La dame de Glengarden

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Date de parution 1 juil. 2017 | Archivage 1 sept. 2017

Résumé

"Ranney écrit avec sensibilité sur une période triste et dure de l'histoire américaine. Sa représentation délicate et 
pluridimensionnelle des personnages asservis évite les stéréotypes et blanchit le passé
. '' - Publishers Weekly

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"Ranney écrit avec sensibilité sur une période triste et dure de l'histoire américaine. Sa représentation délicate et 
pluridimensionnelle des personnages asservis évite les stéréotypes et blanchit...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782280379069
PRIX 5,99 € (EUR)
PAGES 400

Chroniques partagées sur la page du titre

Rose arrive en Ecosse après un long voyage. Ici se trouve sa dernière chance de sauver Glengarden, la plantation de coton, et surtout de sauver les derniers habitants. La guerre fait rage et il n'y a plus rien à manger et plus de main d'oeuvre pour entretenir la propriété. Il reste seulement la dernière récolte de coton qu'elle espère vendre à Duncan McIain, cousin éloigné de Bruce Mc Iain, son beau-frère.
Elle arrive émaciée dans la famille de Duncan qui va l'accueillir comme un membre de leur famille, avec gentillesse et générosité.Ils pensent qu'elle est la veuve de Bruce, et elle ne les détrompe pas. Ils sont sa seule chance !

J'ai tout de suite aimé le personnage de Rose, jeune femme qui part à l'autre bout du monde, seule, avec la mission qu'elle s'est donné de sauver sa famille, ou ce qu'il en reste. Elle fait preuve d'un grand courage. Elle n'a pas eu la vie facile en grande partie à cause de son beau-frère, despote du Sud, égoïste et tout puissant. Elle a pris son courage à deux mains et à foncé. Elle fait preuve d'une grande maturité et de passion. Elle lutte à sa façon contre l'esclavage qui la révolte.
Duncan, le cousin écossais, est plutôt bel homme, il est proche de sa famille. Propriétaire d'une filature en difficulté, il veut absolument la sauver car de lui dépendent de nombreuses familles. Son personnage est plutôt différent d'autre roman du style dans le sens où il est accessible, gentil, il a bon caractère et n'a pas de sombres secrets. Il est le contraire du héros ce qui fait de lui quelqu'un d'attachant. Cependant, au final, il est assez transparent et manque de charisme.
Il y a 3 parties, assez inégales : La première, l'arrivée de Rose en Ecosse et son départ pour la plantation que je trouve relativement rapide. Les paysages ne sont pas décrits, ce que je trouve dommage. Il m'a manqué quelque chose.
Puis, vint la partie sur le trajet en bâteau et l'attraction entre Rose et Duncan. L'intervention du personnage de Olivia, belle-mère « disparue » de la sœur de Duncan, prostituée et espionne, dont le personnage est intéressant mais qui n'est pas assez utilisé et du coup n'est pas vraiment utile et n'apporte rien de plus à l'histoire.
Et enfin, l'arrivée à la plantation qui est finalement, celle que je préfère. Description de la plantation ravagée, des esclaves, de ce qu'à vécut Rose auparavant...
Au-delà de l'histoire d'amour entre les 2 personnages, l'accent est mis sur le combat contre l'esclavage, les mentalités des planteurs riches propriétaires, leur orgueil démesuré. Je regrette que le personnage de Maisie, esclave restée sur la plantation n'ait pas été plus développé.
Ce livre a une belle couverture qui m'a attiré ainsi que le titre et le résumé ! (je suis faible!!!). Il se lit aisément et il est bien écrit. J'ai été plus marqué par le personnage de Rose et ses actes pour sauver Glengarden et les esclaves, par son courage, beaucoup moins par le personnage de Duncan. Ce livre est agréable à lire et m'a procuré un bon moment de lecture cependant il ne restera pas ancré dans ma mémoire.

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Commentaire :
Troisème tome de la série « MacIain » La dame de Glengarden est en fait la jeune belle-sœur de Bruce MacIain –la branche américaine de la famille- Rose O’Sullivan qui se rend en Ecosse pour vendre la dernière récolte de coton de la plantation avant que la Guerre de Sécession ait fait son œuvre : les hommes sont partis à la guerre dont Bruce qui n’a plus donné signe de vie depuis un an, les esclaves ont disparu. Il ne reste plus que les femmes et si Rose ne fait rien, elles mourront de faim. D’où son départ et son espoir de vendre à Duncan le coton, dont il a tant besoin pour faire tourner sa filature. Mais en arrivant chez les MacIain, le clan la prend pour la veuve de Bruce, notamment Duncan qui décide de l’aider. N’osant pas revenir sur son mensonge, Rose et Duncan prennent le chemin périlleux de Charleston. C’est un roman qui se lit agréablement ; on retrouve les mêmes aspects positifs que dans les précédents romans de la série, à savoir une combinaison harmonieuse entre les deux protagonistes. Rose et Duncan sont attachants et leurs tête-à-tête intéressants. Surtout quand Rose évoque la vie quotidienne des esclaves sur la plantation de Bruce, (véritable brute épaisse soit dit en passant) et ses efforts pour améliorer leur sort. Par contre, je n’ai pas apprécié le fait que Karen Ranney fasse resurgir un personnage qu’on avait découvert dans le premier roman de la série, Bauman, censé empêcher Duncan et Rose d’atteindre Glengarden. Il n’apporte rien à l’intrigue du roman, je trouve même sa présence ridicule même si on peut comprendre que l’auteur ait voulu l’utiliser pour introduire un peu de danger dans le voyage de Rose/Duncan. Les personnages secondaires d’ailleurs ne sont pas très bien exploités, je pense à Olivia Cameron, posée là dans les pages mais dont on ne sait pas quoi faire. Enfin, au-delà de ces faiblesses, je vous conseille ce roman surtout si vous aimez la période Guerre de Sécession.

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Une héroïne qui n’hésite pas à prendre son courage à deux mains !

Pour qui : Pour celles et ceux qui ont envie d’une romance durant la guerre de Sécession.

Mon avis : Il y a de très bonnes choses (et plutôt originales !) dans cette romance. La période (et le lieu) en premier, je crois qu’à part le premier tome, Retour à Glasgow, je n’avais jamais lu de romance se passant durant la guerre de Sécession (sachant que le premier tome se passe exclusivement en Angleterre, donc on n’est pas autant dépaysé). On a ensuite un rappel des conditions extrêmement difficiles des esclaves, notamment dans la plantation de l’horrible cousin de Rose. Enfin on retrouve un couple plutôt sympathique, Glynis et Lennox (qu’on avait croisé dans le précédent opus).

Cependant, quelques passages m’ont fait lever les yeux au ciel (notamment à la fin…) où l’héroïne, qui s’est comportée avec courage et intelligence tout le reste du temps, devient un peu crétine et pas très maligne… Duncan quant à lui est plus convenu, et ne restera pas dans les mémoires comme un héros incroyable, mais il est plutôt agréable.

En bref : Une romance intéressante, qui change un peu.

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