L’humeur railleuse et le verbe corrosif, Lydie Salvayre se saisit du prétexte d’une nuit passée au musée Picasso pour questionner le milieu artistique et ses institutions. Se tournant vers son enfance de pauvre bien élevée et abordant sans masque son lien à un père redouté et redoutable, elle essaie de comprendre comment s’est constitué son rapport à la culture et à son pouvoir d’intimidation, tout en faisant l’éloge de Giacometti, de sa radicalité, de ses échecs revendiqués et de son infinie modestie.
L’humeur railleuse et le verbe corrosif, Lydie Salvayre se saisit du prétexte d’une nuit passée au musée Picasso pour questionner le milieu artistique et ses institutions. Se tournant vers son...
L’humeur railleuse et le verbe corrosif, Lydie Salvayre se saisit du prétexte d’une nuit passée au musée Picasso pour questionner le milieu artistique et ses institutions. Se tournant vers son enfance de pauvre bien élevée et abordant sans masque son lien à un père redouté et redoutable, elle essaie de comprendre comment s’est constitué son rapport à la culture et à son pouvoir d’intimidation, tout en faisant l’éloge de Giacometti, de sa radicalité, de ses échecs revendiqués et de son infinie modestie.
Qui n'a pas rêvé de passer une nuit enfermé dans un musée ? Avouons que cela est tentant et intimidant. C'est ce qui Lydie Salvayre a fait, le temps d'une nuit. Musée Picasso, rien que ça! L'auteur s'y retrouve et passe du temps devant les sculptures de Giacometti. Mais Lydie Salvayre n'est pas là pour regarder simplement, cette expérience la conduit dans un voyage personnel. Les souvenirs de son enfance remonte. Sa jeunesse, Son père, surtout. Et la violence, la rudesse de celui-ci.
Ce livre est simplement magnifique. Fort. Peut-être l'un des plus personnel avec Pas pleurer qui déjà explorait son passé, au plutôt celui de sa mère. La verve de Lydie Salvayre percute, foudroie et les mots s'inscrivent pour ne plus vous quitter. Un vrai plaisir de lecture et de partage !
5 stars
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Nadège E, Libraire
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5 stars
Quel bonheur de livre cet ouvrage. Lydia Salvayre nous dépeint avec brio sa nuit au musée: tantôt écœurée, tantôt fascinée, mais toujours fascinante: c'est une nuit mémorable que l'on passe avec elle.
Je recommanderai sans hésiter cet ouvrages aux férus d'art, mais aussi et surtout aux autres: ceux qui traînent cette impression de ne pas avoir leur place dans un musée, ces gens à l'air "bien modeste", car, comme le résume très bien l'auteure elle-même: "L'art ne valait rien mais rien ne valait l'art".
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Média/Journaliste 463705
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Qui n'a pas rêvé de passer une nuit enfermé dans un musée ? Avouons que cela est tentant et intimidant. C'est ce qui Lydie Salvayre a fait, le temps d'une nuit. Musée Picasso, rien que ça! L'auteur s'y retrouve et passe du temps devant les sculptures de Giacometti. Mais Lydie Salvayre n'est pas là pour regarder simplement, cette expérience la conduit dans un voyage personnel. Les souvenirs de son enfance remonte. Sa jeunesse, Son père, surtout. Et la violence, la rudesse de celui-ci.
Ce livre est simplement magnifique. Fort. Peut-être l'un des plus personnel avec Pas pleurer qui déjà explorait son passé, au plutôt celui de sa mère. La verve de Lydie Salvayre percute, foudroie et les mots s'inscrivent pour ne plus vous quitter. Un vrai plaisir de lecture et de partage !
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Je recommanderai sans hésiter cet ouvrages aux férus d'art, mais aussi et surtout aux autres: ceux qui traînent cette impression de ne pas avoir leur place dans un musée, ces gens à l'air "bien modeste", car, comme le résume très bien l'auteure elle-même: "L'art ne valait rien mais rien ne valait l'art".