La Fin

(face A : La Malveillance)

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Date de parution 21 févr. 2020 | Archivage 17 avr. 2020

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Résumé

La Fin est l'histoire de William, un homme de 38 ans qui souffre.

Un professeur.

Alors il écrit.

La fin est un premier roman dérangeant, vertigineux, un roman malade, un roman en deux faces qui, brouillant nos perceptions et nos certitudes, mise sur l'intelligence et le ressenti du lecteur. Dans un style très assuré, le cocktail détonnant - et follement original - que l'auteur a préparé mêle le récit cru, hilarant et dérangeant de la sexualité de William, la novlangue d'un capitalisme managérial éco-socio-responsable, les références d'une adolescence nineties et d'une jeunesse qui résiste à se dissoudre ; l'itinéraire passera par la série Game Of Thrones, l’Islande, la Croatie, le groupe Oasis, Stanley Kubrick, David Bowie - entre autres - le tout hanté par une Éducation Nationale aussi névrosée que les personnages qui peuplent cette quête d'un amour perdu ou (re) trouvé.

En nous narrant un passé qui a ou aurait pu être vécu dans lequel les différents acteurs des irrépressibles douleurs - et espoirs - se superposent, la face A nous met face aux pièces de ce mystérieux et passionnant puzzle qu'est La Fin.

La face b entraînera le lecteur au cœur du réacteur de la folie. Elle sortira lorsque l'hiver aura pris fin.

La Fin est l'histoire de William, un homme de 38 ans qui souffre.

Un professeur.

Alors il écrit.

La fin est un premier roman dérangeant, vertigineux, un roman malade, un roman en deux faces qui...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9791026248200
PRIX 2,99 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

Difficile exercice que de chroniquer ce roman, tant il est déroutant, unique en son genre, riche et complexe !

Je vais essayer de vous donner mon ressenti de lectrice, sans spoiler, désolée par avance si c’est un peu décousu.

En démarrant la lecture de La Fin, je ne savais pas à quoi m’attendre. Le résumé est en effet assez intrigant. L’histoire l’est tout autant. D’échanges épistolaires 2.0 en récit du présent ou du passé de William, on se retrouve vite embarqué dans son univers, ses souvenirs, ses réflexions sinueuses. Le tout est très réaliste, à un point parfois inquiétant, reflet de notre société, miroir de l’âme humaine dans tout ce qu’elle a de plus pur, comme de plus noir. J’ai souvent eu le sentiment d’être perdue, déroutée. Puis l’intuition de comprendre quelque chose, puis son contraire. L’auteur sait jouer avec nous, avec nos perceptions, nous entraîner sur des pistes puis sur d’autres. Tout au long de ce parcours labyrinthique, le lecteur est amené à réfléchir. Car en William, chacun pourra se reconnaître, saisir matière à s’interroger tout du moins.

La Fin est émaillée de références musicales, de clins d’œil à la politique, à l’actualité, au cinéma, aux séries. On retrouve aussi beaucoup d’humour, parfois cynique, parfois plus léger.

La Fin c’est enfin un récit très cru. Dans sa quête d’amour, William se remémore ses différentes expériences. L’auteur ne fait pas de concession, n’hésite pas à choquer avec des scènes à la limite du trash.

L’écriture de l’auteur est à l’image de son roman : complexe et changeante. Tantôt fluide et claire ( mais attention, il faut savoir lire entre les lignes ), elle peut devenir saccadée, pleine de méandres, à la limite de la logorrhée, au rythme des pensées du narrateur. C’est très bien joué. En cela, on se trouve emporté dans l’esprit de William et on en ressent les émotions fluctuantes.

A la fin de ma lecture, j’ai éprouvé le besoin de réouvrir le livre à son début, d’en relire plusieurs pages. Des questions subsistent, la Face B les lèvera-t-elle ?

Un livre dont on ne ressort pas indemne et qui détonne dans le paysage littéraire actuel !

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