Des Œillets pour Antigone

Un roman qui mêle énormément de thème mais sans jamais se perdre. Une histoire entre Portugal et France, entre passé et présent, entre relation frères/sœur et relation sœur/sœur. Luz a perdu sa soeur et ne comprend toujours pas le geste de cette dernière. Alors qu'elle tri les affaires de celle-ci elle commence a être hanté par le fantôme de sa tante Alma disparue elle aussi trop jeune. Serait-ce la cause du décès de Sabine? Que cache cette famille?

Dans ce roman, Charlotte Bousquet ne déroge pas à la règle, et interroge de nouveau le jeune lecteur sur des thèmes historiques et sensibles comme la rébellion portugaise, le sida ou homosexualité. Le noeud de l’intrigue est prenant : Un médaillon maudit, un fantôme surgi du passé, un vieux journal intime dont on ignorait l'existence...L’enquête entremêle trois époques, trois destins et multiplie les mystères, les révélations sont données au compte-gouttes.. La lecture est fascinante mêlant les ressorts du roman historique, du fantastique et du roman enquête. Les dernier rebond se précisent jusqu’aux dernières pages. La lecture de ce roman est exigeante, peut être un peu trop tendu sous le fil du rasoir quelque fois, mais permet de découvrir le plaisir des lectures en tensions qu’offrent les bon thriller.
#NetgalleyFrance #desoeilletspoirantigone

Une fresque historique, familiale et féministe comme sait si bien les écrire Charlotte Bousquet. J'ai pris mon temps pour le lire, pour savourer chaque mot. Ce roman offre plusieurs histoires parallèles, de plusieurs temporalités, toutes en lien avec le Portugal. Les années 70 : La révolution des œillets, la politique, la dictature, les chevaux. Les années 90: le Sida, les secrets de famille, la liberté, les cauchemars et le deuil. Autant de sujets abordés à travers le regard de trois femmes qui se battent, cherchent la vérité, fuient, écrivent.
Impossible à résumer, ce gros roman a un souffle qui nous tient en haleine et nous emporte dans des histoires de vies croisées. On redécouvre des époques, des lieux avec brio. Bravo!

Je me suis laissée embarquer par ce roman à trois voix: celle d'Alma, de Luzia et de Sabine.
Luzia, alors qu'elle trie les affaires de Sabine, sa sœur décédée il y a quelques années, tombe sur son journal intime. Elle va découvrir le secret de la disparition de sa soeur.
Nous avons aussi le point de vue d'Alma, jeune portugaise, engagée dans la révolte de son pays dans les années 70.
Nous sommes embarqués dans cette histoire dès les premières pages et nous ne pouvons en ressortir qu'à la fin.
"Des œillets pour Antigone" nous présente trois femmes marquées par le destin et par l'envie de liberté de leur époque.
D'une plume fluide et avec de nombreuses références littéraires, cinématographiques ainsi que musicales, l'intrigue nous capture d'un bout à l'autre, jusqu'à la fin, assez inattendue.

« Des Œillets pour Antigone c’est avant tout l’histoire de trois Femmes. Alma est la tante de Sabine et de Luzia. Alma et Sabine sont toutes les deux mortes. La première est morte piétinée par son cheval, et la seconde s’est suicidée. Il ne reste que Luzia qui 5 ans après le décès de sa sœur, doit faire le tri dans les affaires de cette dernière, et tombe sur un médaillon ayant appartenu à Alma ainsi que le journal intime de sa sœur. Luzia va découvrir à la lecture de ce journal que Sabine se sentait devenir étrange, comme possédée avant de mettre fin à ses jours. En parallèle nous suivons l’histoire d’Alma une vingtaine d’années plus tôt…
Le destin de chacune de ses femmes est lié par la recherche d’une vérité qui lèvera le voile sur les circonstances réelles de la mort d’Alma.
Charlotte Bousquet livre ici un roman avec beaucoup de suspens qui rend la lecture addictive en plus de nous apprendre des faits sur l’histoire d’un Portugal en crise dans les années 70.

Merci NetGalley et merci Scrineo pour m’avoir permis de lire ce livre en échange d’une chronique honnête.

Après tant d’années à suivre Charlotte Bousquet dans ses différentes aventures littéraires, je ne m’attendais pas à être encore aussi surpris par son talent, la vivacité de sa plume, et la force de ses personnages.
Une fois encore, je me suis laissé embarquer par ce qui caractérise l’autrice à mes yeux : on peut compter sur elle pour écrire des femmes incroyablement complexes, intéressantes, sans en faire des statues sans aucun sentiment, juste là pour être fortes.
Jonché de références littéraires, musicales et artistiques, « Des œillets pour Antigone » est une aventure à travers l’histoire, à travers des destins hors du commun, qui restent longtemps avec nous après la lecture.
Un conseil : ne lisez pas le résumé. Lancez vous dans ce roman sans ne rien en savoir. La surprise n’en sera que plus intense.

Un roman dur mais passionnant, qui mêle trois destins de femmes en trois époques et trois stades de vie différents, mais liées par les racines familiales et une même soif de liberté.
Une jeune femme qui n'hésite pas à braver son père pour rejoindre les rangs des révolutionnaires, une jeune fille dont le geste surprend tout le monde, une jeune femme qui va devoir accepter enfin ses origines et se réconcilier avec un passé qu'elle ne soupçonnait pas... Vraiment, c'est un roman qu'on ne lâche pas, et qui laisse une marque profonde dans nos mémoires !
Les années 70 avec la dictature portugaise, les années 80 et la libération musicale et culturelle, les années 90 et les ravages du SIDA : autant de sujets graves qui réservent cette lecture à de jeunes adultes.

Je me suis lancée dans ce livre sans lire le résumé. J'ai eu un peu de mal au début. La multiplicité des points de vues me perturbait plus qu'autre chose et je ne voyais pas trop où l'auteur voulait en venir. Ce n'est que vers le tiers du roman que j'ai vraiment commencé à apprécier ma lecture.
J'ai trouvé qu'il y avait énormément de gros sujets abordés (homosexualité, SIDA, racisme, drogue, censure, délation), mais qui finalement faisaient partie de la vie des jeunes à ces époques-là. Ils peuvent paraître survolés mais c'est en fait très parlant. Cela les occupait au quotidien mais on n'en parlait pas ou très peu.
Le récit est toujours mis en relief avec les musiques écoutées ou entendues par les protagonistes, et j'ai trouvé ça super ! C'est une manière très originale de faire paraître les émotions ou l'ambiance générale.

L'intrigue est vraiment prenante et intrigante. On a vraiment envie de comprendre ce qui est arrivé en 1971 et pourquoi Sabine a décidé de cesser de vivre. Pour comprendre tout cela, le lecteur suit les événements de 1971, le journal intime de Sabine et un récit du "présent" (1991). J'ai clairement avalé les 100 dernières pages sans même m'en rendre compte.

En bref, je ne mettrais peut-être pas ce livre entre toutes les mains. Mais je pense qui si l'on prévient le lecteur de l'aspect un peu éclaté du récit, il a toutes les chances de plaire !

Je remercie les éditions Scrinéo et le site NetGalley de m'avoir envoyé de roman numérique. J'apprécie beaucoup cette auteure. Cette fois-ci encore, j'ai pris du plaisir à découvrir son nouveau récit à trois voix féminines (Alma, Sabine et Luzia) se déroulant dans trois périodes différentes (1971, 1986 et 1991). La première de couverture de l'ouvrage est attirante, intrigante et mystérieuse (des oeillets, Antigone, pourquoi.). Le roman mêle aussi plusieurs genres : d'abord le roman historique puisque l'auteure nous ramène au temps de la dictature de Salazar au Portugal ; ensuite le roman fantastique avec l'envoutement de personnages ; puis le récit de vie avec les thèmes de l'amitié, de la maladie, du divorce, de l'homosexualité, du suicide ; et enfin le roman d'horreur avec les apparitions de fantômes, d'ombres ou encore de spectres dans une ambiance des plus maléfiques. Enfin, j'ai apprécié la "bande originale" du récit (Queen, Nirvana, Madonna, The Cure, A-ha,...), toute mon adolescence. Je recommande ce nouveau roman aux lycéens.

3 temps d'histoire, 3 femmes, 3 destins.
1971 : On suit Alma et ses frères sous a dictature du général Salazar.
1986 : C'est Sabine qui prend le relais. On découvre son histoire à travers son journal intime, lu par sa sœur.
1991 : Luzia, la sœur donc, doit quitter son appartement et en rangeant les affaires de Sabine, tombe sur un mystérieux pendentif. Il semble émaner de celui-ci des mauvaises ondes. Luzia fait des cauchemars et décide alors de partir sur les traces de son passé et part au Portugal avec Julien son meilleur ami, atteint du sida.
Elle veut comprendre pourquoi à son tour elle est assailli de cauchemars, les mêmes qui ont poussé Sabine au suicide.

C'est une part d'ombre du Portugal qui est présentée, assez rare en littérature jeunesse, mêlé à une intrigue familiale; où les esprits ont une grande place.

3 jeunes femmes évoluant dans trois périodes différentes.. Elles sont cependant liées : elles font partie de la même famille.
Alma vivait au Portugal en 1971, Sabine seconde en France en 1986. Luiza, la soeur de Sabine découvre son journal et un bijou en 1991.
Décidée à savoir pourquoi sa sœur, a sauté de la fenêtre, elle s'embarque dans un road trip avec Julien, son meilleur ami, qui chasse ses propres démons
J'ai beaucoup aimé ce livremais surtout pour les retournements de situations incessants. L'auteur ne se contente pas pas de nous dévoiler l'intrigue au fur et à mesure. Elle prend plaisir à nous mener sur des fausses pistes, sur fond de fantastique.
J'ai également apprécié la trame historique, ainsique les dilemmes auxquels sont confrontés les personnages. J'ai par dessus apprécié le "dialogue" que Luiza mène avec sa soeur..J'ai également beaucoup apprécié le fait que l'auteur relève le "racisme ordinaire" dont font preuve les français vis-à-vis des Portugais

Luz va découvrir le passé de sa famille au Portugal sous la dictature, un secret de famille douloureux...Mais aussi va vivre la maladie (SIDA) de son meilleur ami. C'est une histoire lourde, avec des fantômes qui entraînent l’héroïne dans une quête à travers le passé. C'est haletant, angoissant comme l'aime les adolescents mais aussi très enrichissant pour leur culture.

J'ai découvert la plume de Charlotte BOUSQUET dans le recueil La Revanche des Princesses, j'étais donc curieuse de la découvrir dans un de ses romans.
Quelle découverte pour moi, nous suivons 3 femmes de 3 générations 3 destins différents, toutes les 3 liées par un artefact pour le moins étrange, bienveillant ou malveillant?
J'ai aimé suivre ces trois femmes, j'ai adoré que le roman parle du Portugal et qu'il nous retrace la pèriode historique de Salazar.
Ce fût une très bonne lecture que je recommanderais avec plaisir.

Bonjour,
Deux époques habilement tressées : d'un côté, en 1991, en France, une jeune fille enquête sur le suicide de sa sœur; de l'autre pendant la dictature portugaise, une jeune fille affronte son père adoptif et prend partie pour son frère, révolutionnaire. Une histoire de famille un peu attendue. En revanche, de beaux personnages très incarnés et un fantôme féminin agressif (j'ai pensé au fantôme de Toni Morrisson dans "Beloved").
Dans mots matière, j'ai oublié : famille et fantôme
Merci beaucoup pour votre envoi.
Bien cordialement,
Sophie

Luzia trie les affaires de sa soeur, quelques mois après son suicide. Personne ne sait trop pourquoi elle a fait ça. En rangeant ses affaires, Luzia va apprendre à connaitre cette soeur avec qui elle ne s'entendait pas bien. Mais cela va également la plonger dans l'histoire familiale portugaise au moment de la dictature de Salazar... Le tout sur fond des années SIDA
Un très beau roman, assez surprenant pour son côté fantastique, mais très interessant sur le côté historique (Portugal et les premières victimes du SIDA)

J'ai été emportée dans ce voyage dans le temps, et dans l'espace, entre la France et le Portugal.
En rangeant les affaires de sa soeur, décédée cinq ans plus tôt, Luz trouve un médaillon et un journal intime. Rapidement, elle est victime de phénomènes étranges, traversée de courants froids. Elle comprend vite qu'elle va devoir retourner au Portugal, le pays d'origine de ses parents, pour faire la lumière sur une histoire familiale qui semble bien sombre. Elle embarque avec elle Julien, son meilleur ami, malade du SIDA et rejeté par sa propre famille.
L'histoire portugaise n'est pas au programme scolaire, alors j'en ai beaucoup appris par le biais de ce roman, sur le régime Salazar, la chape de la dictature qui a sûrement séparé bien des familles. Ce roman même s'il est estampillé jeunesse, est à mettre entre toutes les mains. Et pour les plus romantique, quelle beauté que la relation entre Alma et son cheval.
Vraiment un très joli coup de cœur. C'est sans doute un peu compliqué pour le niveau collège, mais je suis sûre qu'en lycée il va très bien fonctionner.

Trois époques, trois femmes : 1971 au Portugal avec Alma. A cette époque, le pays connaît une dictature, celle d'Antonio de Oliveira Salazar, puis celle de Marcelo Caetano (de 32 à 74) : l'Estado Novo.
Comme l'explique Charlotte Bousquet à la fin, il s'agit d'une dictature qui s'appuie sur des traditions militaire, catholique et corporatiste, qui interdit les grèves, l'opposition politique et syndicale et fait la chasse aux communistes. Jusqu'à la Révolution des Œillets, le 26 avril 1976.
Alma est une jeune femme pleine de fougue, fille du Coronel - un homme violent et fidèle du régime - et sœur de Manuel - père de Luzia et Sabine - révolutionnaire. Têtue, elle n'en fait qu'à sa tête, gorgée de valeurs et très attachée à son cheval, Valente : il est tout pour elle. En 1971, elle meurt lors d'une opération de la Résistance.

1986 en France avec Sabine à travers son journal intime. Depuis qu'elle a le médaillon elle pense devenir folle. Pourtant, elle a des préoccupations de son âge (15-16 ans). Amoureuse, libre et têtue. Elle ressemble à sa tante et semble détester sa petite sœur. Pourquoi ce suicide ?

1991 en France et au Portugal avec Luzia et son enquête. Une enquête difficile qui lui fait découvrir le jardin secret de sa sœur et sa haine à son encontre. Qui lui fait remonter l'histoire familiale ; une histoire lourde et dramatique.
C'est l'occasion, avec ce personnage et cette année de parler homosexualité et Sida. Luzia est lesbienne et son meilleur ami est homosexuel. Difficile de faire son coming-out. Le sien l'a éloignée de son père, celui de Julien l'a mis à la porte de ses parents. Luzia va bien mais Julien a contracté le Sida, une maladie mortelle. A cette époque, les traitements étaient agressifs et rendaient très malade.
Malgré les conséquences de ses médicaments et de la maladie, il souhaite accompagner Luzia au Portugal. C'est sans doute ce qui a manqué à Sabine…

Il y a donc plusieurs thématiques dans ce livre :
- La dictature Portugaise, les valeurs et les espoirs d'une jeunesse et tout ce que cela implique : censure, arrestation, torture, peur, oppression, liberticide, meurtre... et parfois trahison pour d'autres priorités, la difficulté d'après. Mais aussi le besoin de justice, de vengeance, l'amour compliqué et tortueux.
- Le suicide adolescent, la drogue, les rapports familiaux compliqués, la puissance des secrets et des non-dits.
- Le Sida et l'homosexualité, mais surtout le Sida, la difficulté du coming-out et ses conséquences, la maladie, la peur, la perte, la douleur, le regard des autres…

Une auteure qui ne prend pas toujours de pincettes et que j'aime beaucoup. Outre ses livres et ce qu'ils abordent, elle a une écriture, une manière de raconter qui me charme à chaque fois.
Elle le fait de nouveau avec ce livre, dans lequel elle repend des codes du roman historique, de famille et du fantastique avec ce médaillon. Si Julien n'était pas un témoin direct, la question de la réalité des apparitions pourrait se poser. Un mélange qui permet une ambiance très intéressante.

Une vraie claque que ce roman ! Bravo ! Une couverture, un titre et un résumé intrigants... comment le résumer sans trop en dire ? 1991, en pleine crise du sida et ses nombreux morts, Luzia, étudiante, s'attelle enfin à ranger les affaires de sa soeur qui s'est suicidée cinq ans auparavant. Elle tombe alors sur un pendentif appartenant à leur tante, décédée elle-même à 18 ans sous le régime de Salazar. Luzia, accompagnée de son meilleur ami Julien, atteint du sida, découvre à travers le journal intime de sa soeur et de l'enquête qu'elle mène, le destin tragique d'Alma, sa tante et les raisons du suicide de sa soeur. De 1970 à 1990, du Portugal à la France (et inversement) un voyage initiatique, historique et spirituel, rempli de suspens qui déterrera de lourds secrets de famille. Un roman haletant qui alterne entre les histoires de ces trois femmes. La musique des années 80 résonne encore dans ma tête !

Charlotte Bousquet nous livre un roman puissant. Alternant entre, l'année 1991, en France, l'histoire de Luzia et de sa soeur Sandrine, décédée 5 ans auparavant, et celle de leurs tante Alma et son cheval Valente, en 1971, au Portugal. Le récit nous plonge dans une histoire de secret familial, de deuil, fantastique sur fond de dictacture Salazariste. Trois femmes d'une même famille, trois destins. Chacune connait la peur et la déception mais est surtout éprise de liberté et à foi dans l'avenir. L'écriture est bouleversante, les protagonistes attachant.e.s avec une force de caractère inspirante et attachante. L'amour qui unit Alma et son cheval est touchant et les détails sur la situation politique portugaise font avancer l'intrigue principale sans l'alourdir.
Une lecture que je recommande à tous, pour sa qualité.

Ce livre est différent de ceux que je lis d'habitude mais j'ai beaucoup aimé cette histoire. Une fois la lecture commencée, il m'était difficile d'arrêter ! J'ai beaucoup aimé le personnage de Luzia, empreinte d'honnêteté. J'avais peur que le contexte histoire soit trop présent mais ce n'est pas le cas, il est bien équilibré avec le reste de l'histoire, tout comme la présence des fantômes du passé. On se laisse totalement emporté par la plume de l'auteure dans cette quête vers la vérité. J'ai apprécié les références historiques, musicales et littéraires qui nous permettent de nous plonger dans l'époque et donnent de la couleur locale au roman.
J'aurai aimé voir un autre aspect de Sabine, autre chose que le côté grande sœur qui déteste sa petite sœur. Mais hormis cela, je trouve que le roman était juste. Certes, plusieurs aspects auraient pu être approfondis mais en soi j'en ressors satisfaite !

Une histoire prenante, émouvante. Ou se rejoignent la jeunesse des années sida et celle, révoltée, des années Salazar. Ou flirtent playlist grunge romantique et visions d'épouvantes, affaire de famille et grande Histoire.
En revanche, je ne le mettrai pas dans le rayon jeunesse, mais le recommanderai pour les "Young-adults".