Amer noir, le jour où j'ai tué Staline

Ce titre a été archivé. Il est désormais indisponible sur NetGalley.

Commandez ou achetez ce livre dans votre point de vente préféré !

Envoyer des titres NetGalley directement à votre Kindle ou votre application Kindle.

1
Pour lire sur votre Kindle ou dans votre application Kindle, merci d'ajouter kindle@netgalley.com en tant qu'adresse e-mail approuvée pour recevoir des documents dans votre compte Amazon. Veuillez cliquer ici pour des instructions détaillées.
2
Ensuite, retrouvez votre adresse e-mail Kindle dans votre compte Amazon et ajoutez-la ici.
Date de parution 8 oct. 2018 | Archivage 17 janv. 2019

Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #AmerNoirLeJourOùjaiTuéstaline #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils


Résumé

Quand on a dix-sept ans, croiser le regard d’un bandit de grand chemin qui ne s’appelle pas encore Staline peut changer le cours de sa vie. Quand dans le même temps, on veut tout abandonner pour une fille qui prend la pose contre une poignée de Kopeks, on va au-devant de gros problèmes. L’épopée d’Anton Semenov commence dans le Tbilissi pré-révolutionnaire de 1905 pour s’achever en 1920 sur un navire français mouillant en mer Noire. Du Caucase jusqu’à la Sibérie profonde, il ne va cesser de courir après ses propres chimères sans espoir de retour. Pendant le temps de cet exil intérieur, ce jeune homme bien né va devoir grandir vite, survivre, traverser vaille que vaille les prémices de la grande révolution pour enfin atteindre son but, le toucher en plein cœur. Si sous bien des aspects « Amer Noir » tient du Western slave, c’est aussi le récit intime d’une quête amoureuse qui abolit parfois les frontières de la raison.

Quand on a dix-sept ans, croiser le regard d’un bandit de grand chemin qui ne s’appelle pas encore Staline peut changer le cours de sa vie. Quand dans le même temps, on veut tout abandonner pour une...


Note de l'éditeur

Qu’on ne s’y trompe pas. Nous n’avons pas, avec Amer Noir, un roman historique. Le cadre est historique (une histoire d’ailleurs que l’auteur avoue franchement avoir arrangée quelque peu pour son roman). Il s’agit d’une quête de réalisation de soi et d’une quête amoureuse dans les grands espaces russes. Deux quêtes qui deviennent une obsession. Un western slave en quelque sorte au début des années 1900. Avec des bons, des brutes et des truands... et Koba. Qui est Koba? Non, je ne dirai rien... à vous de le découvrir en lisant l’ouvrage.

Qu’on ne s’y trompe pas. Nous n’avons pas, avec Amer Noir, un roman historique. Le cadre est historique (une histoire d’ailleurs que l’auteur avoue franchement avoir arrangée quelque peu pour son...


Ils recommandent !

Une écriture fluide, un maniement subtil de la langue française. Voici l’histoire touchante d’un homme, Anton, qui se penche à la fin de sa vie sur ses souvenirs, plus ou moins imprécis : « Qu’est-ce qu’il reste quand on commence à entrevoir le début de la fin ? » Amer Noir est plus qu’un roman dépaysant. Il s’agit avant tout d’un bildungsroman, d’un voyage au cœur de soi-même à la recherche de ses limites. Un livre qui nous immerge dans une Russie dont nous, Occidentaux, ignorons tellement de choses, la Russie pré révolutionnaire… C’est la vision du petit père des peuples, dans sa jeunesse, lorsqu’on l’avait surnommé Koba et plus tard Staline, qui signifie « acier » en russe, à travers le regard du protagoniste, jeune homme bien implanté dans la bourgeoisie, milieu étouffant auquel il tente d’échapper par tous les moyens, pour suivre ses rêves. Don Quichotte d’une société archaïque, Anton, le héros / anti-héros, essaie de se réaliser. Son envie éperdue de ne pas mener une vie morne et insignifiante, quitte à tout perdre, est le point de départ de ses aventures. Les personnages sont tous intéressants car ils ne sont pas utilisés comme faire-valoir du personnage principal, qui tel un Dr Jekyll et Mr Hyde russe, évolue dans ce récit écrit comme une fable. Ce texte nous rappelle subtilement le magic realism de Cent ans de Solitude. Un rythme mélancolique, un récit de vie et de mort, dévorant. Une véritable épopée qui restera longtemps gravée en nous, même si Staline est mort de sa belle mort…

Une écriture fluide, un maniement subtil de la langue française. Voici l’histoire touchante d’un homme, Anton, qui se penche à la fin de sa vie sur ses souvenirs, plus ou moins imprécis : «...