème de société et d'en parler sans porter aucun jugement. Quelque part, ça porte à réfléchir ... D'ailleurs, ce roman n'est pas un simple thriller, c'est un mélange de plusieurs genres et c'est très agréable à lire. Je me suis laissée happer totalement par l'atmosphère lourde du récit, par les rapports étonnants entre les personnages. J'étais très bien avec cette famille, j'ai soupçonné chacun des membres l'un après l'autre et je n'avais pas envie de les quitter.

Un roman excellent, à découvrir de toute urgence !

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Diana est morte. A première vue, elle se serait suicidée. Elle avait annoncé à sa famille être atteinte d’un cancer dont on ne trouvera pas trace à l’autopsie. Elle venait étrangement de modifier son testament.

Diana était une femme austère dont la seule préoccupation sincère semblait être son association pour améliorer le sort des réfugiés. Au détriment de sa propre famille : son fils, Ollie et de sa fille Nettie.

Dix ans auparavant : son fils avait épousé Lucy qu’elle appréciait peu. Hors, cette dernière avait espéré en Diana une mère de substitution. Elle se souciait rarement des problèmes de sa fille qui avait épousé, Patrick, un bellâtre qui semblait attendre l’héritage de ses beaux-parents.

Outre son association, Diana n’aimait que Tom, son mari. Et Tom était mort...

Que s’était-il donc passé le soir du suicide présumé de Diana?

L’auteur opère des va et vient entre hier et aujourd’hui, entre les pensées évolutives, dix ans durant, de la belle-mère et la belle-fille.

C’est le thriller psychologique par excellence. Le récit est souvent en équilibre instable mais retombe toujours sur ses pattes in extremis. Une famille harmonieuse... en apparence... ou un des thèmes de prédilection pour les auteurs de thrillers.

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c’est un roman que j’ai beaucoup aimé et que je vous conseille de lire. Ne vous attendez pas à un vrai polar au sens classique du terme, mais davantage à un roman familial, avec ses tensions, ses attentes, et ses secrets. Ici, toute la mort de Diana tourne autour de ses choix passées, des remarques qu’elle a pu avoir, des liens qu’elle a pu entretenir. Le passé est très présent, mais c’est très bien fait, si bien que l’on ne s’ennuie pas une seule seconde. Le roman pose beaucoup de questions et fait intervenir des thèmes très variés, ce qui est très intéressant. Les personnages de Diana et de Lucy sont intéressants, plaisants à suivre et l’on s’attache aux deux. J’ai appris des choses avec cette histoire, qui m’ont fait réfléchir. C’est un bon roman, une histoire dont je vais garder un souvenir marquant.

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La Belle-mère de Sally Hepworth, ou l'art de jouer avec les préjugés, stéréotypes et l'ultime vérité...
Cette belle-mère, semblant correspondre à l'archétype familial de la marâtre, c'est Diana, la morte de l'intrigue : elle se serait suicidée jusqu'à ce que ce décès soit remis en cause, et devienne une énigme policière. Qui a pu la tuer ? Les suspects ne manquent pas, puisque le caractère trempé de la défunte semblait irriter jusqu'à son plus proche entourage...
Au travers des témoignages croisés de la bru Lucy et de sa belle-mère, l'intrigue se met en place et révèle différentes anecdotes, divers points de vue et une histoire de famille, en apparence harmonieuse, aux secrets et cachotteries, lourds de conséquences. L'auteure australienne a réussi un joli coup avec ce suspense psychologique domestique, notamment avec la révélation finale qui laisse le lecteur bouche bée et glacé! J'espère avoir la chance de rapidement lire un autre roman de cette écrivain, que je vais me mettre à suivre de plus près, et en attendant, je remercie vivement les éditions l'Archipel et NetGalley pour cette belle découverte littéraire!

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Ce roman a été un véritable coup de coeur.
Nous suivons Lucy, jeune fille qui, en épousant Ollie, espère faire de Diana, sa nouvelle belle-mère, une alliée. Sauf que Diana est une personne froide, pas spécialement antipathique, mais étrangement distante par rapport à ses proches et terriblement proche des réfugiés dont elle s'occupe depuis de nombreuses années. Un jour, Diana est retrouvée morte dans son immense maison, tout laisse à penser qu'elle se serait suicidée, mais après analyse, certains faits étranges donnent à penser aux policiers que Diana aurait peut-être été assassinée.
Les chapitres s'alternent entre les témoignages de Lucy et de Diana, tantôt au présent, tantôt au passé, j'aime ce genre de construction, qui nous permet de suivre le présent tout en comprenant certains faits grâce aux différents flash-backs évoqués.
j'ai passé un agréable moment de lecture avec La belle-mère, qui à mes yeux peut-être lu par un très grand nombre de lecteurs, pouvant autant séduire les amateurs de suspense, de thriller, de policier, de saga familiale...
Je recommande vivement ce roman et je pense que je suivrai cette auteure avec intérêt.

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Un roman qui offre une double temporalité, entre haine et fascination.

Le style d'écriture n'était pas assez page turner à mon goût. Plus psychologique qu'à suspense véritable.

Un psycho-domestique où il m'a manqué quelque chose.

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