
On ne mange pas les cannibales
par Stéphanie Artarit
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Date de parution 22 mai 2025 | Archivage 25 juin 2025
Belfond | Belfond noir
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Résumé
Noir, ravageur, éblouissant, On ne mange pas les cannibales est une petite bombe de suspense et d'émotion. Une histoire d'amour et de vengeance tout en tension, pour sonder la bestialité des âmes.
Noël Rivière est le propriétaire d'un zoo familial du sud de la France. Sa vie froide et solitaire se trouve bouleversée lorsqu'il rencontre Bambi, une adolescente livrée à elle-même, qui s'introduit chaque jour dans le parc pour échapper à la misère de son quotidien et à la violence de son frère aîné. Touché par cette gamine farouche, Rivière décide de lui offrir un emploi, de l'aider, de la protéger. Jusqu'à sceller leurs destins.
Pour Noël et Bambi, un bonheur fragile semble à portée de main, mais le danger rôde. Alors que les humains l'ignorent, les animaux sentent la menace qui se rapproche. Ils reconnaissent l'odeur d'une bête qui n'appartient à aucune espèce. Un monstre imprévisible et cruel qui attend son heure pour bondir et tout saccager...
Ancienne journaliste et psychanalyste devenue entrepreneuse, Stéphanie Artarit est une touche-à-tout globe-trotteuse qui, après avoir parcouru le monde, a posé ses valises en Grèce, à Athènes. Autrice d'un beau livre sur sa patrie de cœur (Athens Riviera, éditions Assouline, 2020), elle s'est lancée dans l'écriture de fictions en 2023 avec L'Argent, tout le temps, son premier roman. On ne mange pas les cannibales est son deuxième roman à paraître chez Belfond.
Noir, ravageur, éblouissant, On ne mange pas les cannibales est une petite bombe de suspense et d'émotion. Une histoire d'amour et de vengeance tout en tension, pour sonder la bestialité des âmes.
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Ils recommandent !
" Une nouvelle grande voix du policier français. " Le Point
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Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782714404855 |
PRIX | 20,00 € (EUR) |
PAGES | 400 |
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Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre

Woh Woh Woh!!!
Cette lecture était incroyable!! il n'y a aucun temps mort, les personnages sont criant de vérité, et vous êtes plongés dans l'ambiance instantanément.
"1976, Bambi, 17 ans, s'incruste régulièrement au zoo afin d’échapper à son quotidien sordide. Jusqu'au jour où elle s'y fait embaucher. Dans ce roman, noir, sombre et sauvage, la plume incroyablement belle et riche de Stéphanie Artarit nous embarque dans un tourbillon infernal, à ne plus pouvoir discerner les proies des prédateurs... "
Dans mes coups de cœur de l'année assurément!

C’est une histoire de vengeance, d’amour et de filiation.
C’est un livre difficile à mi chemin entre un fait divers et un conte pour adultes.
C’est un récit aussi effroyable que poignant.
Dans ce roman noir, vous allez rencontrer un directeur de zoo, des enfants tourmentés, des bourreaux assoiffés de sang et, évidemment, des animaux, beaucoup d’animaux.
D’ailleurs qu’est ce qui nous différencie, nous, humains, des animaux ?
A la fois si peu et beaucoup et c’est tout le propos de ce vertigineux témoignage qui vous poussera à vous questionner sur l’emprise, le huis clos familial, la transmission du mal, la place de l’inné et de l’acquis dans l’éducation et bien d’autres sujets tout aussi intéressants.
J’ai dévoré ce livre en une nuit (et quelle nuit enfiévrée).
La plume de cette auteure a réussi à me faire ressentir absolument toute une palette d’émotions, des larmes jusqu’au rire qui tombe à point nommé pour désamorcer une tenstension dramatique.
La force de ce livre c’est que je savais que ça allait être un véritable coup de cœur à la moitié de ma lecture quelle qu’en soit la fin.
Et ça c’est très fort.
Courez dévorer ce livre les yeux fermés mais, attention, n’oubliez jamais qu’on ne mange pas les cannibales.

Je vous présente aujourd’hui une lecture 𝘁𝗿𝗼𝘂𝗯𝗹𝗮𝗻𝘁𝗲 qui m’a profondément marquée 😲. Il s’agit du roman policier « 𝗼𝗻 𝗻𝗲 𝗺𝗮𝗻𝗴𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗻𝗻𝗶𝗯𝗮𝗹𝗲𝘀» écrit par Stephanie Artarit et publié aux éditions @editionsbelfond .
Dans ce roman, nous suivons l’histoire d’une jeune adolescente appelée « 𝗕𝗮𝗺𝗯𝗶 » qui trouve refuge dans un zoo pour échapper à la misère et aux violences familiales. Le dirigeant du zoo, 𝗡𝗼𝗲𝗹 𝗥𝗶𝘃𝗶è𝗿𝗲, est un homme marqué par les blessures de son passé. Sensible à la situation de la jeune femme, il l’a prend sous une aile et lui offre un emploi au contact des animaux du zoo. Jusqu’au jour où le passé douloureux de la jeune femme ressurgit brutalement…😢
Ce roman est très 𝘀𝗼𝗺𝗯𝗿𝗲 et il m’a fait passer par une vague d’émotions. Il est difficile de ne pas s’attacher à l’héroïne qui subit des épreuves terribles malgré son jeune âge. Tous les 𝗽𝗿𝗼𝗯𝗹𝗲𝗺𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗲𝘁𝗮𝘂𝘅 sont évoqués tels que les violences intra familiales, les viols, la maltraitance, le handicap...
C'était très intéressant d'être plongé en immersion dans un zoo. L'autrice pousse à nous interroger sur les différences de 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 entre les animaux et les hommes:
-Devons-nous forcément associer la 𝘃𝗶𝗼𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 aux animaux ? -Les hommes ont-ils une part de bestialité ?
-Les animaux ont-ils une part d’humanité ?
Vous ferez votre propre avis ☺️
Je vous invite vivement à découvrir la plume 𝗽𝗲𝗿𝗰𝘂𝘁𝗮𝗻𝘁𝗲 de l’autrice qui analyse avec finesse les comportements humains et qui remet en question toutes nos 𝗰𝗿𝗼𝘆𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀.

J'ai eu de la chance de pouvoir lire ce roman noir car c'est une lecture coup de coeur !
Stéphanie Artarit a réussi à créer un chef d'oeuvre semblable au minotaure, un livre mi-humain mi-animal avec un équilibre maîtrisé à la perfection.
Le récit démarre par une jeune fille, qui pour échapper à un quotidien sordide et déprimant, vole quelques instants de liberté en s'incrustant dans le zoo proche de chez elle. Elle se fait prendre et le directeur du zoo, attendri par cette jeune fille curieuse lui propose de travailler au zoo. Mais il ne s'attendait pas à prendre en plein fouet toute la famille dysfonctionnelle de Bambi : un frère violent et violeur, deux frères doux mais handicapés, une mère infirme qui ne bouge pas, et Bambi qui doit à la fois satisfaire les animaux mais aussi sa famille.
Stéphanie Artarit nous plonge alors dans une ambiance macabre où l'animal est roi en faisant des parallèles efficaces et pertinents entre le règne animalier et les pulsions humaines qui nous règnent. C'est un récit où la suggestion du mal est prédominante, mais attention, elle ne tombe pas dans le pathos. Sa plume est incisive, franche et sèche. Elle maîtrise l'art de te dévoiler sans te le dire, et de garder quand même une certaine objectivité / distance par rapport au récit.
J'ai adoré cette lecture et j'espère me délecter d'autres de sa plume dans le futur !

Bambi...
Un drôle de prénom pour cette adolescente de 17 ans, malingre, aux prises avec une famille dysfonctionnelle.
Quand Noël Rivière la rencontre. Elle vient de se faire prendre à resquiller dans son zoo. Ce n'est pas la première fois, elle vient dès qu'elle le peut et se noie dans une arrivée de visiteurs pour aller voir les animaux sans payer.
Mise devant le fait accompli, sans ciller, elle lève la tête vers le directeur du zoo qui mesure presque deux mètres, et loin de s'excuser propose ses services pour s'occuper des animaux...
Le charme étrange de la jeune fille, les fragilités évidentes qu'elle véhicule, sa famille dysfonctionnelle, tout cela peut-être fait que Noël offre un job d'été à Bambi Rapaz…Faisant fi du petit signal dans sa tête qui tente de l'alerter et de la désapprobation de ceux qui l'entourent...
Mais de Rapaz à rapaces il n'y a qu'un pas et Bambi est une proie de choix entre les serres de Martin, son frère aîné...
Et sous l'œil attentif d’Adam. le grand singe, la tragédie se met en place inéluctablement...
Tout a parlé à mes yeux et mon cœur… Le titre d'abord, On ne mange pas les Cannibales, fabuleux.qui engage la lecture immédiatement ; la couverture ensuite, avec cette scène de chasse sous le regard de la panthère en haut à droite, les prénoms dans le résumé de 4e de couverture : Bambi, noël, le lieu : un zoo et cette animalité qui suinte.
Latente, suffocante. Dès que votre regard s'arrête sur ce livre, la bête rôde déjà et la chasse commence... Pour moi lectrice, pour les personnages également. Sauve-toi Bambi ! Murmure-t-on tout du long.
Quand Bambi arrive devant Noël, elle le subjugue même s'il s'en défend et elle nous séduit nous immédiatement, fragile, seule mais avec un aplomb du haut de ses dix-sept ans à couper le souffle.
Le malaise grandit et la peur aussi au fur et à mesure que nous entrons dans sa vie. Ce roman réaliste, inquiétant. fait mouche, blesse le cœur, tend les nerfs, nous met en apnée... Et nous transforme en animal nous aussi.
La belle et la bête, le titre était déjà pris mais le fauve est là et la biche ne peut pas fuir.
Réaliste.
Haletant.
Un thriller percutant.
C'est une pépite ! J'ai adoré !
Je l'ai dévoré en une nuit.
Lisez-le !

Bambi Rapaz, 17 ans, est une adolescente magnifique issue d'une famille totalement dysfonctionelle. Son seul refuge pour trouver un peu de répit, un zoo, où elle se glisse clandestinement chaque jour.
Un jour, elle est découverte et conduite au propriétaire Noël Rivière. Il va lui proposer une formation pour travailler auprès des animaux car il perçoit en elle une fêlure.
Nous sommes très loin du conte de fée. Ici c'est la noirceur qui surgit et la bestialité humaine dans ce qu'elle a de plus horrible.
À travers ce roman, l'autrice questionne la part d'animalité qui existe en l'être humain.
Roman noir inclassable et poisseux traitant de thèmes dérangeant comme l'inceste, l'emprise, l'instinct de survie, le basculement vers la folie... L'horreur que l'humain peut faire subir à son prochain en faisant de l'objet de son obsession une proie.
Au milieu, les animaux dont Adam, le chimpanzé, incapable de vivre avec les siens, solitaire, destiné à être le seul témoin de la cruauté des hommes.
Un roman dont on ne ressort pas indemne.

L’histoire se déroule en 1976 dans les Pyrénées-Orientales. Noël Rivière, autrefois enfant abandonné, a été adopté par un homme qui possédait un zoo. À la mort de ce dernier, Noël en a hérité. Bambi, même pas encore 18 ans, vit dans un taudis avec une mère gravement malade, alitée, son frère aîné, Martin profondément dérangé et malsain, et ses frères jumeaux, Sam et Valérien, attardés. Le quotidien est très dur pour Bambi, sa seule échappatoire : s’introduire en cachette dans le zoo pour s’approcher des animaux. Un jour elle est découverte. Plutôt que de la chasser Noël lui propose un emploi. C’est le début de temps meilleurs pour Bambi. Enfin, au début, parce que Martin rôde, bien décidé à récupérer sa sœur.
C’est un roman noir, vraiment très noir, oppressant, dérangeant, avec des personnages brisés qui se rapprochent, dans l’ombre un monstre et autour des bêtes. Aucune once d’espoir dans ce roman, le bonheur ne peut être qu’éphémère malgré l’attachement profond qui unit Noël et Bambi… C’est violent, glaçant… Je ne conseillerai pas ce récit aux âmes sensibles. Pour ma part, j’ai eu bien du mal à le terminer. Ma note reflète donc la qualité du roman, l’originalité de l’histoire, l’habileté de la construction, et la justesse avec laquelle l’autrice traduit les émotions de ses personnages. Mais je ne peux pas dire que j’ai aimé…

Excellente surprise !
Le titre et la couverture m'ont attirée, je n'avais pas lu la 4ème et waouh quelle histoire !
Je ne pensais pas être autant secouée par ce roman.
C'est noir, glauque, puissant, dérangeant mais terriblement addictif.
Je l'ai lu en 2 jours.
Qui est l'homme, qui est l'animal ?
Quelle est la part de bestialité chez l'homme ? Et d'humanité chez l'animal ? Et surtout qui est le plus dangereux ?
1976
Dans la famille Rapaz, il y a le père qui a disparu, la mère tétraplégique, Martin le grand frère psychopathe, des jumeaux attardés mentaux et il y a Bambi, 17 ans et sa vie de boniche, violentée par son frère,
Bambi, pour s'évader va se promener sans ticket dans le zoo voisin, les animaux la passionnent. Jusqu'au jour où elle se fait prendre..... Noël Rivière, le directeur du zoo, va lui donner sa chance et la prendre comme stagiaire.
Mais un jour, Martin disparaît, Bambi se retrouve seule avec les jumeaux, sa mère ayant quitté la maison également pour un hospice, aux dires de Martin.
Noël va l'aider jusqu'au jour où.....
Et puis, il y a Adam, ce chimpanzé qui arrive d'Afrique, et qui ne peut vivre en communauté et que Rivière sera obligé d'isoler...
La plume est fluide, immersive, percutante, les chapitres sont courts, et très bien documentés, l'immersion dans le zoo est passionnante.
On passe par toutes les émotions, ce roman nous percute violemment et lorsqu'on le referme, on sait qu'il va nous hanter, nous remuer et que l'on ne ressortira pas indemne de cette lecture.
J'ai aimé "entrer" dans les pensées d'Adam, ce chimpanzé isolé, violent et pourtant si attachant.
Un coup de cœur pour moi, une autrice que je découvre et que je vais évidemment suivre et que j'espère rencontrer lors d'un salon.

Voici encore un livre que j'ai choisi simplement pour sa couverture, et je ne regrette absolument pas car ce fut une excellente découverte !
Grande amatrice des oeuvres du du Douanier Rousseau, il ne m'en fallait pas plus pour avoir envie de plonger dans "On ne mange pas les cannibales" de Stéphanie Artarit. Et autant dire que ce roman a parfaitement rassasié mon appétit de lectrice ;-)
Nous y rencontrons Bambi, une adolescente livrée à elle-même, qui se voit offrir une chance inespérée : travailler dans un zoo, un lieu qu'elle aime depuis toujours. On pourrait croire qu'une bonne fée s'est enfin penchée sur son berceau… mais très vite, la réalité vient assombrir les espoirs de la jeune fille.
Ce conte aux apparences féeriques bascule rapidement vers une noirceur inattendue, bien loin du traditionnel « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants » que nous idéalisions tous enfants.
Même si généralement, j'ai du mal avec les éléments inexpliqués voir fantastiques pouvant se cacher dans les romans, j'avoue qu'ici cela ne m'a pas dérangé. Bien au contraire, j'ai adoré l'impression de fables que cela donnait au récit par la plume incisive de l'auteure. Cette lecture singulière m'a happée de bout en bout, et je n'ai désormais qu'une envie : en redemander, tel l'animal insatiable que nous sommes tous au fond de nous.
Je remercie chaleureusement les éditions Belfond et NetGalley France pour ce coup de cœur inclassable, dont l'histoire continue de résonner en moi… plus de deux mois après l'avoir refermé ;-)
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