Chroniques des lecteurs
Chronique par
Méla N, Rédacteur
Avant de partager avec vous, mon avis et mes ressentis concernant ma lecture de « La crêperie des petits miracles», je tiens à remercier les Éditions Harlequin, Milica et sa team de la collection &H, de m’avoir confié la lecture de ce service presse dans le cadre de notre partenariat.
Au même titre que la plateforme NetGalley sur laquelle, j’ai obtenu ce titre et bien évidemment, Emily Blaine, l’autrice de cette histoire aux connotations salées et sucrées.
En demandant ce titre, je savais que je ne serais pas déçue de ma lecture car je suis fan des écrits remplis de bons sentiments d’Emily Blaine et de son univers qui a su trouver sa place dans la romance contemporaine française.
Rien que le titre de son nouveau roman me faisait saliver de gourmandise. J’aime faire des crêpes mais surtout en manger, un peu comme tout le monde, non ?!
Sauf qu’avant de faire le goûter, d’ailleurs c’est l’heure au moment où j’écris cette chronique, passons donc la porte de cette crêperie, prenons place autour de l’îlot de cuisine, commandons une crêpe salée et une sucrée évidemment et croyons à nouveau aux petits miracles.
Il y a trois de cela, Adèle Duval, cuisinière de talent au Bristol – palace étoilé à Paris, est en plein burn-out et décide de tout plaquer. Laissant derrière elle, une carrière prometteuse et sa passion pour la cuisine, la jeune cheffe pose ses bagages à Saint-Malo en Bretagne, trouvant refuge chez une amie de sa grand-mère.
Ayant besoin de se retrouver, de faire le point, et de couper les ponts avec sa vie parisienne, l’éloignement paraissait la meilleure solution pour sa santé mentale.
Mais était-ce réellement le bon choix ?
Désormais serveuse dans une crêperie connue par bon nombre de Malouins, Adèle s’est faite apprécier par les gens du coin et s’est fait des amis, à commencer par Joséphine, la propriétaire des lieux.
Mais qui va lui faire un cadeau quelque peu empoisonné, en lui léguant son restaurant, menacé de fermeture, et tout en posant une immense condition.
Adèle refuse tout de go car elle ne veut plus cuisiner et a tiré un trait sur cette vie-là.
Sauf que la caractère têtu de Joséphine et ses mots très persuasifs vont faire plier les bonnes résolutions de la jeune cheffe, surtout quand les proches et les habitués vont également y rajouter le grain de sel.
Or pour qu’elle puisse pleinement jouir de ce legs, Adèle va devoir s’associer avec un parfait inconnu à ses yeux, afin de redonner vie et jeunesse à cette crêperie tant appréciée, à l’ambiance familiale et chaleureuse et aux plats proposés tout aussi délicieux. Et c’est ainsi qu’elle va faire la connaissance d’Arnaud Langlois.
Il n’y connaît rien en gastronomie mais c’est un investisseur de génie, sa société de matériaux électroniques et ses diverses usines sont là pour attester de la réussite du jeune P.D.G. trentenaire et de la pérennité laissée par son père.
Mais pourquoi Joséphine tient tant à les associer et surtout à les rapprocher ? Qu’a-t-elle à y gagner dans cette histoire ?
Adèle et Arnaud évoluent dans deux mondes diamétralement opposés et à mieux y regarder, ils n’ont vraiment rien en commun. A part peut-être, d’aimer bien manger !
Cette histoire de collaboration et de restaurant est plus que risquée mais dès leur première rencontre et les premiers regards échangés, les vies d’Adèle et d’Arnaud vont se percuter de plein fouet et cela va faire des étincelles… et pas qu’en cuisine.
Les deux associés vont se rapprocher et se lier d’une façon qui dépasse rapidement l’entente professionnelle et vont miser gros.
Mais le manque de confiance, de relations sociales, les insécurités et les doutes de chacun vont mettre des freins et malgré les forts sentiments, l’attraction sexuelle et les recettes gourmandes, le couple formé par Adèle et Arnaud ne résistera pas et ajoutez à cela, la distance entre eux. Lui, à Paris et elle, à Saint-Malo.
Or, rien n’est vraiment fini ente les deux amants, qui vont connaître bon nombre de petits miracles, déguster d’exquis plats tous simples et le restaurant d’Adèle va connaître un très bon succès.
Arnaud a eu vite confiance en Adèle, en ses talents de cuisinière et il a eu grandement raison.
La crêperie des petits miracles est une mignonne lecture, mais je m’attendais à un peu plus de gourmandise, à m’imaginer créer des recettes avec Adèle, l’assister en cuisine, la voir évoluer du temps où elle officiait au Bristol…
J’ai trouvé que l’histoire a eu du mal à se mettre en place, mais ce n’est que mon avis, et une fois qu’Arnaud Langlois a fait son apparition, tout est allé un peu trop vite à mon goût.
Mais que cela ne remette pas en cause, la qualité de l’histoire, le fait que j’ai apprécié ce que j’ai lu et les petites recettes en fin de roman sont un délicieux bonus pour l’épicurienne que je suis. A tester dès que possible !
Merci Emily pour tes personnages attachants et auxquels on trouve toujours le petit détail pour nous y identifier mais également pour tes romans qui nous permettent une douce et romantique parenthèse.
Au même titre que la plateforme NetGalley sur laquelle, j’ai obtenu ce titre et bien évidemment, Emily Blaine, l’autrice de cette histoire aux connotations salées et sucrées.
En demandant ce titre, je savais que je ne serais pas déçue de ma lecture car je suis fan des écrits remplis de bons sentiments d’Emily Blaine et de son univers qui a su trouver sa place dans la romance contemporaine française.
Rien que le titre de son nouveau roman me faisait saliver de gourmandise. J’aime faire des crêpes mais surtout en manger, un peu comme tout le monde, non ?!
Sauf qu’avant de faire le goûter, d’ailleurs c’est l’heure au moment où j’écris cette chronique, passons donc la porte de cette crêperie, prenons place autour de l’îlot de cuisine, commandons une crêpe salée et une sucrée évidemment et croyons à nouveau aux petits miracles.
Il y a trois de cela, Adèle Duval, cuisinière de talent au Bristol – palace étoilé à Paris, est en plein burn-out et décide de tout plaquer. Laissant derrière elle, une carrière prometteuse et sa passion pour la cuisine, la jeune cheffe pose ses bagages à Saint-Malo en Bretagne, trouvant refuge chez une amie de sa grand-mère.
Ayant besoin de se retrouver, de faire le point, et de couper les ponts avec sa vie parisienne, l’éloignement paraissait la meilleure solution pour sa santé mentale.
Mais était-ce réellement le bon choix ?
Désormais serveuse dans une crêperie connue par bon nombre de Malouins, Adèle s’est faite apprécier par les gens du coin et s’est fait des amis, à commencer par Joséphine, la propriétaire des lieux.
Mais qui va lui faire un cadeau quelque peu empoisonné, en lui léguant son restaurant, menacé de fermeture, et tout en posant une immense condition.
Adèle refuse tout de go car elle ne veut plus cuisiner et a tiré un trait sur cette vie-là.
Sauf que la caractère têtu de Joséphine et ses mots très persuasifs vont faire plier les bonnes résolutions de la jeune cheffe, surtout quand les proches et les habitués vont également y rajouter le grain de sel.
Or pour qu’elle puisse pleinement jouir de ce legs, Adèle va devoir s’associer avec un parfait inconnu à ses yeux, afin de redonner vie et jeunesse à cette crêperie tant appréciée, à l’ambiance familiale et chaleureuse et aux plats proposés tout aussi délicieux. Et c’est ainsi qu’elle va faire la connaissance d’Arnaud Langlois.
Il n’y connaît rien en gastronomie mais c’est un investisseur de génie, sa société de matériaux électroniques et ses diverses usines sont là pour attester de la réussite du jeune P.D.G. trentenaire et de la pérennité laissée par son père.
Mais pourquoi Joséphine tient tant à les associer et surtout à les rapprocher ? Qu’a-t-elle à y gagner dans cette histoire ?
Adèle et Arnaud évoluent dans deux mondes diamétralement opposés et à mieux y regarder, ils n’ont vraiment rien en commun. A part peut-être, d’aimer bien manger !
Cette histoire de collaboration et de restaurant est plus que risquée mais dès leur première rencontre et les premiers regards échangés, les vies d’Adèle et d’Arnaud vont se percuter de plein fouet et cela va faire des étincelles… et pas qu’en cuisine.
Les deux associés vont se rapprocher et se lier d’une façon qui dépasse rapidement l’entente professionnelle et vont miser gros.
Mais le manque de confiance, de relations sociales, les insécurités et les doutes de chacun vont mettre des freins et malgré les forts sentiments, l’attraction sexuelle et les recettes gourmandes, le couple formé par Adèle et Arnaud ne résistera pas et ajoutez à cela, la distance entre eux. Lui, à Paris et elle, à Saint-Malo.
Or, rien n’est vraiment fini ente les deux amants, qui vont connaître bon nombre de petits miracles, déguster d’exquis plats tous simples et le restaurant d’Adèle va connaître un très bon succès.
Arnaud a eu vite confiance en Adèle, en ses talents de cuisinière et il a eu grandement raison.
La crêperie des petits miracles est une mignonne lecture, mais je m’attendais à un peu plus de gourmandise, à m’imaginer créer des recettes avec Adèle, l’assister en cuisine, la voir évoluer du temps où elle officiait au Bristol…
J’ai trouvé que l’histoire a eu du mal à se mettre en place, mais ce n’est que mon avis, et une fois qu’Arnaud Langlois a fait son apparition, tout est allé un peu trop vite à mon goût.
Mais que cela ne remette pas en cause, la qualité de l’histoire, le fait que j’ai apprécié ce que j’ai lu et les petites recettes en fin de roman sont un délicieux bonus pour l’épicurienne que je suis. A tester dès que possible !
Merci Emily pour tes personnages attachants et auxquels on trouve toujours le petit détail pour nous y identifier mais également pour tes romans qui nous permettent une douce et romantique parenthèse.