Max Lurie passe à table

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Date de parution 7 nov. 2019 | Archivage 27 nov. 2019
Belfond | Littérature étrangère

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Résumé

Avec son goût irrépressible de la provocation, Steven Boykey Sidley livre un roman corrosif et plein d’humour sur la selfie-sation du monde. Un plaisir littéraire coupable et salutaire, dans la lignée de Joseph Heller et de Mordecai Richler.

Vous êtes sur le Réseau national de podcasts. Bienvenue dans « Free Association », animé comme toujours par Max Lurie.

Avec cinquante mille téléchargements par semaine, Max Lurie est devenu un phénomène du Net. La raison de ce succès ? Max raconte tout ! Son passé d’écrivain raté, sa carrière avortée de psy, l’Alzheimer de son père, son frère jumeau détesté, génie de la finance, et, bien sûr, Anne, sa dernière conquête, avec laquelle il se voit déjà convoler… Et qu’importe si Anne et le frère jumeau n’existent pas. Il faut bien mettre un peu de piment pour tenir l’auditeur en haleine. Tout cela est virtuel, après tout.

Les mensonges grossissent, le nombre d’abonnés aussi. Jusqu’où Max est-il prêt à aller pour plaire à ses fans ? Combien de temps avant que son double digital ne le vampirise totalement ? Est-il seulement possible de faire machine arrière ?

Steven Boykey Sidley a grandi entre les États-Unis et l’Afrique du Sud. Il a exercé plusieurs métiers dont ceux d’animateur, de développeur informatique, de designer de jeux vidéo… jusqu’à tenter l’aventure hollywoodienne en tant qu’auteur de scénarios, avant de se consacrer à l’écriture. Après Meyer et la catastrophe, Borowitz broie du noir et Harold Cummings prend la tangente, Max Lurie passe à table est son quatrième roman à paraître en France. Steven Boykey Sidley vit aujourd’hui à Johannesburg, en Afrique du Sud. On peut le croiser dans les clubs de la ville où il joue du saxophone avec son groupe de jazz.

Traduit de l’anglais (Afrique du Sud) par Catherine Gibert.

Avec son goût irrépressible de la provocation, Steven Boykey Sidley livre un roman corrosif et plein d’humour sur la selfie-sation du monde. Un plaisir littéraire coupable et salutaire, dans la...


Ils recommandent !

« Quand la vérité rencontre l'humour, un regard affûté sur le monde contemporain, une intelligence électrique et beaucoup d'esprit, on obtient une histoire divertissante et chargée de compassion ! » The Times

« D'une plume assurée, contrôlée, perspicace et drôle, Sidley nous conduit à ce point de paroxysme entre rire et larmes. » City Press

« Verbe mordant, scènes déjantées, dialogues pétillants, rythme effréné : ce roman de Steven Boykey Sidley est à la fois d’un réalisme cru (et cruel) et d’une cocasserie désopilante. » Le Figaro Magazine (à propos de Harold Cummings prend la tangente)

« Steven Boykey Sidley s’inscrit dans la lignée de grands auteurs juifs américains tel Philip Roth avec Portnoy et son complexe. […] Dans ce roman fluide et mélodique, Meyer s’adresse à nous comme si, dans un club, nous étions assis à la première table, vibrant à son écoute, tantôt grisés par sa gaieté, tantôt touchés par la mélancolie de sa mélopée. La vie n’est qu’un solo de jazz, éphémère, enivrant, et ce livre, une vraie réussite. » Elle (à propos de Meyer et la catastrophe)

« Un roman hilarant, philosophique et complètement déjanté, truffé de dialogues plus percutants les uns que les autres, qui signe l’entrée en scène d’un nouveau trublion des lettres. Fracassant. » Madame Figaro (à propos de Meyer et la catastrophe)

« Comédie burlesque et roman noir, saillies philosophiques et bagarres de comptoir, Steven Boykey Sidley a l’art de manier les univers les plus inconciliables pour nous emporter dans des aventures qui sollicitent nos zygomatiques. » Paris Match (à propos de Borowitz broie du noir)

« Quand la vérité rencontre l'humour, un regard affûté sur le monde contemporain, une intelligence électrique et beaucoup d'esprit, on obtient une histoire divertissante et chargée de compassion !...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782714478511
PRIX 20,90 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Voici une lecture dynamique qui donne la pêche de par son rythme et des répliques vives du personnage principale qui anime un podcast. dans lequel il aborde plusieurs sujets essentiellement ses expériences et sa vie qu’il modifie un peu pour rendre le podcast plus attrayant comme s’inventer un frère jumeau et peut-être une petite amie.
Si le ton de ses podcasts est léger sur une vie entre fiction et réalité, la maladie d’Alzeimer de son père, les plaintes de sa mère qu'il essaie de fuir, son amour pour sa grande soeur ainsi que son mari et surtout son approche de Jack, un SDF au bas de son immeuble, lui font se poser beaucoup de questions, le font mûrir (il était temps à 33 ans). Max se révèle être un personnage très humain qui malgré son podcast centré sur sa personne s’intéresse aux personnes autour de lui et à travers ses questionnements modifie son podcast.
Une agréable lecture qui s’est avérée être moins légère que ce que je pensais avec un personnage attendrissant et ses nombreuses interrogations sur lui-même mais pas que.

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