Le fiancé des Highlands

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Date de parution 1 mars 2018 | Archivage 12 juin 2018

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Résumé

Après une fugue amoureuse qui a mal tourné, Bénédicte a tout perdu  : son amant, sa réputation, mais aussi l’espoir de fonder une famille un jour. Quand on n’a plus rien à perdre, on n’a plus rien à craindre  ! Et certainement pas le sale caractère de Rabbie Mackenzie, le fiancé de sa jeune et fragile maîtresse, Lady Avaline. Bénédicte a beau n’être qu’une dame de compagnie, elle n’hésite pas à tenir tête au fougueux Écossais. C’est donc tout naturellement qu’elle devient l’intermédiaire entre les deux fiancés, qui n’ont décidément rien en commun – tout en tâchant d’ignorer l’attirance coupable qu’elle ressent pour l’ombrageux Écossais…
 
 
 

Après une fugue amoureuse qui a mal tourné, Bénédicte a tout perdu : son amant, sa réputation, mais aussi l’espoir de fonder une famille un jour. Quand on n’a plus rien à perdre, on n’a plus rien à...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782280393584
PRIX 5,99 € (EUR)
PAGES 384

Chroniques partagées sur la page du titre

Chronique de Diana :

J’étais heureuse de repartir sur les terres écossaises et dans les Highlands. J’ai eu la chance de lire les 2 premiers tomes de cette saga et je vous la conseille vivement. Une fois de plus j’ai pu retourner dans la lande et apprécier ce récit pleinement.

Après Arran et Margot, Daisy et Cailean, c’est au tour de Rabbie et Bénédicte. Même si j’ai eu un peu de mal à m’y retrouver dans la chronologie et l’histoire familiale des Mackenzie (oui, ils sont nombreux et tout remettre dans l’ordre peut être un poil fastidieux).

Ici toute la thématique tourne autour du caractère féminin des héroïnes. J’ai trouvé ce roman très Girl Power (enfin pour l’époque attention). Rabbie accepte un mariage arrangé pour renforcer son clan et éviter que ce dernier soit anéanti. Les temps sont mornes dans les Highlands depuis la défaite de Culloden (Je ne vais pas vous faire un cours d’histoire mais au besoin regardez Outlander 😉 ). Il doit épouser la jeune Avaline de 15 ans sa cadette mais surtout anglaise et notre héros encore en deuil de la perte de sa défunte fiancé va clairement à l’échafaud. Cette dernière n’est pas aussi des plus heureuse. Sous la coupe de son père et très naïve concernant ce qui’ l’attend ; j’avoue que j’ai eu du mal à m’attacher à elle. Certes on sent bien qu’elle subit plus qu’autre chose mais elle manque aussi cruellement de maturité et de jugeote par moment. Heureusement pour elle sa femme de chambre ou gouvernante Bénédicte est tout son contraire et elle s’évertue à la faire progresser.

Rabbie va jouer les sans cœur mettant sa fiancée dans l’embarras et ne sachant que faire, pour rétablir l’équilibre c’est Bénédicte qui va rendre la monnaie de sa pièce à Rabbie et au final c’est deux là vont se compléter. Rabbie est vraiment un personnage austère et il faut un moment pour l’apprécier cependant au contact de Bénédicte il se révèle bien plus intéressant. Notre héroïne est une jeune femme brisée aussi mais bien décidée à ne pas s’enliser dans sa tristesse. Elle sait tenir tête à cet Highlander et on comprend vite qu’elle ne se laissera pas maltraiter et qu’elle fera de même pour sa protégée.

Les révélations du passé seront présentes tout au long du récit et elles permettront au lecteur de mieux cerner les personnages et d’appréhender les mœurs de l’époque. L’honneur est toujours au centre de tout pour ces messieurs mais la place de la femme est aussi bien développée et ce récit relate un cas parmi tant d’autres à cette époque.

J’ai passé un bon moment de lecture sans que ça devienne un coup de cœur, le style reste fluide et on se plait bien en ces terres sauvages. Je pense que cette romance plaira aux amateurs du genre et qu’il ne faut pas hésiter à partir écouter le vent et sentir les embruns.

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Ce roman est le troisième tome d’une série de Julia London que je lis depuis le début et c’est, sans conteste, celui que je préfère. Nous sommes en 1750 et l’Ecosse n’est plus ce qu’elle était. Depuis la bataille de Culloden qui a vu de nombreux jeunes hommes mourir, le pays est en ruines, les highlanders n’ont plus le droit de porter leurs tartans, leurs propriétés sont décimées ou rachetées par des anglais, ce qui est peut-être pire à leurs yeux. C’est dans ce contexte que nous faisons connaissance avec Robbie MacKenzie, un des fils d’Arran et de Margot (voir « Unie au highlander »), en deuil depuis des mois, depuis qu’il a appris la mort de la jeune fille qu’il aimait, tuée après Culloden par les Anglais. Dès lors, il noie son chagrin dans l’alcool. Mais sa famille a besoin de lui et il a accepté d’épouser une anglaise pour éviter que leurs terres soient grignotées par un clan ennemi, les Buchanan. Le problème, c’est qu’il ne parvient pas à surmonter son chagrin, que sa fiancée est une oie stupide, bien trop jeune par-dessus le marché et surtout qu’elle est accompagnée par une femme de chambre à la langue trop pendue. Si Bénédicte est la femme de chambre d’Avaline, c’est qu’elle a été chassée de chez elle après un mariage contracté contre la volonté de son père. A peine mariés, le destin s’est acharné contre eux. Devenue veuve, reniée par son père, elle accompagne Avaline partout. Notamment en Ecosse où elle comprend rapidement que Robbie n’est pas fait pour Avaline. D’autant qu’après un premier contact houleux, Robbie et Bénédicte sont attirés l’un par l’autre. J’ai beaucoup aimé ce roman, pour une fois il n’y a pas de complot ou de méchant essayant de se mettre entre eux. Les obstacles qui se dressent devant eux c’est bien évidemment le futur mariage mais aussi le passé des deux protagonistes (la fiancée de Robbie et le mari de Bénédicte) qui les amènent à refuser très longtemps l’évidence à savoir qu’ils sont faits l’un pour l’autre. Ce que j’ai aimé aussi c’est l’arrière-plan historique : l’auteur évoque avec beaucoup de talent cette Ecosse meurtrie après la bataille de Culloden. Le clan MacKenzie est passé à travers l’orage car il n’a pas participé au soulèvement contre la couronne mais il n’empêche qu’ils en subissent les conséquences. Il se retrouve esseulé, des clans entiers ont disparu, des demeures sont en ruines, des champs en friches, et le danger de voir s’installer des anglais qui les ruineraient met en danger leur avenir. Il y a une certaine amertume qui traverse ce roman et le couple que forme Robbie et Bénédicte est la possibilité de la voir reculer. A lire !
Je remercie Netgalley et les éditions Harlequin de m’avoir permis de lire ce livre.

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Je remercie le site NetGalley ainsi que la maison d'édition Harlequin pour ce dernier tome de cette trilogie. Après les parents dans le premier tome et le premier fils, nous suivons Rabbie, un autres enfants de Margot et Arran.

Afin de consolider un semblant de terres Écossaises, Rabbie se voit contraint d'épouser une jeune fille de 17 ans anglaise de surcroit. Avaline ne connaît rien de la vie et encore moins aux hommes. C'est grâce à sa dame de compagnie, Bénédicte, qu'elle arrive à ne pas trop bafouiller lors des présentations. Cette dernière a au une mauvaise réputation et se retrouve au sein de cette famille où le père est prêt à tout pour avoir plus de pouvoir et donc à vendre sa fille. Quant à la mère, elle est restée en retrait depuis bien longtemps. Forcément lorsqu'ils arrivent en Ecosse, les mœurs se confrontent et les idées aussi. Est-ce que Rabbie va réussir à faire ce qu'on lui demande : épouser une jouvencelle qui a peur de son ombre ?

Ah encore et toujours l’Écosse, un pays (avec l'Irlande) que j'adorerais découvrir. L'auteur nous embarque dans un passé tumultueux, une fois que les Anglais ont réussi à prendre en main la plupart des terres. La plupart des habitants ont trouvé la mort, à moins que certains n'aient réussi à s'enfuir. Mais ils sont trop peu nombreux. Afin que les terres restent aux MacKenzie et n'aillent à leurs ennemis, Rabbie doit se dévouer et épouser Lady Avaline. Une histoire sans amour qui s'annonce. Pas d'envie particulière, juste une envie de plonger aux bas des falaises pour cet homme qui soufre le martyre d'avoir perdu celle qu'il aimait dans cette fichue guerre.

Les paysages sont magnifiques, beaucoup de souvenirs sont attachés à certains faits qui ne sont pas joyeux. Pendaison, tuerie, il y a peu de belles choses depuis des années. Les descriptions sont justes assez pour ne pas tomber dans le mélodrame, mais bien pour comprendre que la vie est rude depuis bien longtemps. Des lois ont changé leur manière de faire, de vivre. Je pense aux Tartans qu'ils n'ont plus le droit de porter.... Comme si mettre les habits des autres pays pourraient les faire ressembler aux autres afin de créer un moule... Il y a tellement de clans qui ont disparu, des maisons qui ne ressemblent plus qu'à des murs en ruine.

Concernant les personnages, ils ne sont pas épargnés. Entre Rabbie qui a perdu l'amour de sa vie dans cette guerre, Bénédicte qui a une réputation très mauvaise ( en partie à cause de son père, je laisse ce point à découvrir) et Avaline qui n'a que 17 ans et qui est complètement à côté de la plaque. Entre le père d'Avaline qui veut absolument cette union, sa mère qui laisse tout faire et qui se repose beaucoup trop sur Bénédicte, la jeune fille va vivre dans un rêve et non dans la réalité. A cette époque, une femme comme Bénédicte aurait dû finir servante, ou au couvent. Elle a eu cette "chance" de servir cette famille, gardant sa manière de parler : franche et directe. Elle a du cran et ne mâche pas ses mots. Mais face à un homme qui devrait être de bon ton alors que ce n'est qu'un rustre, elle en perd ses moyens.

Rabbie se sent revivre un peu plus chaque jour et ne pense plus à vouloir en finir avec sa vie. Mais il y a des obstacles, car celle qui fait battre son coeur n'est pas cette jouvencelle d'Avaline. Bénédicte est celle qu'il lui faudrait, sauf que cette dernière, même si elle le laisse s'approcher, ne veut pas trahir son amie. Beaucoup de conflits qui vont les mener sur des chemins dangereux. Sans compter que le passé n'est jamais très loin et la présence d'enfants qui ont perdus leurs parents en fait souffrir plus d'un.

Il y a un peu d'humour dans tout ce qui se passe, des scènes qui donnent de sacrés moments de confusion. J'ai beaucoup aimé voir Avaline partir dans un délire qui va donner un grand coup de main à la plupart des personnages. Et en même temps révéler des personnalités bien cachées.

En conclusion, il s'agit de mon tome préféré. Un peu plus d'histoire, un peu plus de complexité. Des personnages qui restent entier. J'ai beaucoup aimé aussi revoir les personnages des autres tomes. J'aurai aimé en savoir plus sur Ellis, mais également Aulay. Peut-être qu'un jour l'auteur écrira sur eux !

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