Le Petit Veilleur

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Date de parution 7 févr. 2019 | Archivage 31 mars 2019

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Résumé

En voiture au côté d’un inconnu, vers une destination qu’il ignore, un petit garçon convoque les images de sa vie. La pension, adoucie par la présence protectrice de Sophie ; l’océan et la plage, face à l’appartement où il vit avec sa mère. Insaisissable, celle-ci disparaît pour revenir de jour en jour plus mystérieuse, plus imprévisible. L’enfant trop sage veille sur elle et rêve d’un monde où rien ne les séparerait. Mais la société préfère le déchirement au désordre…

Un texte poétique et essentiel, puisé aux sources de l’enfance.

« On peut le mettre dans une pension à des kilomètres de la ville, on peut le tenir loin d’elle un automne, un hiver et un printemps, il s’en fiche ; il sait que cette minute revient toujours, cette minute où il pousse la porte de sa chambre, où il monte quatre à quatre les marches de l’escalier de la plage et la retrouve. »

Benoît Reiss est né à Lyon en octobre 1976. Il a étudié la littérature à Lyon puis à Paris. Il a vécu plusieurs années au Japon. Il habite maintenant en Haute-Loire et co-dirige les éditions du Cheyne, où il a auparavant publié plusieurs ouvrages (romans, récits et recueils poétiques).

En voiture au côté d’un inconnu, vers une destination qu’il ignore, un petit garçon convoque les images de sa vie. La pension, adoucie par la présence protectrice de Sophie ; l’océan et la plage...


Note de l'éditeur

Bonjour à tou.te.s, Nous vous demandons de bien vouloir publier vos chroniques à partir de la date de parution du livre. Merci d'avance et à bientôt, Les éditions Buchet Chastel

Bonjour à tou.te.s, Nous vous demandons de bien vouloir publier vos chroniques à partir de la date de parution du livre. Merci d'avance et à bientôt, Les éditions Buchet Chastel


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782283031971
PRIX 13,00 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Un jeune enfant installé dans une voiture aux côtés d’un homme qu’il ne connaît pas et qui l’emmène il ne sait où, on lui a seulement dit : « C’est un jour important », Il fait chaud, sa chemise lui colle à la peau et le gratte autour du cou. Il voudrait pleurer mais n’ose pas, alors pour se distraire, il convoque ses souvenirs.
La pension où il vivait au milieu d’enfants solitaires comme lui.
Il n’y était pas malheureux grâce à Sophie qu’il aimait écouter jouer du piano.
Le garçon rêve des cerfs-volants qu’il voyait sur la plage lorsque sa mère l’y emmenait, toujours accompagné de « Monsieur ».
Parfois, c’était à la montagne qu’il retrouvait Charles, le fils de « Monsieur ».
Sa mère n’en parle pas beaucoup, d’ailleurs, elle ne lui parle jamais vraiment.
Parfois, le mercredi et le samedi, l’enfant se retrouve seul dans un bar devant un sirop de pêche. Sa mère le laisse quelques heures aux bons soins du patron et part vers un univers inconnu après avoir lancé un laconique « je vous le confie ».
Benoit Reiss signe un texte où délicatesse, tendresse et pudeur se mêlent pour parler de l’enfance malmenée.
Il n’y a jamais de violence, ni verbales, ni physiques contre « Le petit veilleur », mais seulement des silences qu’il arrive à aimer car ils lui parlent de sa mère et lui disent qu’elle reviendra.
J’ai eu la gorge nouée face à cet enfant démuni dans un monde dont il ne comprend pas les codes.
Il est attachant, j’ai eu envie de le serrer fort pour le rassurer.

J’ai frôlé le coup de cœur, légèrement déçue cependant par une fin que j’ai trouvé un peu abrupte par rapport à la délicatesse du reste du roman.

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